摘要:

ABSTRACTSA survey was conducted to investigate the prevalence of speech and language problems in people receiving care from the Mental Health Unit of a District Health Authority. A screening assessment was devised with the aim of detecting difficulties with receptive and expressive language, voice, articulation and fluency, by use of modified standardised tests and subjective ratings. All in‐patients who had been in hospital for longer than six months were screened, as were all day patients attending the Integrated Rehabilitation Workshop in the hospital grounds and a random sample of patients attending two day centres in the community. Results showed that moderate or severe difficulties in at least one aspect of speech and language was present in over two‐thirds of the 138 people assessed. The most common problems occurred in the tests of comprehension and naming. A quarter of those assessed had problems with spontaneous speech. Problems with voice, articulation and fluency were less common. The limitations on the information obtained due to the nature of the population considered and the assessment procedure, and the implications of the findings for the management of patients are discussed.Une enquête a été faite sur la fréquence des difficultés de langage et d'élocution chez les sujets soignés par l'unité de santé mentale d'une administration de district britannique de la santé publique. En utilisant des tests standardisés modifiés et des estimations subjectives, une évaluation de dépistage a permis de détecter les difficultés de langage réceptif et expressif, de voix, d'articula‐tion et de fluidité verbale.Tous les malades hospitalisés depuis plus de 6 mois ont été évalués, ainsi que tous les patients externes suivis par l'atelier de réadaptation intégré dans l'enceinte de l'hôpital, et qu'un échantillon au hasard de patients suivis par les deux centres de jour du district.Les résultats ont révélé l'existence de difficultés moyennes ou sévères chez plus des deux tiers des 136 personnes évaluées, en ce qui concernait au moins un aspect du langage et de l'élocution. Les problèmes les plus fréquents avaient trait aux tests de compréhension et de désignation. Un quart des sujets avaient des difficultés d'élocution spontanée. Les problémes de voix, d'articulation et de fluidité étaient moins fréquents. La discussion porte sur les limites des renseignments obtenus, dues à la nature de la population étudiée et à la méthode de l'enquète, et sur ce que les résultats laissent entrevoir en ce qui concerne l'encerdrement des patients.Eine Umfrage wurde durchgeführt, um die Häufigkeit von Sprech‐und Sprechschwierigkeiten unter den Menchen festzustellen, die bei der psychiatrischen Abteilung einer regionalen Gesund‐sheitsbehöde (Mental Health Unit of a District Health Authority) in Behandlung sind. Ein Uberprüfungsverfahren wurde mit dem Ziel entwickelt, rezeptive und expressive Sprachschwierigkeiten sowie Stimm‐, Artikulations‐und Sprechflußprobleme aufzedecken. Modifizierte Standardtests und subjektive Urteile wurden zu diesem Zwecke verwendet. Überprüft wurden alle stationären Patienten, die länger als sechs Monate im Krankenhaus verbracht hatten, und alle ambulanten Patienten, die das integrierte Rehabilitationsworkshop des Krankenhauses besuchten, sowie eine zufällige Stichprobe der Patienten, die zwei Tagestätten außerhalb der Klinik besuchten. Von den 138 überprüften Personen zeigten mehr als zwei Drittel mäßige bis schwere Probleme in mindestens einem Aspekt des Sprech‐oder Sprachverhaltens auf. Die häufigsten Probleme kamen in den Verständnis‐und Benennungstests vor. Ein Viertel aller Überprüften hatten Schwierigkeit mit spontaner Sprache. Probleme mit der Stimme, der Artikulation oder den Sprechfluß waren weniger häufig. Die Grenzen der erhaltenen Information als Konsequenz der Art der untersuchten Population und des Überpr

