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1. |
The changing role of the Privy Council Office† |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 4,
1971,
Page 487-508
Gordon Robertson,
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摘要:
Abstract.Since the establishment of the office of Secretary to the Cabinet thirty years ago, there have been a number of changes in the way the cabinet operates, one being in the cabinet committee system which has passed through three distinct phases and is now in a fourth. Nine standing committees exist, with significant changes in procedure, permitting ministers to participate more fully in discussion and to share responsibility better. The Cabinet Committee on Priorities and Planning, established in 1968, deals with broad objectives, main questions of policy with long‐term implications and with priorities for broad financial allocation.With the complexity of government and the scale of die elements of complexity increasing, the demands on ministerial time have become overwhelming.The Operations, Plans and Federal‐Provincial Affairs Divisions of the Privy Council Office, with a small and discreet staff constantly changing to avoid the formation of a ruling elite, assist the prime minister, cabinet and cabinet committees in the total process of decision‐making and in assuring a coherence of policy. Attempts are made to provide the central executive with full information and optimum freedom in taking the decisions for which parliament and the people of Canada have given them responsibility.Sommaire.Depuis la création du poste de secrétaire du Cabinet, il y a une trentaine d'années, il s'est produit un certain nombre de changements dans le fonctionnement même du cabinet. Citons, entre autres, le système des comités du cabinet qui est passé par trois phases distinctes et se trouve maintenant dans une quatrième phase. Il existe neuf comités permanents dont la procédure a subi d'importantes modifications pour permettre aux ministres de prendre une part plus active aux discussions, et de mieux partager les responsabilités. Le comité du cabinet chargé de l'établissement des priorités et de la planification, établi en 1968, s'occupe des objectifs généraux, des lignes de conduit A long terme et des priorités pour l'allocation générale des fonds.A cause de la complexité du gouvernement et de l'ampleur croissante de ses responsabilités, l'emploi du temps des ministres est devenu incroyablement chargé.Les sections des Opérations, des Plans et celle des Affaires fédérales‐provinciales du Conseil privé, avec un personnel peu nombreux et discret, constamment renouvelé pour éviter la formation d'une élite trop influente, aident le premier ministre, le cabinet et les comités du cabinet à prendre les decisions qui s'imposent et à assurer la cohérence de la politique du gouvernementale. Elles s'efforcent de fournir à l'exécutif central toute information utile et de lui assurer le maximum de liberté pour prendre les décisions dmt l
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00295.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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2. |
The changing role of the Prime Minister's Office† |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 4,
1971,
Page 509-537
Marc Lalonde,
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摘要:
Abstract.It is impossible to understand how the Prime Minister's Office has evolved without a clear appreciation of the prime minister's ‘office’ ‐ his powers, responsibilities and influence. By the ‘office’ of prime minister, I am referring not only to his role as shaped by constitutional custom and usage, but also to his contemporary leadership role in its widest context.The ‘raison d'être’ of the Prime Minister's Office is to serve the prime minister in the discharging of all his responsibilities ‐ as leader of the Canadian people, as head of the government and of the administration, as chief spokesman within the House of Commons, and as leader of a particular political party. His Office reflects, in large measure, his priorities, thinking, personality and style. Today, more than ever before, however, die Prime Minister's Office reflects the increasing burden and changing emphasis of his many responsibilities. Herein lies the principal theme and thrust of this paper. Only by defining what the contemporary prime minister does can we appreciate the task of the Office that helps him to do it.This paper is, therefore, divided into two major parts: the first one is entitled the office of prime minister and attempts to describe in a summary way the powers, functions and contemporary role of die prime minister; the second one is entitled the Prime Minister's Office and analyses how the Prime Minister's staff provides him with the assistance he requires in the discharging of his many responsibilities. I conclude with some brief personal thoughts about possible future developments of the office of the prime minister and the Prime Minister's Office.Sommaire.Il est impossible de camprendre l'évolution du Cabinet du Premier Ministre si l'on n'a pas une idée Claire de la charge de premier ministre, c'est‐à‐dire de ses attributions, de ses pouvoirs et de son influence. Par charge, j'entends non seulement le rôle de premier ministre tel que l'ont façonné les us et coutumes constitutionnels, mais aussi, au sens le plus large, ce rôle de meneur d'hommes qui est devenu le sien dans notre monde contemporain.La raison d'être du Cabinet du Premier Ministre est de l'aider à assumer toutes ses responsabilités de chef du peuple canadien, de chef du gouvernement et de la fonction publique, de premier porte‐parole à l'interieur de la Chambre des Communes, et de chef d'un parti politique. Dans une large mesure, son Cabinet est à l'image de sa personnalité, de son style, de sa pensée et de ses objectifs. Cependant, aujourd'hui plus que jamais, ce qui marque surtout son Cabinet, c'est le fardeau croissant de ses nombreuses responsabilités, aux solicitations toujours mouvantes. C'est là le thème majeur que j'entends développer. Ce n'est qu'en précisant ce que fait le premier ministre actuel que nous pourrons apprécier à sa juste valeur la tâche du Cabinet qui le seconde.Le présent exposé est, par conséquent, divisé en deux parties: la première, sous le titre de “La charge de premier ministre”, décrit brièment les attributions, les pouvoirs et le rôle actuel du premier ministre; la seconde, intitulée “Le Cabinet du Premier Ministre”, analyse la manière dont l'équipe du premier ministre lui apporte l'aide dont il a besoin pour assumer ses multiples responsabilités Je conclurai par quelques vues personnelles sur l'évolution possible d
