|
1. |
The minister's staff: the need for reform |
|
Canadian Public Administration,
Volume 26,
Issue 4,
1983,
Page 509-524
Donald J. Savoie,
Preview
|
PDF (1025KB)
|
|
摘要:
Abstract:A number of observers have of late commented on the growing influence of permanent public servants on the policy process in government at the expense of ministers and have suggested measures to rectify the situation. This paper looks at ministers' staff as a means to give ministers the capacity to provide policy directions to their departments and to assess policy advice coming from permanent public servants.The paper describes the kind of resources available to ministers, the background of individuals in ministerial offices and the responsibilities now carried out by these offices. It then points to deficiencies in the present arrangements, if the offices are to play a strong policy advisory role. The kind of reforms necessary to give such a capacity to ministers' offices is then outlined. These reforms, it is argued, could be instituted without far‐reaching structural changes to our public administration system.Sommaire:Récemment, certains observateurs ont attiré l'attention sur l'influence croissante que des fonctionnaires permanents exercent sur les décisions gouverne‐mentales, au détriment des ministres. Des mesures ont été proposées pour corriger cette situation. L'auteur examine ici le rôle des collaborateurs d'un ministre, qui pourraient fournir à ce dernier les ressources dont il a besoin pour orienter les activités de son ministère et évaluer les conseils des fonctionnaires permanents quant à la politique à suivre.L'auteur décrit ensuite le genre de ressources dont disposent les ministres, l'expérience et la formation du personnel des cabinets ministériels, ainsi que les responsabilités qu'il est appeléà assumer de nos jours. Il attire ensuite l'attention sur les lacunes du système actuel et sur les moyens à mettre en oeuvre pour y remédier si l'on veut que les cabinets ministériels jouent un rôle consultatif utile dans l'élaboration des politiques. L'auteur expose alors le type de réformes à mettre en oeuvre pour permettre aux cabinets ministériels d'accomplir cette fonction. Comme il le fait valoir, de telles reformes pourraient trés bien être introduites sans qu'il soit nécessaire de modifier en profondeur la structure de not
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1983.tb01042.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1983
数据来源: WILEY
|
2. |
The state as entrepreneur: from CDC to CDIC |
|
Canadian Public Administration,
Volume 26,
Issue 4,
1983,
Page 525-543
Stephen Brooks,
Preview
|
PDF (1166KB)
|
|
摘要:
Abstract:Focusing upon the case of the Canada Development Corporation, this paper provides a critique of the joint stock company as an instrument of public policy. The corporation's performance is evaluated against three criteria which emerge from a review of the circumstances leading to the creation of the CDC, namely: contributing to diversified industrial development in Canada; establishing the joint stock company as an accepted medium of private/public cooperation in economic activity; and providing income returns to the government. The CDC'S failure as a governing instrument is attributed to the fact that, in resolving its anomolous status as neither clearly state enterprise nor clearly private enterprise, the corporation was forced to distance itself from its major shareholder (i.e., the state) in order to retain the support of the investment community.The analysis in the second part of the paper proceeds through three stages: a review of the circumstances in the creation of the Canada Development Investment Corporation (cdic); identification of its probable rble; and a comparison with two alternative models of the state holding company. While the CDIC is a more tractable governing instrument than was the CDC, the early pattern of the CDIC'S commercial activities suggests a dismal financial future.Sommaire:Cet article, qui étudie le cas de la Corporation de développement du Canada, présente une critique de la société en commandite en tant qu'instrument dapplication de la politique gouvernementale. Le rendement de la Corporation est évalué a partir des trois critères suivants, qui découlent de l'examen des circonstances ayant conduit à la création de la CDC: contribuer à la diversification du développement industriel au Canada; faire de la sociétA en commandite un moyen reconu de favoriser la coopération entre les entreprises publiques et privées dans l'activitééconomique; et fournir des revenus au gouvernement. L'échec de la CDC en tant qu'instrument de gouvernement est attribué au fait que, compte tenu