ISSN:1368-2822    

DOI:10.3109/13682829609033154

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1996

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTSFew speech and language therapists work with psychiatric patients. This study investigates how the specific communication problems of this population are addressed by care staff. Following a survey to determine the prevalence of speech and language problems in a psychiatric population, subjects assessed as having moderate or severe difficulties were selected for further study in order to investigate how they were currently being managed by the people responsible for their care. Key workers or charge nurses were interviewed, and ward and department nursing care plans were examined for mentions of speech and language problems, for aims in connection with these problems and for strategies to achieve these aims. Speech and language problems were not mentioned in 40% of the nursing care plans inspected. Where speech and language problems were mentioned there were aims in connection with half of these and strategies to achieve the aims in only 10% of the sample. The reasons for failure to mention speech and language in nursing care plans and for discrepancies between the results of speech and language therapy assessment and assessments of ward and department staff are discussed.Il n'y a pas beaucoup d'orthophonistes qui s'occupent de malades psychiatriques. Cette étude examine la manière dont les problèmes spécifiques de communication de ces patients sont traités par ceux qui en ont la charge.Suite à une enquête pour déterminer la fréquence des problèmes de langage et d'élocution au sein d'une population psychiatrique, les sujets qui d'après cette évaluation présentaient des difficultés moyennes ou sévères ont été choisis pour une deuxième étude, afin de voir de quelle manière ils étaient pris en charge par ceux qui devaient s'en occuper. L'on a interviewé soit le personnel clef, soit les infirmiers et infirmières en chef; et l'on a examiné le planning des soins des Salles ou des départements, afin d'y relever les mentions de problèmes de langage et d'élocution, les objectifs s'y rapportant et les stratégies en fonction de ces objectifs.40% des plannings de soins inspectés ne mentionnaient pas les problèmes de langage et d'élocution; et lorsqu'ils étaient mentionnés, des objectifs n'étaient fixés que pour la moitié seulement, et ce n'est que dans 10% de l'échantillonnage que l'on a trouvé des stratégies se rapportant à ces objectifs. La discussion porte sur les raisons qui font que les problèmes de langage et d'élocution ne sont pas mentionnés dans les plannings de soins, ainsi que sur les divergences entre les résultats de l'évaluation orthophonique et les évaluation faites par le personnel de salle et de départe‐ment.Wenige Sprachtherapeuten arbeiten mit psychiatrischen Patienten. Diese Studie untersucht, wie die spezifischen Kommunikationsprobleme solcher Patienten vom Fürsorgepersonal bewältigt werden. Nach einer Umfrage, in der die Häufigkeit von Sprech‐und Sprachschwierigkeiten unter psychiatrischen Patienten festgestellt wurde, wurden diejenigen zur weiteren Untersuchung hinsichtlich ihrer Betreung ausgewählt, bei denen mäßige bis schwerwiegende Schwierigkeiten festgestellt wurden.Schlüsselpersonal und Aufsichtpersonal wurden befragt und die Fürsorgepläne der Stationen und Abteilungen nach Eintragungen zu Sprech‐und Sprachproblemen, nach damit zusammenhängenden Zielsetzungen und nach Strategien zur Erreichung der Zeile durchsucht. Sprech‐und Sprachprobleme wurden in 40% der untersuchten Fürsorgenplänen nicht erwähnt. Wo sie erwähnt wurden, waren bei der Hälfte der Fälle Behandlungsziele angegeben, und Strategien zur Erfüllung der Ziele wurden bei nur 10% der Stichprobe definiert. Gründe für das Nichterwähnen der Sprech‐und Sprachprobleme in den Fürsorgeplänen und fur die Diskrepanz zwischen den Ergebnissen der sprachtherapeutischen Beurteilu

