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1. |
Reducing costs by consolidating municipalities: New Brunswick, Nova Scotia and Ontario |
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Canadian Public Administration,
Volume 39,
Issue 3,
1996,
Page 267-289
Andrew Sancton,
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摘要:
Abstract:Notwithstanding a lack of interest by cost‐cutting governments in Britain and the United States, municipal consolidation has emerged in at least three Canadian provinces ‐ New Brunswick, Nova Scotia and Ontario ‐ as a significant government priority. There is no academic evidence to suggest that consolidation produces savings. Government reports in New Brunswick have tended to point more to non‐financial benefits from consolidation, but the creation of the single‐tier Halifax Regional Municipality in Nova Scotia has been justified primarily in terms of projected cost savings. In Ontario, the “Common Sense Revolution” commits the government to reducing overlap and duplication but not necessarily to consolidation. A ministry study of one Ontario municipal amalgamation purports to demonstrate savings, but the conclusions are questionable. The report of the task force on the Greater Toronto Area is significant because it specifically rejects claims that lower‐tier amalgamations will save money and because it points to the benefits of municipal competition. Reducing the number of municipal governments does not necessarily mean less government.SommaireMalgré le manque&d'interêt de la part des gouvernements de la Grande‐Bretagne et des États‐Unis, qui s'efforcent pourtant de réduire les coûts, les fusions municipales sont devenues une priorité gouvernementale importante dans au moins trois provinces canadiennes: Nouveau‐Brunswick, Nouvelle‐Écosse et Ontario. Il n'existe pas de preuve formelle qu'une fusion intermunicipale permet de réaliser des économies. Les rapports gouvernementaux au Nouveau‐Brunswick ont surtout mis en relief les avantages non financiers des fusions, mais la création de la municipalité régionale de Halifax, en Nouvelle‐Écosse, a été justifyée avant tout en fonction des économies de coût prévues. En Ontario, la révolution du bon sens» incite le gouvemement à réduire les chevauchements et les doubles emplois, sans cependant aller jusqu'à la consolidation ou la fusion. Une étude ministérielle concernant une fusion municipale en Ontario prétend avoir démontré&l'existence&d'économies, mais ses conclusions sont douteuses. Le rapport du groupe&d'étude sur la région du Grand Toronto revêt une certaine importance puisqu'il rejette catégoriquement&l'argument voulant que la fusion de municipalités de niveau inférieur permette&d'économiser de&l'argent et puisqu'il souligne les avantages de la concurrence municipale. En réduisant le nombre de gouvernements muni
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1996.tb00133.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1996
数据来源: WILEY
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2. |
Municipal law, delegated legislation and democracy |
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Canadian Public Administration,
Volume 39,
Issue 3,
1996,
Page 290-313
Reid Cooper,
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摘要:
Abstract:Recent interest in decentralizing government has resulted in increased support for local autonomy within administrative circles. Given democracy's origins in the self‐rule of cities, there are sound historic reasons for this renewed appreciation of municipal governments. But advocates of decentralization seem to have overlooked certain legal problems that have been created by the current lack of constitutional status for municipal governments. Being mere agents of delegated legislation, municipal governments are more vulnerable to outside interference than even many purely administrative bodies. Hence, any serious effort to increase the responsibilities and authority of local governments must include a reform in the constitutional status of municipalities that would recognize that local governments should not be treated as mere agents of delegated legislation.SommaireDans les milieux administratifs, le fait que&l'on s'inteiésse depuis quelques temps à la décentralisation du gouvernement a fait que Ton preconise davantage&l'autonomie locale. Puisque la démocratic est à&l'origine de&l'autonomie des villes, cet engouement pour les gouvemements municipaux repose sur des bases historiques solides. Les partisans de la décentralisation semblent cependant avoir perdu de vue certains problèmes juridiques créés par&l'inexistence&d'un statut constitutionnel pour les gouvemements municipaux. Comme simples agents&d'une délégation législative, ces derniers sont encore plus vulnérables que de nombreux organismes purement administratifs aux interventions venant de&l'extérieur. Par consequent, tout effort sérieux visant à augmenter les responsabilites et&l'autorité des gouvemements locaux doit comprendre une réforme du statut constitutionnel des municipalités, reconnaisant le fait que&l'on ne devrait pas traiter les gouvemements locaux comme de simples agents is
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1996.tb00134.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1996
数据来源: WILEY
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3. |
Reconciling expectations and reality in House of Commons committees: The case of the 1989 GST inquiry |