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00296.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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3. |
National versus regional growth: some issues |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 4,
1971,
Page 538-555
D. D. Husband,
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摘要:
Sommaire.Les programmes de développement régional du gouvernement fédéral ont suscité toutes sortes de controverses. Bien que l'on s'accorde généralement pour reconnaître la nécessité de réduire les disparités régionales au Canada, du point de vue revenu et possibilités d'emploi, il semble difficile d'arriver à un accord sur les façons dont on pourrait réduire ces disparités. Le gouvernement fédéral a tendance maintenant à considérer que c'est en encourageant les possibilités d'emploi dans les régions défavorisées que l'on a les meilleures chances de succès, au lieu de ← siphoner → le surplus de main d'æuvre. C'est cette attitude fondamentale et les moyens envisagés qui sont disputés.L'auteur de cette communication fait abstraction des opinions passionnées et des interprétations possibles auxquelles peut donner lieu l'examen des measures prises par le gouvernement fédéral dans le domaine du développement régional. Il s'attache, au contraire, à présenter les arguments qui déterminent la proportion optimale de programmes de migration et de développement régional. Les objectifs de maximisation de l'essor national et de réduction des disparités régionales étant établis, il considère, du point de vue de la pleine utilisation de la main d'œuvre, l'allocation optionnelle des ressources et
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00297.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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4. |
The delegation of authority to crown corporations |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 4,
1971,
Page 556-579
A. G. Irvine,
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摘要:
Abstract.This paper attempts to outline how to improve the performance of the crown corporations of the Government of Canada. It surveys the activities of 52 crown corporations to show that those operating enterprises are concentrated in transport, communications, finance and trade while most of the others provide economic or social support services. Crown corporations are then shown to be a quite different form of organization from commercial companies. The criteria for their establishment are next distinguished: crown corporations do not undertake political or judicial functions and perform at least one of the functions of managing capital assets, lending, making transfer payments and research. After their establishment, corporations operating enterprises tend to be given limited powers to make economic decisions and are often required to make uneconomic expenditures while the major authority delegated to most of the non‐enterprises is one to spend. The managements of enterprises should therefore have full authority to make economic decisions, except when they borrow, and be relieved of uneconomic activities provided that they achieve standards of performance determined in advance. The managements of other crown corporations should continue to have authority to spend, subject to their demonstrating that their corporations produce services which a department cannot supply either readily or at lower cost.Sommaire.Cet exposé est un essai en vue de déterminer les moyens d'améliorer le rendement des sociétés de la couronne du Gouvernement du Canada. L'auteur étudie les activités de 52 sociétés de la couronne pour démontrer que celles qui exploitent des enterprises se cantonnent surtout dans le domaine des transports, des communications, de la finance et du commerce, tandis que la plupart des autres fournissent des services d'appoint économiques et sociaux. Il souligne ensuite la différence entre les sociétés de la Couronne et les entreprises commerciales. Puis il dégage les critères régissant leur fondation: les sociétés de la couronne n'assument aucune fonction politique ou judiciaire et remplissent au moins une des quatre fonctions de gérance des capitaux, prêts, paiements par transfert et recherche. Après leur établissement, les sociétés exploitant des entreprises accèdent souvent à une autorité bornée sur les décisions économiques et se voient souvent obligées à faire des dépenses désraisonnables du point de vue économique, alors que le pouvoir principal conféré aux sociétes sans but commercial est justement de dépenser. La direction des entreprises devrait done être autorisée à prendre des décisions économiques, sauf dans les cas d'emprunts, et être dégagée de toute activité non rentable à condition d'atteindre des normes de rendement fixées d'avance. La direction des autres sociétés de la Couronne devrait conserver le pouvoir de faire des déboursés, à condition d'être en mesure de démontrer que leur société fournit des services qu'un ministère s
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00298.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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5. |
Review of administrative decisions under the Federal Court Act (1970) |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 4,
1971,
Page 580-594
Norman Fern,
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摘要:
Abstract.It does not appear, at this time, that the average citizen's position vis‐á‐vis federal administrative agencies has been improved under the Federal Court Act (1970).For one thing, as might be expected, the Act doesnotrequire boards, beyond the rules of natural justice, to conduct their hearings according to certain minimum standards of procedure. In addition, it attempts to prohibit a role Canaidan courts have claimed to review the decisions of boards and commissions that areadministrativein nature.Of course, in non‐discretionary matters the prerogative writs are still available, although original jurisdiction in their issuance has been given exclusively to the itinerant Trial Division of the Federal Court.Under the Act, the Federal Court of Appeal is given original jurisdiction to review and set aside judicial or quasi‐judicial decisions on certain grounds. But two of the grounds are substantially similar to those on which the prerogative remedies are issued.The final ground must await judicial interpretation for clarification. Its loose wording permits numerous possibilities for construction. If given a broad interpretation, certain expert and impartial boards will be, in effect, superseded in much of their decision‐making power by the Court of Appeal.Sommaire.A l'heure actuelle, il ne semble pas que la position du citoyen moyen face aux agences administratives fédérates ait été améliorée par la Loi sur les tribunaux fédéraux (1970).Tout d'abord, comme on pourrait s'y attendre, la Loi n'oblige pas les conseils à observer des normes minimales de procédure dans la tenue des audiences en dehors du respect des règies de la justice humaine. Par ailleurs, elle cherch à priver les tribunaux canadiens d'un rôle qu'ils avaient assumé: la révision des décisions des conseils et commissions de caractère administratif.Bien sûr, dans les questions non‐discrétionnaires, les recours à l'ordonnance émise en vertu de la prérogative royale existent toujours mais c'est uniquement à la section itinérante du tribunal fédéral que revient la juridiction originale pour leur émission.En vertu de cette Loi, la Cour d'appel fédérale détient la juridiction originale pour réviser et casser les décisions judiciaires ou quasi‐judiciaires pour certains motifs. Deux des motifs ressemblent beaucoup à ceux qui permettent les recours en vertu de la prérogative royale.Le motif d'appel en dernier ressort ne pourra être éclairci qu'après interprétation judiciaire. Le texte est rédigé de façon si vague qu'il se prête à de nombreuses interprétations. S'il est pris dans un sens général, certains tribunaux experts et impartiaux verront en effect
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00299.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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6. |
The financing of post‐secondary education: basic issues and distribution of costs† |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 4,
1971,
Page 595-607
Douglas T. Wright,
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摘要:
Abstract.The papa‐ outlines some of the history of recent development in post‐secondary education in Ontario, with particular reference to planning mechanisms and finance. Planning questions are related to an outline analysis of some functions of post‐secondary education. The question of ‘custody’ as a function is raised, and it is noted that payment for attendance may imply custody as output or function. The relationship of education to certification and employment is discussed. Public/private cost allocation is considered in terms of social accessibility and transfers of resources. The question is raised whether post‐secondary education will tend to become ‘universal’ as secondary education has done in the past thirty years.Sommaire.Dans cet exposé, l'auteur décrit certains développements récents de l'enseignement post‐secondaire en Ontario, en insistant plus particulièrement sur les mécanismes de planification et de financement. Il établit un rapport entre les questions de planification et une analyse générale de certaines fonctions de l'enseignement post‐secondaire. Il soulève la question de la ← garde → en tant que fonction, et note que la rémunération de la présence peut impliquer que la ← garde →est une réalisation ou fonction. Il parle du rapport de l'éducation d'une part et de l'accréditation et de l'emploi d'autre part. Il considère la répartition des coûts entre le secteur public et le secteur privé du point de vue de l'aecessibilité sociale et du transfert des ressources. Il se demande si l'éducation post‐secondaire tendra à devenir universelle, comme cela s'est p
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00300.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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7. |
The Commission on the Relations between Universities and Governments: summary report! |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 4,
1971,
Page 608-620
Donald C. Rowat,
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摘要:
Abstract.TheReportof the Commission on the Relations between Universities and Governments was published in June 1970, in both English and French. The Commission was created by the university community rather than by government, and its members were Professors René Hurtubise and Donald Rowat. In this article, Dr Rowat summarizes the Commission's main findings and recommendations, and comments on the rising cost of post‐secondary education.TheReportdeals with the role of the university in society, the relations between universities and provincial governments, the role of the federal government in higher education and research, and problems of interprovincial coordination. So as to protect university independence in the face of growing provincial supervision, theReportrecommends the creation of provincial university coordinating commissions, with members from government, the universities and the outside public. TheReportalso argues that the federal government's role in higher