ISSN:1368-2822    

DOI:10.3109/13682829609033155

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1996

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTSThis study presents the data on the referencing strategies used in dialogue by 10 young autistic children, eight with specific language impairment, and eight with normal language development. The three groups of children were matched for language age (including mean length of utterance (MLU), receptive vocabulary, and syntax). Correct and erroneous use of pronominal, demonstrative, and comparative cohesive ties of reference were examined by use of Halliday and Hasan's (1976) method of discourse cohension analysis. The study found that autistic children were able to use all of the above cohesive ties of reference, but their use was less successful than that of the other two groups of children. The autistic children also differed qualitatively in the types of errors that they made. Findings were discussed in relation to various developmental, linguistic, and social factors that may underlie the successful usage of different cohesive ties and subtypes of ties.Il s'agit ici des résultats d'une étude sur les stratégies de référence utilisées lors de dialogues par 10 jeunes enfants autistiques, 8 enfants souffrant de déficits linguistiques spéciflques et 8 enfants dont le développement linguistique était normal. Les trois groupes avaient été assortis du point de vue de l'âge linguistique (notamment la longueur moyenne d'énoncé, la compréhension du vocabulaire et la syntaxe). Prenant comme modèle la méthode de Halliday et Hasan (1976) d'analyse de cohésion du discours, l'examen a porté sur les usages corrects et erronés des liens cohésifs de référence pronominaux, démonstratifs et comparatifs. L'étude a révélé que les enfants autistiques étaient capables d'utiliser tous les liens cohésifs de référence, mais moins bien que les deux autres groupes d'enfants, et que leurs types d'erreurs étaient qualitativement différentes. Les résultats sont discutés du point de vue des divers facteurs développementaux, linguistiques et sociaux qui peuvent être à la base de l'utilisation correcte des divers liens cohésifs et sous‐types de liens.In dieser Studie werden Daten zu den Referenzstrategien, die im Dialog vom 10 jungen autistischen Kindern, 8 Kindern mit spezifischer Sprachbehinderung und 8 Kindern mit normaler Sprachentwicklungen verwendt wurden. Die drei Gruppenwaren hinsichtlich ihres sprachlichen Alters (einschließlich mittlere Äußerungsdauer, rezeptiven Wortschatz und Syntax) vergleichbar. Richtige und fehlerhafte Verwendung von kohäsiven, pronominalen, demonstrativen und komparativ Referenzverbindungen wurden mit Hilfe der Methode der Diskurskohäsionsanalyse von Halliday&Hasan (1976) untersucht. Es wurde festgestellt, daß autistische Kinder alle oben erwähnten kohäsiven Referenzverbindungen benutzen, m daß sie sie jedoch mit geringerem Erfolg als die anderen beiden Gruppen benutzten. Die autistischen Kinder unterschieden sich auch qualitativ von den anderen hinsichtlich der Fehlertypen. Die Ergebnisse wurden in Hinblick auf verschiedene entwicklingsbezogene, linguistische und soziale Faktoren erörtert, die der erfolgreichen Verwendung von kohäsiven Verbin