de son statut ambigu dentreprise mi‐publique mi‐privée, la Corporation a été contrainte à prendre ses distances vis‐à‐vis de son principal actionnaire (à savoir l'Etat), afin de conserver l'appui des investisseurs.L'analyse presentee dans la seconde partie de l'article se déroule en trois étapes: étude des circonstances ayant amené la création de la CDIC, ou Corporation de développement et d'investissement du Canada; identification de son rôle probable; et comparaison avec deux autres modèles possibles de société H portefeuille contrôlée par I'Etat. Bien que la CDIC soit un instrument de gouvernement plus souple que ne l'etait la CDC, les premières conclusions que I'on peut tirer au sujet de ses activités commerciales tont envisager I'avenir financier avec un profond pessimisme.(The) form of public organization significantly affects the policies they adopt and the kind of management they conduct. Any structure for making decisions encourages certain types of choice and discourages othe
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1983.tb01043.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1983
数据来源: WILEY
|
3. |
Captive or victim: the Board of Broadcast Governors and Bernstein's Law, 1958–68 |
|
Canadian Public Administration,
Volume 26,
Issue 4,
1983,
Page 544-562
W.H.N. Hull,
Preview
|
PDF (1210KB)
|
|
摘要:
Abstract:Marver Bernstein has suggested that there is a cyclical pattern to the life of a regulatory agency and that after a initial honeymoon public support for the agency falls away, leaving the agency subject to capture by the industry supposedly being regulated. This thesis is applied to the Board of Broadcast Governors, 1958–68. After a brief examination of the history of the Board, its purpose and powers and the concept of independence in the Canadian regulatory process, the author examines five examples of alleged capture: the Canadian content regulations, the development and structuring of the CTV network. the extension of the second television stations, the delay in the introduction of cable TV and the introduction of colour television. The conclusion is drawn that the Board, while it of necessity kept the interests of the private sector in broadcasting in mind, was not the captive of the industry but rather a victim of indifferent ministerial support, vacillating and at times unknown government policies, uncertain financial commitments, inadequate legislation and a schizophrenic public. Finally, it is suggested that a conflict resolution model would provide another useful analytical approach to the study of the Board's activity.Sommaire:Marver Bernstein a acancé l'idée que l'existence d'un organisme de régulation est réglée de maniére cyclique et, qu'aprés une période initiale de “lune de miel”, arrive un moment ou l'organisme ne reçoit plus le soutien politique du groupe qui l'a Créé et risque alors de tomber sous la tutelle de l'industrie qu'il est censé contrder. Cette thése est appliquée ici au Bureau des gouverneurs de la radiodiffusion, pour la période allant de 1958 à 1968. Aprés un bref examen de l'histoire du Bureau, de ses objectifs et pouvoirs et du concept d'indépendance dans l'exercice des fonctions de régulation au Canada, l'auteur étudie cinq exemples de soi‐disant tutelle: la réglementation sur le contenu canadien, le développement et la structuration du réseau GTV, l'accroissement du nombre des stations appartenant au second réseau de télévision, le retard dans la création de la câblodiffusion et l'introduction de la télévision en couleur. L‘étude conclut que le Bureau qui, par la force des choses, n’ a jamais perdu de vue les intérêts du secteur privé, n‘ a cependant pas été l'otage de l'industrie inais plutôt la victime de plusieurs autres facteurs: I'indifference ministérielle, des politiques gouvernementales mal définies et même parfois inconnues, des engagements financiers incertains, me législation inadéquate et un public schizophrene. En terminant, l'auteur suggère qu'un modèle de résolution des conflits permettrait cl'aborder diff
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1983.tb01044.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1983
数据来源: WILEY
|
4. |
The question of quangos: quasi‐public service agencies in British Columbia |
|
Canadian Public Administration,
Volume 26,
Issue 4,
1983,
Page 563-576
John W. Langford,
Preview
|
PDF (908KB)
|
|
摘要:
Abstract:Many governments employ ostensibly private organizations (or quangos) to deliver social policy to the public. Using British Columbia as a case study, this paper examines a number of questions associated with the employment of quangos by modern governments. Specifically, the author analyses the rationales which are commonly used to justify the choice of this organizational form and speculates on the continued popularity of the form in a period of spending restraint and government “down‐sizing.” He goes on to examine the problems inherent in directing and coordinating a policy delivery system containing a large number of quangos. The issue of the efficiency of this vehicle of service delivery is then discussed. Finally the author offers some thoughts on the problems of holding quangos accountable in a modern democratic state.Sommaire:De nombreux gouvernements emploient des organismes de toute évidence privés (appelés “quangos”, terme crééà partir de l'expression anglaise “quasi‐autonomous non‐governmental organizations”) pour offrir au public certains services sociaux. Partant de l'examen du cas de la Colombie‐Britannique, cette communication étudie un certain nombre de questions liées à l'utilisation des “quangos” par les gouvernements modernes. Plus précisément, l'auteur analyse les raisons communément avancées pour justifier le choix de cette forme d'organisation, et il s'interroge également sur sa popularité persistante à une époque de restrictions budgétaires et de compression gouvernementale. L'auteur examine ensuite les problémes inhérents à la direction et à la coordination d'un systéme de distribution des services utilisant un grand nombre de “quangos”. Après avoir tenté dévaluer l'efficacité dun tel instrument de distribution des services, il conclut en proposant quelques réflexions sur la difficile question de l'imputabilité des “quangos” au sein d'un état démocratique moderne.It has become commonplace in recent years to acknowledge that the state is not the simple
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1983.tb01045.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1983
数据来源: WILEY
|
5. |
Le style de gestion du personnel chez les administrateurs publics et privés: une question d'efficacité? |
|
Canadian Public Administration,
Volume 26,
Issue 4,
1983,
Page 577-590
Yuan Bordeleau,
Preview
|
PDF (884KB)
|
|
摘要:
Sommaire:Au cours des vingt derniéres années, nombreuses ont été les critiques quand il s'est agi de comparer l'efficacité générale de l'administration publique par rapport à l'administration privée. Plusieurs auteurs ont attribué la plus faible efficacité de l'administration du secteur public à des objectifs organisationnels ambigus, à une absence de suivi ou dévaluation des résultats, à une valorisation moindre de l'efficacité au niveau de l'utilisation des ressources de l'organisation ou à une sensibilisation moindre face à la nécessité d'établir des contrôles de gestion. Les quelques auteurs qui se sont intéressés plus spécifiquement au style de gestion du personnel dans les secteurs public et privé ont obtenu des résultats contradictoires. C'est dans cette perspective de la problématique de l'efficacité que la présente étude aborde, de façon particulière, la gestion d'une des ressources importantes de I'organisation, soit les ressources humaines. Dans une étude effectuée auprès d' administrateurs publics et privés canadiens‐français, les résultats démontrent que les administrateurs publics semblent moins sensibilisés que les administrateurs privés à l'utilisation optimale des ressources humaines (intérêt pour leur développement et relations de support au travail) et manifestent un désir moindre d' établir différents systèmes de contrôle et de surveillance, ce qui mérite réflexion quand on aborde la problématique de l'efficacité.Abstract:Over the last two decades, numerous criticisms have been addressed towards the efficiency of publicly versus privately administered organizations. Many reasons can be advanced to explain the poor performance of public institutions: from the lack of specificity of their objectives to a lack of evaluation; from the less efficient use of human resources to a relative disregard for the criticality of management control systems. Only a few studies have looked at the issue of the leadership styles and characteristics observed in private versus public organizations and they have yielded contradictory results. It is within this perspective that this study attempts to analyse how leaders in both organizational structures handle human resources. In a study conducted with French Canadian public and private administrators, results indicate that public administrators seem less sensitive to issues of optimal utilization of human resources (professional development and supportive attitudes at work) and appear to be less interested in establishing organizational control systems than is the case for private administrators. This provides food for