education should be more limited, and that its role in university research should be co‐ordinated with that of the provinces. To promote interprovincial coordination, the Council of Ministers of Education should be strengthened and there should be created under its aegis an interprovincial commission on higher education.Rapidly rising costs will force us to face basic questions regarding how many should go to university, what kind of higher education is to be given, and how it should be organized.Sommaire.LeRapportde la Commission sur les relations entre les universités et les gouvernements a été publié en juin 1970, à la fois en anglais et en français. La Commission avait été créée par le Communauté universitaire plutôt que par le gouvernement, et ses membres étaient les professeurs René Hurtubise et Donald Rowat. Dans cet article, le Dr Rowat resume les principales conclusions et recommandations de la Commission et fait le point sur le coût croissant de l'éducation post‐secondaire.LeRapporttraite du rôle de l'université dans la société, des relations entre les universités et les gouvernements provinciaux, du rôle du gouvernement fédéral dans l'enseignement supérieur et la recherche, ainsi que des problémes de coordination interprovinciale. Afin de maintenir l'indépendance des universités face à une intervention provinciale toujours plus grande, leRapportrecommande la création de Commissions de coordination universitaires provinciales formées de membres du gouvernement, du corps universitaire et du public. LeRapportsoutient également que le rôle du gouvernement fédéral dans l'enseignement supérieur devrait être plus limité et que son rôle du point de vue de la recherche universitaire devrait être coordonné avec celui des provinces. Pour favoriser la coordination interprovinciale, il faudrait augmenter le pouvoir du Conseil des ministres de l'éducation et créer, sous son égide, une Commission interprovinciale de l'enseignement supérieur.La montée en flèche des frais nous obligera bientôt à considérer des questions fondamentales: le nombre de jeunes gens à admettre dans les universités, le genre d
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00301.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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8. |
Personnel induced frustration: an instrument for the selection of senior executives |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 4,
1971,
Page 621-633
H. F. Swan,
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摘要:
Abstract.The information in the paper is directed toward those concerned with the selection of senior executives. The paper explores the personnel induced frustration (PIF) method of executive selection pioneered by the federal government but rapidly spreading to the business and academic worlds. It discusses the psychological basis for the technique and its inherent adherence to the ‘merit principle’ of selection.The paper provides a full explanation of the application of the technique and illustrates its application by means of a case study. Charts developed for use in the federal government are included and will be of assistance to those wishing to adapt the technique to other organizations.The paper examines some of the innovative approaches devised by devotees of the method and answers critics who have charged that PIF tends to debase the individual.Sommaire.Cet exposé s'adresse plus particulièrement aux personnes chargées du choix des cadres supérieurs. L'auteur étudie la méthode de sélection des cadres par la provocation de la frustration chez le personnel (PFP) méthode mise au point par le gouvernement fédéral mais que le monde des affaires et de l'enseignement est en train d'adopter rapidement. Il considère le fondement psychologique de la technique et l'adhésion qu'elle implique au principe de la sélection par le mérite.Il explique en détail l'emploi de la technique et illustre son application par l'étude d'un cas particulier. Il reproduit des tables établis pour le gouvernement fédéral, qui faciliteront l'adaptation de la technique aux exigences d'autres organisations.Il examine certaines innovations mises au point par les adeptes de la méthode et répond aux critiques qui prétendent que la méthode de sélection des cadres par la provocation de la frustration chez le
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00302.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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9. |
Addendum |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 4,
1971,
Page 634-634
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PDF (28KB)
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ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00303.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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10. |
Books reviewed Comptes rendus |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 4,
1971,
Page 635-654
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PDF (1290KB)
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摘要:
Rapport de la Commission d'enquête sur la santé et le bien‐être social. Vol. IV: La SantéTome I: La situation actuelleThe Role of the Economist In Government PolicymakingByHUGH s. NORTON.Berkeley: McCutchan Publishing Corporation.The Abolition of PovertyByDAVID HOROWITZ.The Politics of Social Change: A Reader for the SeventiesThe City Manager Profession: Myths and RealitiesByJOHN c. BOLLENSandJOHN C. EIES.Chicago: Public Administration Service.Toward a National Urban PolicyEdited byDANIEL P. MOYNIHAN.The Evolution of Indian AdministrationBySHRIRAM MAHESHWARI.Decision‐MakingByR. A. CHAPMAN.Toronto: General Publishing Co. Ltd.1970.Bureaucracy and InnovationByVICTOR A. THOMPSON.University, Alabama: University of Alabama Press.The Theory of OrganizationsByDAVID SILVERMAN.London: Heinemann Educationa
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00304.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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