ISSN:1368-2822    

DOI:10.3109/13682829609033156

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1996

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTSThe primary purpose of this study was to determine if the finding of Kalinowski et al. (1993) of dramatic reductions in stuttering under delayed auditory feedback (DAF) at normal and fast speech rates could be replicated. The second purpose was to determine if stuttering frequency is differentially affected by various delays in an attempt to identify the optimal delay for fluency enhancement for both normal and fast speech rates. Fourteen adult stutterers read eight different passages at either a normal or fast speech rate under non‐altered auditory feedback (NAF) and DAF with delays of 25, 50 and 75 ms. Results showed that significant fluency enhancement occurred under DAF at both normal and fast speech rates at all DAF settings (p<0.05). This finding corroborates the notion that a slowed rate of speech is not a necessary antecedent for fluency improvement under conditions of altered auditory feedback. In addition, the results indicated that 50 ms appears to be the shortest delay producing the maximum reduction in stuttering frequency.Le but principal de cette étude est de déterminer s'il est possible de reproduire les résultats spectacu‐laires de Kalinowski et al. (1993) en matière de réduction du bégaiement quand le feedback acous‐tique est retardé (DAF) lors de vitesses d'élocution normale et accélérée. L'autre but est de déterminer si la fréquence de bégaiement est affectée diversement selon les retards de feedback, afin de trouver le retard qui améliore le mieux la fluidité d'élocution à des vitesses normale et accélérée. Quatorze adultes bègues ont lu huit passages différents à vitesses normale ou accélérée, sous feedback acoustique non modifié (NAF) ou sous DAF avec des retards de 25, 50 et 75 ms. Les résultats ont montré qu'à vitesses normale et accélérée, et quel que soit le réglage du retard, une amélioration significative se produisait sous DAF (p<0,05). Ces résultats confirment la notion qu'il n'est pas nécessaire d'utiliser une vitesse plus faible pour améliorer la fluidité d'élocution quand on se seri de feedback acoustique modifié. De plus, il semble qu'il faut un retard d'au moins 50 ms pour réduire au maximum la fréquence des bégaiements.Das primäre Ziel dieser Studie war es, festzustellen, ob der Befund von Kalinowski et al. (1993), daß sich das Stottern unter verzögerter auditiver Rückkopplung (DAF = Delayed Auditory Feedback) bei normalem und schnellem Sprechtempo dramatisch reduziert, zu replizieren sei. Der zweite Zweck war es, festzustellen, ob die Häufigkeit des Stottems durch die Verzögerungsdauer unterschiedlich beeinflußt wird, um eine optimale Verzögerungsdauer für die Verbesserung des Sprechflusses sowohl für normales als auch für schnelles Sprechtempo zu identifizieren. Vierzehn erwachsene Stotterer lasen acht verschiedene Texte entweder mit normalem oder mit schnellem Sprechtempo bei unveränderter auditiver Rückkopplung oder bei DAF‐Werten von 25, 50 und 75 ms. Ein signifikant verbesserter Sprechfluß wurde bei allem DAF‐Werten für normales und schnelles Sprechen gefunden. Die Ergebnisse unterstützen die Hypothese, daß für einen verbesserten Redefluß unter DAF‐Bedingungen ein verlangsamtes Sprechtempo keine notwendige Vorbedingung sei. Außerdem zeigtendie Ergebnisse, daß ein DAF‐Wert von 50 ms die k

ISSN:1368-2822    

DOI:10.3109/13682829609033157

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1996

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTSDialogue structures, use of utterance functions and dialogue coherence were analysed in a 5‐year‐old boy with socio‐emotional problems in a kindergarten. His communicative performance, understood in these terms, was compared with those of his normal peers. Observations were taken from natural free play in peer groups. The utterances and communication of the children were written down, scored and analysed. Analysis indicated that the boy differed significantly from his peers in communicative performance. This varied, however, depending on the play group constellation. When the boy played with one particular peer, his communicative performance seemed to improve. Contrary to the others, this peer tried to take the perspective of the subject, adjusting his play and conversation to that of the boy and keeping up a dialogue with him. Pragmatic difficulties may explain some of the socio‐emotional problems of the boy, with implications for practice in kindergarten.L'on a analysé la structure des dialogues, l'usage de fonctions d'énoncés et la cohérence des dialogues chez un garçon de 5 ans dans un jardin d'enfants. Cet enfant souffrait de difficultés socio‐émotionnelles. Ainsi définie, sa performance communicative a été comparée à celle d'autres enfants normaux. Les observations ont porté sur des périodes de jeux naturels libres dans des groupes de pairs. L'on a fait la transcription, le décompte et l'analyse des énoncés des enfants. L'analyse révèle chez l'enfant en question des différences significatives par rapport aux autres en ce qui concerne la performance communicative. Malgré tout cela varie en fonction des assemblements au sein du groupe de jeu. Lorsqu'il joue avec un autre enfant bien défini sa performance communicative sem‐ble s'améliorer. C'est que ce dernier, contrairement aux autres, essaye de s'adapter à son point de vue, ajuste sa façon de jouer et sa conversation et reste en dialogue avec lui. Certains problèmes socio‐émotionnels de l'enfant peuvent s'expliquer à partif de difficultés pragmatiques, et ces considérations peuvent avoir leur utilité dans le cadre du jardin d'enfants.Die Dialogstruktur, der Gebrauch von Äußerungsfunktionen und die Dialogkohärenz wurden bei einem Fünfjährigen analysiert, der sozio‐emotionale Probleme im Kindergarten hatte. Seine kom‐mikative Leistung hinsichtlich dieser Aspekte wurde mit der seiner nicht‐gestörten gleichaltrigen Mitschüler verglichen. Beobachtet wurde das natürliche, freie Spielen unter Gleichaltrigen. Die Äußerungen und Kommunikationshandlungen der Kinder wurden aufgeschrieben, eingestuft und analysiert. Die Analyse zeigt, daß der Junge sich in seiner Kommunikationsleistung signifikant von den anderen in den Gruppen unterscheidet. Die Leistung variiert jedoch mit der jeweiligen Zusammensetzung der Gruppe. Wenn der Junge mit einem bestimmten anderen Jungen spielt, wird sein Verhalten besser. Im Gegensatz zu allen anderen versucht dieser den Standpunkt des Jungen einzunehmen, indem er sich ihm im Spiel und in der Konversation anpaßt, und indem er den Dialog mit ihm aufrechterhält. Einige der sozio‐emotionalen Probleme des Jungen können als Folge pragmatischer Schwierigkeiten erklär

