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Stratégies de la bactérisation par les rhizobactéries1

 

作者: B. DIGAT,  

 

期刊: EPPO Bulletin  (WILEY Available online 1988)
卷期: Volume 18, issue 1  

页码: 29-35

 

ISSN:0250-8052

 

年代: 1988

 

DOI:10.1111/j.1365-2338.1988.tb00344.x

 

出版商: Blackwell Publishing Ltd

 

数据来源: WILEY

 

摘要:

De nombreux travaux montrent que certaines souches de rhizobactéries appartenant au groupePseudomonas fluorescens‐putidaont un effet positif sur la croissance des plantes et sur leur protection vis‐à‐vis des agents pathogènies du sol. Si tous les modes ďaction de ces bactéries telluriques sont encore loin ďêtre compris, on observe cependant une corrélation constante entre ľintensité de la production de pigments fluorescents (sidérophores), la capacitéà produire un antagonismein vitroet la stimulation de la croissance des plantes. Le principe de la bactérisation est ďintroduire une population bénéfique dans un milieu et de ľy maintenir ou de lui faire atteindre un niveau suffisant afin ďobtenir finalement les effets voulus. Il a done été nécessaire de suivre la dynamique des populations introduites dans plusieurs types de milieux de plus en plus complexes: culturesin vitro, substrats artificiels et substrats naturels. Ceci a permis ďobtenir de précieux renseignements sur ľévolution des populations en conditions contrôlées de température et ďHR. Les résultats obtenus montrent que: (1) la bactérisation est ďautant plus efficace qélle est réalisée précocement dans un milieu biologiquement simple. Aussi ľenrobage microbiologique des sentences et des boutures ainsi que le bactérisation de plantulesin vitropeuvent donner de bons résultats. Corrélative‐ment, le maintien des populations dans un biotope est ďautant plus difficile à réussir que celui‐ci est biologiquement complexe; (2) le biotope doit offrir à la population introduite la possibilité de se maintenir, ďy trouver des éléments assimilables et de éy multiplier activement. Ceci est malheureusement pas le cas pour certains substrats artificiels et naturels dans lesquels le maintien de la population est encore problématique et nécessite des ‘rappels’ de bactérisation; (3) les caractères intrinséques de la souche sélectionnée en vue de la bactérisation sont déterminants; (4) il est nécessaire de maintenir une quantité minimale de cellules bactériennes au niveau du systéme racinaire pour obtenir un effet sur ľamélioration de la croissance de la plante. Le seuil minimal de biostimulation se situe fréquemment aux environs de 104bacteries par cm de racine (betterave sucrière, laitue, pelargonium, chrysanthème). Mais le seuil de biosatur

 

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