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Canadian Public Administration,
Volume 39,
Issue 3,
1996,
Page 314-335
Jonathan Malloy,
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摘要:
Abstract:Most members of Parliament, as well as many Canadians, believe that the House of Commons should play a more direct role in policy making. This is particularly evident in the standing committee system, where MPS consider a successful committee to be one that has a direct influence on government policy. However, these policy‐making expectations conflict with the reality of both the highly partisan Canadian House and the structure of the Westminster style of cabinet government and obscure the roles of scrutiny and education, which committees do perform effectively. Through a case study of the standing committee on finance and its 1989 investigation of the government's GST technical paper, we see that committee members tend to focus solely on policy making. By contrast, the government and many interest groups use the committee more as a public forum, often to communicate with each other. The real effect of committee members on policy‐making is difficult to gauge and is intertwined with the committee's public‐forum role. In an age of public disillusionment with Parliament and politicians, the gap between expectations and reality must be reconciled; however, this requires work on both sides. Governments and parties could relax their hold on committee members and actively seek out areas where committees can play a role in the policy‐making process. In turn, committees must reconcile themselves to the reality of the Westminster system and be realistic in their policy‐making expectations.SommaireLa plupart des députés ainsi que de nombreux Canadiens pensent que la Chambre des communes devrait jouer un rôle décisionnel plus direct dans la formulation des politiques. Ceci est particulièrement évident dans le cadre du système des comités permanents, oú les députés considèrent que seuls les comités qui influent directement sur les politiques gouvernementales font du bon travail. Cependant, ces attentes en ce qui concerne la formulation des politiques se heurtent, d' aune part, à la réalité d'une Chambre des communes fortement divisée et partisane et, d' autre part, à la structure gouvernementale style Westminster, axée sur le Conseil des ministres. Par ailleurs, ces arterites ignorent le travail d'analyse et d' éducation qui est tres bien fait par les comités. Une étude de cas du Comité permanent des finances et de son enquête menée en 1989 sur la présentation technique du gouvernement concernant la TPS montre bien que les membrés des comités ont tendance à se concentrer uniquement sur la formulation des politiques. Par contre, le gouvernement et de nombreux groupes&d'intérêt utilisent les comités en tant que forum public, souvent pour communiquer entre eux. Il est difficile d'évaluer l' effet réel qu'ont les membres des comités sur la formulation des politiques; cet effet est imbriqué dans le rôle de forum public du comité. À une époque oú le public est désillusionné par le Parlement et les politiciens, il faut combler l' écart entre les attentes et la réalité, mais cela exige que les deux côtes y mettent du leur. Les gouvernements et les partis politiques pourraient relâcher leur emprise sur les membres des comités et trouver des domaines dans lesquels les comités puissent jouer un rôle dans la formulation des politiques. À leur tour, les comités devraient se faire à la réalité du système Westminster et adopter une attitude réaliste en
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1996.tb00135.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1996
数据来源: WILEY
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4. |
Le modéle‐idéal de gestion des professionnels: le point de vue des gestionnaires |
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Canadian Public Administration,
Volume 39,
Issue 3,
1996,
Page 336-361
Louise Lemire,
Gilles Guérin,
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摘要:
Sommaire:Le nombre de professionnels salariés croict de façon réguliere sur le marche du travail. Pourtant, selon certains auteurs, les grandes organisations bureaucratiques n'auraient pas suffisamment pris en compte les aspirations et valeurs des travailleurs intellectuels. II existerait, dans le secteur public, un malaise generalise et constaté, y compris le sentiment de nombreux professionnels que leur organisation ne les valorise pas vraiment. Pour satisfaire leurs aspirations, il s'agirait de mettre en place des pratiques de gestion des ressources humaines innovatrices favorisant une meilleure atmosphère de travail, une nouvelle forme de pensée oú l'integrite professionnelle et les finalites organisationnelles seraient maintenues et valorisées.Le but de l'article est de cerner le point de vue des gestionnaires sur la façon de gerer la main‐d'oeuvre professionnelle dans leurs organisations. Cette analyse sera effectuee a partir du modele‐idéal de gestion des professionnels. Notre etude démontre qu'il serait possible de satisfaire davantage les aspirations professionnelles en matière d'intégration des nouveaux employés, d'appreciation du travail par le superieur, d'amenagement du temps de travail, de signature du travail et d'autonomie. Cependant, les besoins de participation, de communication, de