ISSN:1368-2822    

DOI:10.3109/13682829609033158

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1996

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTSFor many non‐speaking, Bliss‐using persons with cerebral palsy (CP), literacy skills seem hard to achieve, although their cognitive functioning and verbal reception skills would predict good reading and writing. The aim of this study was to describe literacy skills in relation to intellectual level and to level of phonological awareness, which are both considered important predictors of literacy in the speaking population. Seven disabled adolescents participated in the study. In a comparison group there were seven children matched for results on a non‐verbal intelligence test and a test of phonological awareness. The subjects in the disability group performed on a lower level on reading and spelling variables than the subjects in the comparison group. The results also indicated that the spelling skills of the subjects in the disability group were more developed than their reading skills, and that spelling of words represented by photographs of well‐known objects, presented visually only, seemed more difficult than spelling of words presented orally. A tentative explanation of these latter two results was proposed, namely that the phonological awareness of the subjects facilitated spelling, but that access to phonological and orthographic representation of visually presented material migth be more difficult than orally presented material for non‐speaking persons. The differences between the two groups also suggested that the subjects in the disabled group seemed to have difficulty in benefiting from formal literacy skills training at school.Beaucoup de gens atteints de paralysie cérébrale, incapables de s'exprimer oralement et contraints de faire appel au Système de Bliss, semblent avoir du mal à apprendre à lire et à écrire, même si leurs functions cognitives et leurs capacités de réception verbales devraient leur permettre un bon niveau de lecture et d'écriture. Le but de cette étude a été de décrire les capacités de lecture et d'écrit‐ure en fonction des niveaux d'i'ntellect et de sensibilité phonologique qui tous deux sont considérés comme des facteurs importants de prévision d'alphabétisatkm au sein de la population capable d'utiliser le langage oral. Sept adolescents handicapés ont participé à cette étude. Un groupe de comparison comprenait sept enfants assortis d'après les résultats d'un test d'intelligence non verbale et d'un test de sensibilité phonologique. Les résultats des sujets handicapés ont été inférieurs pour les variables de lecture et d'orthographe par rapport à ceux du groupe de comparaison. Il s'est révélé aussi que les capacités orthographiques des sujets handicapés étaient plus développées que leurs capacités de lecture, et que l'orthographe de mots représentés par des photographies d'objets fami‐liers montrées silencieusement semblait plus difficile que celle de mots présentés oralement. L'on suggère comme explication de ces deux résultats que la sensibilité phonologique des sujects facilit‐erait l'orthographe, mais que chez les personnes qui ne peuvent parler l'accès aux représentations phonologiques et orthographiques de matérial présenté visuellement pourrait être plus difficile que celle de matériel présenté oralement. Les différences entre les deux groupes font penser aussi que les sujets du groupe handicapé ont dû avoir plus de difficultés à bénéficier d'un apprentissage formel de la lecture et de l'écriture à l'école.Vielen nichtsprechenden, Bliss (Pikogrammsystem) verwendenden Spastikern scheint der Erwerb von Lese‐Schreibfähigkeiten schwerzufallen, obwohl man von ihrem kognitiven Niveau und ihrem Verständnis von gesprochener Sprache her gute Leistungen erwarten könnte. Ziel dieser Studie war es, Lese‐Schreibfähigkeiten im Verhältnis zum intellektuellen Niveau und zum Grad des phonolo‐gischen Bewußtseins zu beschreiben, die beide als wichtige Prädiktoren der Lese‐Schreibfähigkeit in der sprechenden Bevölkerung betrachtet werden. Sieben Behinderte im pubertären Alter nahmen an der Studie teil. Eine Kontrollgruppe bestand aus seiben Kindern, die nach dem Grad der nichtverbalen Intelligenz und dem phonologischen Bewußtsein mit der ersten Gruppe gepaart waren. Die Kinder der Behindertengruppe erreichten ein niedrigeres Niveau bei den Lese‐und Rechtschreibevariablen als die Kinder der Vergleichsgruppe. Die Ergebnisse zeigten auch, daß die Rechtschreibefähigkeiten der Behinderten weiter entwickelt waren als ihre Lesfähigkeiten. Außerdem war das Schreiben von Wörtern für bekannte Gegenstände, die im Bild präsentiert wurden, schwieriger als das Schreiben von verbal präsentierten Wörten. Eine tentative Erklärung für letzteres Ergebnis könnte die Unterstüzung des Schreibens durch das phonologische Bewußtsein sein. Der Zugriff auf die phonologische und orthographische Repräsentation könnte für nitchsprechende Personen bei visuell dargebotenem Material schwieriger als bei verbal präsentiertem sein. Die Unterschiede zwischen den Gruppen läßt ve

