Résumén—L'infréquence relative d'ivresse et d'alcooiisme parmi les juifs, decrite dans plusieurs pays, est attributée, par les scientistes sociaux (sans consideration de facteurs nedques possibles) a integration dans leurs pratiques religieuses et culturelles de la boisson ainsi que dans leurs importantes cérémonies et rites de passage. Toutefbis, il à jamais été tente de rendre compte de la frequence d'ivresse historiquemeat indiquee parmi les ancetres des juifs durant le temps des prophfetes, ni de l'epoque et de la manire dc sa disparition. Dun examen de source post‐biblique il est suggéer que la transition est survenue principalement durant la preriode de 200 aré apres le retour du premier exil (Babylonien), lorsque la concurrence des dieux Canaaens, avec leurs festivites d'orgies de boissons, ont été bards avec succés, la Bible a été formellement adoptée par le peuple comnic sa Constitution et les Scribes‐une nouvelle voie de direction ouverte a tous ceux qiii veulent siristruire‐tablirent des synagogues locales comme endroits d'education populaire ainsi que de devotion sur tout le territoire, et fixérent et sanctififerent i'usage rituéi de la boisson. Lévidence ést prouvee de sources Midrachiques, Talmudiques et plus tard rabbiniques que la boisson et une certaine peur de Tivresse a survécu quelques centaines d'annés, mais au moyen‐âge en Europe, ni la boisson ni la peur de l'ivresse n'ont survécu dans les communautés Juivés, co