developpe‐ment de la carriere et de responsabilisation des professionnels seraient plus difficiles a combler dans des milieux de travail ou il y a centralisation de la prise de decision. Enfin, en matière de mobilite, les aspirations professionnelles seraient limitees par diverses clauses de conventions collectives, de meme que par le type de culture qui existe actuellement dans les organisations du secteur public.Abstract:The number of salaried professionals in the labour market is growing steadily. According to some writers, however, large bureaucratic organizations have not taken sufficient account of the values and expectations of non‐manual workers. These writers contend that within the public sector a generalized malaise is expressed in several ways, including the feeling among many professionals that they are not truly appreciated by their organization. To deal with these expectations, innovative human resources management practices should be adopted to promote a better work atmosphere and new thinking through which professional integrity and organizational purposes could be maintained and enhanced.This article seeks to define the perspective of managers on the management of professional employees within their organizations. The analysis begins with the presentation of an ideal model of professional management and shows that it is possible to meet more effectively professional expectations in the field of new‐employee integration, work appréciation by superiors, timetable adjustments, work recognition and responsibility. Satisfying professional needs for participation, communication, career development arid empowerment would be more difficult in organizations where decision‐making is centralized. Finally, regarding mobility, professional expectations would be limited by several collective‐agreement clauses, as well as by the type of corporate culture that presently prevails i
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1996.tb00136.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1996
数据来源: WILEY
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5. |
Environmental priority setting based on comparative risk and public input |
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Canadian Public Administration,
Volume 39,
Issue 3,
1996,
Page 362-385
John Moffet,
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摘要:
Abstract:This paper discusses the role of public input in comparative risk (CR) based priority‐setting exercises and is premised on the assertion that the fundamental characteristic of environmental policy priority‐setting is that it requires the exercise of judgement in the face of uncertainty. Critics argue that an emphasis on risk assessment can obscure this characteristic and thereby undermine public trust, a prerequisite of effective priority setting. This paper argues that risk‐ranking or priority‐setting exercises undertaken by government agencies are unlikely to be taken seriously or viewed as legitimate by the public unless they provide for visible and credible public participation. I also argue that there is no methodology to allow for the formal integration of scientific evidence, economic considerations and public perceptions in such a priority‐setting exercise. Instead, governments ought to rely on group‐based dialogue to develop subjective and qualitative orderings. More specifically, I suggest that cR‐based priority‐setting exercises should confront the uncertainty and judgement inherent in such exercises by identifying and taking into account four different considerations: scientific evidence about relative risks to the environment and human health, including evidence about the distribution of those risks and about the uncertainty associated with the scientific estimates of those risks; non‐scientific factors influencing public perceptions of risk, such as dread, voluntariness, etc.; the estimated cost to reduce each risk being assessed; and the administrative feasibility and political viability of taking action to reduce each risk.Sommaire:Cet article traite du rôle du public dans le cadre des exercices de définition des priorités a partir du risque comparatif (RC). L'article part de l' hypothése que la définition des priorités en matière de politique environnementale compte parmi ses caractéeristiques fondamentales le fait qu'il faut exercer du jugement face a 1'incertitude. Selon les critiques, en mettant 1'accent sur revaluation du risque, on risque de négliger cette caracteristique et de saper ainsi la confiance du public; or, celle‐ci est un elementsine qua nonde toute définition efficace des priorités. Selon l'article, le public ne prendra probablement pas au serieux et ne tiendra pas pour legitimes des exercices de définition des priorités ou des risques entrepris par des organismes gou‐vernementaux, a moins qu'une participation a la fois visible et credible du public ne soit prevue. affirme aussi qu'il n'y a pas de méthodologie permettant l'integration formelle des données scientifiques, des considerations d'ordre économique et des perceptions du public dans un tel exercice de définition des priorites; le gou‐vernement devrait plutot faire appel au dialogue collectif pour determiner l'ordre subjectif et qualitatif des priorités. Plus precisement, je maintiens que les exercices de définition des priorités bases sur le risque comparatif devraient cerner 1'incertitude et le jugement intrinseques de ces exercices en tenant compte de quatre elements: les données scientifiques sur le risque relatif pour l'environnement et la sante humaine, y compris les données concernant la repartition de ces risques et l'incertitude liee aux estimations scientifiques de ces risques; les facteurs non scientifiques qui influent sur la perception du risque par le public, tels que la peur, l'esprit bénévole, etc.; les couts estimatifs de la reduction de chaque risque evalue; et la faisabilité administrative et la viability politique d