ISSN:1368-2822    

DOI:10.3109/13682829609033159

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1996

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTSThe importance of the relationship between the physical and interpersonal environment and the maintenance and enhancement of communication in the ageing institutionalised population is well‐documented in the literature. This study aimed to evaluate the communicative environment in two different day care settings for people with dementia by the recording and structuring of observations made of sampled conversations. The data collected were considered quantitatively in order to compare the two settings. The findings of the study can be applied to clinical and everyday practice, through the suggestion of practical ideas for physical and/or social environmental modification.L'on dispose d'une documentation abondante sur l'importance de la relation entre les environ‐nements physique et interpersonnel d'une part, et le maintien et L'amélioration de la communication chez les vieillards vivant dans des établissements d'autre part. Le but de cette étude est d'évaluer l'environnement communicatif dans deux situations de soins de jour pour des vieillards souffrant de démence sénile. L'on a procédé à l'enregistrement d'un échantillonnage de conversations et à la structuration des observations recueillies sur ces conversations. Une étude quantitative a permis de comparer les deux situations. Les résultats peuvent servir à la pratique de soins en clin‐ique et de jour, grâce à la suggestion d'idés pratiques pour modifier l'environnement physique et/ou social.Die Bedeutung der Beziehung zwischen der physischen und zwischenmenschlichen Ungebung und der Erhaltung und Verbesserung der Kommunikation unter alternden Menschen in Heimen ist in der Literatur gut dokummentiert. Der Ziel dieser Studie war, die Kommunikationsungebung von Menschen mit Altersdementia in zwei verschiedenen Tagespflegestätten durch die Registrierung und Struktursierung der Gesprächen gemachten Beobachtungen. Die gesammelten Daten wurden zum Vergleich der zwei Umgebungen quantitiv analysiert. Praktische Vorschläge für die Veränderung der physischen und/ober der sozialen Umgebung ermöglichen die Ubertragung der Ergebnisse auf die klinische und

