Résumé:La répartition spatiale du potentiel semencier a été analysée à partir de données simulées et de données réelles provenant d'une parcelle expérimental. Trois types d'approches statistiques ont été comparés quant à leur capacitéà déterminer la structure spatiale de populations: (1) l'ajustement de la distribution des fréquences observées à une distribution théorique (Poisson et Binomiale négative); (2) le calcul d'indices basé sur la moyenne (m) et la variance (V) d'échantillonnage (rapport V/m, la ‘mean crowding’ et l'indice d'agrégation de Lloyd); (3) le calcul d'un coefficient d'autocorrélation (le I de Moran) permettant de prendre en compte la position géographique des prélèvements. Au vue des résultats obtenus à partir des données simulées, il apparait que seul le coefficient d'autocorrélation est adaptéà la description des structures spatiales. Appliqué aux données réelles, il a permis de définir la