SummaryArvicanthis(Rodentia, Muridae) is widespread in tropical Africa, and its ecology has been studied in both East and West Africa under various climatic regimes. In order to take an overall look at the reproductive ecologyof Arvicanthisin Africa, data were extracted from the literature on the climate and reproductive ecology and weight ofArvicanthisat eight localities. Relationships between aspects of reproductive ecology and climate were explored statistically.The length of the breeding season ofArvicanthisshows a strong, non‐linear relationship with the number of ‘humid’ months in a year (as determined from a standard climograrn), but weight of adult males and females, number of implanted embryos and proportion of reproductively active females do not appear to be correlated with climate. The available evidence does not support the hypothesis that populations ofArvicanthisin hotter‐drier environments are more r‐selected, and that populations in cooler‐wetter localities are more K‐selected. The necessity for consistent interpretations of r‐K theory and standardization of measures of ‘stress’ and ‘predictability’ is discussed.RésuméArvicanthis(Rodentés, Muridae) est répandu en Afrique tropicale et on a étudié son écologie en Afrique de 1'Est et de 1'Ouest sous différents régimes climatiques. Pour obtenir une vue générale de l'écologie de la reproduction d'Avicanthis, en Afrique, nous avons repris des données dans la littérature sur le climat, la reproduction et le poids, en huit endroits. On a étudié les relations statistiques entre la reproduction et le climat.La durée de la saison de reproduction d'Arvicanthismontre une relation étroite non linéaire avec le nombre des mois humides par an, (On l'a déterminé avec un clirnogramme standard), rnais le poids des adultes mâles et femelles, le nombre d'embryons implantés et la proportion de femelles qui participent à la reproduction ne semblent pas liés au climat. Les chiffres ne confirment pas l'hypothèse colon laquelle les populations d'Arvicanthissont plus r‐sélectionnées, ni que les populations d'emplacements plus froids et plus humides sont plus K‐sélectionnées. On discute la nécessité d'interprétations fiables de la théorie r‐K et d