ISSN:1368-2822    

DOI:10.3109/13682829609033160

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1996

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTSA computer‐based text storage and retrieval system (TALK) has recently been developed as a conversation aid for non‐vocal people. To facilitate the rapid retrieval (and synthesised speech output) of stored content, potential utterances on each conversational topic are organised according to three intersecting perspectives. The perspectives are ‘person’ (me, you), ‘time’ (past, present, future), and ‘issue’ (what, when, where, who, how, why). Although the system has been shown capable of supporting free‐flowing conversation with relatively short pauses preceding the user's turns at speech, the perspective organisation is probably less than ideal for some topics. An experiment was conducted to see whether, over a number of conversational topics, storage and retrieval of potential utterances would be faster with the existing, uniform, set of perspectives or with different sets of perspectives tailored to each topic. At the storage stage, the ‘uniform’ set of perspectives facilitated more rapid classification of potential utterances than the ‘tailored’ sets. At the retrieval stage, however, repetition of the classification decisions was more accurate (without being any slower) for the tailored sets of perspectives, suggesting that retrieval of stored utterances during conversation may be faster when the perspective organisation is tailored to topics.Un Système à base de logiciel pour la mise en mémoire et l'extractionn de textes (TALK) a été mis au point récemment pour servir d'aide à la conversation pour ceux qui sont privés de voix. Afin de faciliter l'extraction rapide du contenu mis en méoire (et la production par synthétiseur de parole), les possibilités d'énoncés de chaque thème sont organisés suivant trois perspectives qui se recoupent. Ces perspectives sont ‘la personne’ (moi, vous), ‘le temps' (passé, présent, futur) et ‘le thème et propos' (quoi, quand, où, qui, comment, pourquoi). Bien que l'expérience ait montré que le système est capable de soutenir des conversations fluides, où chaque réplique est précédée d'un silence relativement court, l'Organisation des perspectives est probablement loin d'être parfaite pour certains thèmes. L'on a fait une expérience pour voir si, en examinant un certain nombre de thèmes, la mise en mémoire et l'extraction des possibilités d'énoncés serait plus rapide avec l'ensemble uniforme des perspectives déjà disponible, ou bien avec différents ensembles de perspectives faits sur mesure pour chaque thème. Au niveau de la mise en mémoire, l'ensemble ‘uniforme’ a permis une classification plus rapide des possibilités d'énoncés que les ensembles ‘faits sur mesure’. Par contre, au niveau de l'extraction la répétition des décisions de classement s'est faite avec davantage d'exactitude (sans pour autant être plus lente) dan le cas des ensembles de perspectives ‘faits sur mesure’, ce qui laisse à penser que lors de la conversation l'extraction des données serait plus rapide lorsque l'organisation des perspectives est adaptée aux thèmes.Ein Computersystem für die Speicherung von und den Zugriff auf Texte (TALK) ist als Konversationshilfe für nicht‐sprechende Menschen entwickelt worden. Zur Beschleunigung des Zugriffs (und des synthetisierten Outputs) der gespeicherten Inhalt werden potentielle Äußerangen zu jedem Konversationsthema nach drei sich schneidenden Perspektiven: ‘Person’ (ich, du), ‘Zeit’ (Vergangenheit, Gegenwart, Zukunft), und ‘Angelegenheit’ (was, wann, wo, wer, warum). Obwohl das System fließende Gespräche mit relativ kurzen Pausen vor den Benntzerbeiträgen unterstützen kann, ist die Organisation der Perspektiven für einege Thema wahrscheinlich weniger als ideal. Ein Experiment wurde durchgeführt, um festzustellen, ob über eine Anzahl verscheidener Gesprächsthemen die Speicherung und der Zugriff auf potientielle Äußerungen mit der vorhandenen, einheiflichen Struktur von Perspektiven oder mit unterschiedlichen nach dem jeweiligen Thema zugerschnittenen Struktur schnellen seien. In der Speicherungsstufe ermöglicht der einheitliche Perspektivensatz eine schnellere Klassifizierung der potentielle Äußerungen. In Zugriffstadium jedoch war die Wiederholung der Klassifizierungsentscheidungen für den ‘zugeschnittenen’ Perspektivensatz genauer (ohne dabei langsamer zu sein). Daraus ist entnehmen, daß der Zugriff

ISSN:1368-2822    

DOI:10.3109/13682829609033161

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1996

数据来源: WILEY

摘要:

Book reviewed in this article:Disorders of Communication: The Science of Intervention By M M LeahyCase Studies in Clinical Linguistics Edited by Michael Perkins and Sarah Howard

ISSN:1368-2822    

DOI:10.3109/13682829609033162

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1996

数据来源: WILEY