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1983.tb01046.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1983
数据来源: WILEY
|
6. |
Business‐government relations in Canada: a conceptual map |
|
Canadian Public Administration,
Volume 26,
Issue 4,
1983,
Page 591-609
V. V. Murray,
C. J. McMillan,
Preview
|
PDF (1204KB)
|
|
摘要:
Abstract:This paper attempts to bring some order to the large and complex body of work that analyses the state of contemporary business‐government relations in Canadian society. A conceptual framework is proposed which differentiates between the substantive content of business‐government interdependence (laws, policies, programs) and the relationship itself in terms of the congruence of values and the power balance over time. It also distinguishes between two broad levels of analysis, that which sees the relationship as shaped solely by the larger societal context in which it exists; and a “micro” level which tends to take the societal context as given and focus on various aspects of the structure and process in the relationship between business leaders, politicians, senior civil servants and other organized interest groups. A number of schools of thought are identified by means of this conceptual framework and their basic ideas compared and contrasted.Sommaire:Le propos de cet article est dordonner quelque peu la masse, importante et complexe, des etudes analysant les relations qui existent entre les gouvernements et le monde des affaires dans la société canadienne contemporaine. L'auteur nous propose un cadre théorique établi sur une distinction entre, dune part, les aspects organiques de l'interdépendance entre le gouvernement et le monde des daires (legislation, politiques, programmes) et, d‘ autre part, les relations elles‐mêmes, considérées du point de vue de la congruence des valeurs et de l’équilibre diachronique des pouvoirs. L'auteur distingue aussi entre deux niveaux danalyse: un premier niveau, qui conçoit les relations comme entièrement modelées par le macro‐contexte de la société dans laquelle elle existe; et un micro‐niveau, où le contexte social est tenu pour acquis et où le centre de l'analyse est constitué par les différents aspects de la structure et du processus de relation entre les chefs dentreprise, les politiciens, les hauts fonctionnaires et d‘ autres groupes dintérêts. Ce cadre théorique permet finalement l'identification de plusieurs “écoles de pensée”, de même que la com‐parais
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1983.tb01047.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1983
数据来源: WILEY
|
7. |
L‘évaluation du rendement des cadres supérieurs dans la fonction publique québécoise |
|
Canadian Public Administration,
Volume 26,
Issue 4,
1983,
Page 610-628
Marcel Proulx,
Michel Roy,
Preview
|
PDF (1172KB)
|
|
摘要:
Sommaire:Au moment où l'on parle de plus en plus de l'imputabilité des gestionnaires publics, il paraît important de s'interroger sur les mécanismes grâce auxquels les administrateurs sont anenés à rendre compte de leur gestion. Le présent article contribue àéclairer cette question en examinant le processus d'évaluation du reiidenient des cadres supérieurs de la fonction publique quéléoisr. Après avoir décrit l'origine et le conteiiu de la politique d'évaluation dn rendement des cadres, les auteurs inontrent que, jusqu' à maintenant, le processus d'évaluation du rendenient exerce en définitive un impact limité sur la gestion. L'analyse du eontenu de plus de 400 fiches d'évaluation du rendement réevèle par ailleurs que les gestionnaires supérieurs éprouvent des difficultés sérieuses dans la définition des attentes signifiées à leurs subordonnés et dans l'évaluation de leurs réalisations.Abstract:At a time when accountability is brought to the forefront in the public service, one has to wonder if the system provides the managers with adequate measurement tools, allowing them to render a satisfactory account of their management. in this article, the authors examine the managers' performance appraisal system in Quebec's Civil Science and draw conclusions on its usefulness as a management tool and its fairness as a compensation devise. After describing the origins and substance of the present policy, they demonstrate that results of the appraisal practice have indeed very little impact on management decisions. The analysis of as many as 400 appraisal forms reveals moreover that managers experience serious difficulties in defining the expectancies of their subordinates in the appraising of results.Le présent article est le résumé d'une étude publiée par le Centre d'études politiques et administratives du Québec: Marcel Proulx et Slichel Roy,L'évaluation du rendement des cadres supérieurs dans la fonction publique québécoise, coll. Bilans et Perspectives, no 1, Québec, École na