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1996.tb00137.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1996
数据来源: WILEY
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6. |
Canada's international air transport policy: too little change, too late? |
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Canadian Public Administration,
Volume 39,
Issue 3,
1996,
Page 386-402
J.A.A. Lovink,
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摘要:
Abstract:This article evaluates the changes in Canada's approach to economic regulation of international air services over the past twenty‐five years and considers whether these changes were an adequate response to changing circumstances. It argues that the most common criticisms that the policy is too protective of Canada's scheduled airlines, too slow in permitting increased competition and too lackadaisical in promoting improved services are largely unjustified. It also suggests that, in the coming decade, further moves to substantial economic deregulation are likely to be confined to high‐density routes between economically developed countries. Elsewhere, progress in that direction will be heavily influenced by whether or not the major consortia of international airlines will offer the world's smaller, weaker carriers their own place in the sun.Sommaire:Dans cet article, on évalue l' évolution de l' approche canadienne en matière de réglementation économique des services aériens internationaux au cours des 25 dernières années, afin de savoir si cette évolution constitue une reaction adequate face au changement. On affirme dans cet article que les arguments critiques le plus couramment opposes a cette politique, čest‐à‐dire qu'elle a trop protege les lignes aeriennes regulieres du Canada, qu'elle a trop tarde a permettre une concurrence accrue et qu'elle s'est peu souciée de favoriser une amelioration des services, sont en tres grande partie sans fondement. On y suggère également que, pendant la prochaine decennie, toute tentative substantielle de déréglementation économique risque de se limiter aux routes aériennes à forte circulation, entre pays économique‐ment developpes. Ailleurs, les progrés en ce sens seront fortement tributaires de la volonte des grands consortiums de lignes aériennes internationales de céder un creneau aux transp
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1996.tb00138.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1996
数据来源: WILEY
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7. |
One small step in an uncertain direction: the Science and Technology Review and public administration in Canada |
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Canadian Public Administration,
Volume 39,
Issue 3,
1996,
Page 403-417
John Mothe,
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PDF (912KB)
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ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1996.tb00139.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1996
数据来源: WILEY
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8. |
Book Reviews |
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Canadian Public Administration,
Volume 39,
Issue 3,
1996,
Page 418-434
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PDF (1139KB)
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摘要:
Book reviewed in this article:The New Public Management: Canada in A Comparative PerspectiveBy PETER AUCOIN.Studying Public Policy: Policy Cycles and Policy SubsystemsBy MICHAEL HOWLETT and M. RAMESH.Canada. Commission royale sur les peuples autochtones. La reinstallation dans I'ExtrQme‐Arctique: un rapport sur la reinstallation de 1953–1955.Uncommon Sense About Organizations: Cases, Studies, and Field ObservationsBy GEERT HOFSTEDE.What Price Mental Health? The Ethics and Politics of Setting PrioritiesEdited by PHILIP J. BOYLE and DANIEL CALLAHAN.Rethinking Federalism: Citizens, Markets, and Governments in a Changing WorldEdited by KAREN mop, SYLVIA OSTRY, RICHARD SIMEON and KATHERINE SWINTON.Bankrupt Education: The Decline of Liberal Education in CanadaBy PETER c. EMBERLEY and WALLER R. NEWELL.Public Policy: An Introduction to the Theory and Practice of Policy AnalysisBy WAYNE PARS
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1996.tb00140.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1996
数据来源: WILEY
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9. |
Title Received/Titres reçus |
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Canadian Public Administration,
Volume 39,
Issue 3,
1996,
Page 435-437
Preview
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PDF (91KB)
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ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1996.tb00141.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1996
数据来源: WILEY
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