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1983.tb01048.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1983
数据来源: WILEY
|
8. |
Responsiveness versus accountability in collaborative federalism: the Canadian experience |
|
Canadian Public Administration,
Volume 26,
Issue 4,
1983,
Page 629-639
M. Paul Brown,
Preview
|
PDF (750KB)
|
|
摘要:
Abstract:Accountability is very much on people's minds these days, and the area of intergovernmental relations is no exception. The concern here is that the processes of collaborative federalism developed in the name of “responsiveness” have resulted in the federal and provincial governments no longer being accountable to the public they are meant to serve. This perceived problem has elicited eloquent statements of alarm and various proposals for reform, most of which are grounded in the parliamentary version of the classic hierarchical accountability relationships.This paper presents a critique of proposals for a parliamentary solution to the problem of accountability in Canadian collaborative federalism. It shows that such proposals will not do because they are premised on faulty theoretical grounds. That is, they try to apply the parliamentary version of the classic accountability relationship to collaborative processes, when this resort is precluded by the nature of the locus of authority in the federal paradigm. The result is not a problem but a dilemma: we can have the assurance of classic accountability, or responsiveness seen as collaboration, but not both. The paper concludes that there is no satisfactory way around this dilemma, and that we must recognize that the loss of accountability is the price to be paid for the benefits of collaboration.Sommaire:Le concept d'imputabilité est, de nos jours, un important sujet de préoccupation, et le domaine des relations intergouvernementales ne fait pas exception à cette règle. Le but de ce article est de montrer que le développement du fédéralisme coopératif, issu dun désir des gouvernements fédéral et provinciaux de se montrer plus accueillants envers les besoins des administrés, a abouti à la non‐imputabilité de ceux‐ci vis‐à‐vis du public qu'ils ont pour mission de servir. Ce problème évident a donné lieu à d'éloquentes mises en garde et à plusieurs projets de réforme, qui s'appuient le plus souvent sur la version parlementaire des relations hiérarchiques classiques en matière d'imputabilité.Cet article présente une critique des projets qui préconisent une solution parlementaire au problème de l'imputabilité au sein du fédérahsme canadien de type cooperatif. Il met en lumière l'inadéquation de tels projets, qui partent tous de prémisses essentiellement théoriques. En clair, ces projets essaient d'appliquer aux processus de collaboration la version parlementaire des rapports d'imputabilité de type classique, alors que cette possibilité est exclue du fait de la nature même de la localisation du pouvoir à l'intérieur du modèle fédéral. Ce qui en resulté, ce n'est pas un problème, mais un dilemme: nous pouvons préserver l'imputabilité au sens classique ou la réceptivité entenctrie au sens d'une collaboration, mais pas les deux en même temps. L'auteur en conclut que ce dilemme n'admet pas de solution satisfaisante et que nous devons done reconnaître que les avantages de la collaboration
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1983.tb01049.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1983
数据来源: WILEY
|
9. |
Reviewing the reviewer: The Constitutional profile of a book reviewer |
|
Canadian Public Administration,
Volume 26,
Issue 4,
1983,
Page 640-645
Edward McWhinney,
Preview
|
PDF (380KB)
|
|
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1983.tb01050.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1983
数据来源: WILEY
|
10. |
Books reviewed Comptes rendus |
|
Canadian Public Administration,
Volume 26,
Issue 4,
1983,
Page 647-669
Preview
|
PDF (1399KB)
|
|
摘要:
Public Administration Education in TransitionDemocracy in Trade UnionsLawyers and the Consumer Interest: Regulating the Market for Legal ServicesRegulating the Regulators: Science, Values and DecisionsLa décentralisation administrative dans le Nord de la France 1790–1793lntergovernmental Relations in the 1980sThe Cult of the Atom: The Secret Papers of the Atomic Energy CommissionManaging the Large Organization: Issues, Ideas, Precepts, InnovationsNone Is Too Many: Canada and the Jews of Europe, 1933
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1983.tb01051.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1983
数据来源: WILEY
|
|