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1. |
The International Labour Organization A Canadian appraisal after fifty years* |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 2,
1971,
Page 173-192
George V. Haythorne†;,
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摘要:
Abstract.Arising from the deep tragedy and suffering of the first world war, the International Labour Organization was created in 1919 as a companion body to the League of Nations. It received the backing not only of the forty original member governments, but also of worker and employer organizations in each of them. Thus it was in fact the first world tripartite body. Its original efforts were to reduce human distress and poverty, to improve working and living conditions in all countries, to promote social justice and to help achieve permanent peace for mankind. These continue as its basic goals.During its initial decades the emphasis in its work was placed on serving as a clearing house for information on developments around the world in the labour field, on research, and on establishing universal standards covering working and related conditions. By 1940 a total of sixty‐seven conventions on hours of work, minimum wages, safety, social security and a variety of other subjects had been adopted by the International Labour Conference and some nine hundred ratifications of these had been filed by member countries. Since 1945, when the ILO became the senior specialized agency of the newly created United Nations, its program has been broadened to include extensive operational activities, particularly in developing countries. These cover technical training, worker education, management training and the development of government labour services. Meanwhile its research, statistical and labour standard setting activities have gone forward. By 1970 the number of adopted conventions had increased 134 and the total number of ratifications by member counties had risen to 3614. Among the new conventions added after world war Ilare several covering human rights and others recognizing the crucial relationship between economic and social issues.The ILO has faced many crises over the years. It has not met them all Successfully but it has made many creative and constructive contributions in dealing with urgent and difficult labour problems around the world. It has also helped to gain a wider respect for human as distinct from material problems, to promote badly needed improvements in working and living conditions, to define more clearly employer, union and government responsibilities in our changing national and world society and to stimulate the introduction of practical manpower, industrial relations and related policies in industries in all countries. The ILO and its constituent groups continue to face many pressing current and developing issues.Sommaire.Née de la tragédie et des souffrances de la première guerre mondiale, l'Organisation internationale du travail fut créée en 1919 comme complément à la Ligue des Nations. Elle reçut, outre l'appui des quarante gouvernements quien étaient membres à l'origine, celui des organisations de travailleurs et d'employés des pays qu'ils représentaient. Ce fut en fait le premier organisme mondiale tripartite. A l'origine, son but etait de réduite la misère et la pauvreté humaines, d'améliorer les conditions de travail et d'existence dans tous les pays, de promouvoir la justice sociale et d'aniver àétablir une paix permanente pour l'humanité. Ces objectifs restent son but fondamental.Pendant les premières dizaines d'années, le plus gros de sa tâche fut de server de centre d'information sur les développements mondiaux dans le domaine du travail, de centre de recherches, et de s'occuper d'établir des normes universelles pour les conditions de travail et questions apparentées. En 1940, la Conférence internationale du travail: avait adopté soixante‐sept conventions sur les heures de travail, les salaires minimum, la sécurité, la sécurité sociale et toutes sortes d'autres sujets. Les pays membres avaient signé quelques neuf cents ratifications de ces conventions. A partir de 1945, date à laquelle l'OIT devint l'une des principales agences spécialisées des Nations Unies nouvellement Créées, son programme s'est étendu pour inclure toute une gamme d'opérations, en particulier dans les pays en voie de développement. Elles couvrent la formation technique, l'éducation des travailleurs, la formation des cadres et ledéveloppement de services gouvernementaux du travail. Entre temps, les activités concernant la recherche, les statistiques et l'établissement de normes de travail ont continué. En 1970, le nombre de conventions adoptées se montaient à cent trente‐quatre et la totalité des ratifications de la part des pays members à 3614. Parmi les nouvelles conventions adoptées après la deuxième guerre mondiale, plusieurs couvrent les droits de l'homme et d'autres reannaissent le rapport crucial entre les questions économiques et sociales.L'OIT a fait face à de nombreuses crises au cours des années. Elle ne les a pas surmontées toutes avec succés mais elle a contribué naubtes fois, d'une façon originale et positive, à la solution de questions urgentes et délicates dans la domaine du travil, dans le monde entire. Elle a aussi aidéà obtenir plus de respect pour les problémes humains en les dissociant des questions matérielles, à promouvoir des améliorations indispensables dans les conditions de travail et d'existence, à définir plus clairement les responsabilités des employeurs, des syndicats et des gouvemements dans notre société nationale et mondiale en évolution et à stimuler la création de relations pratiques entre la main d'Æuvre et la direction et l'établissement de politiques annexes dans les industries detous les pays. L'OIT et les groups qui la constituent continuent à faire face à de nombreux problèmes urgents et à long terme.Les gouvernements canadiens, les syndicats et les organisations d'employeurs ont appuyé les efforts de l'OIT pendant ces cinquante années. Le Canada a aidé l'organisation à survivre pendant les difficiles années de guerre en facilitantle transfert temporaire de ses bureaux de Genève à Montréal. Pour sa part, l'OIT a contribué de façon positive à l'essor économique et social au Canadaen stimulant la législation couvrant les droits de l'homme, la sécurité sociale et économique, les conditions de travail, les relations industrielles et la main d'uvre. L'OIT a aidé aussi les Canadiens à prendre conscience de l'évolution de leurs responsabilités nationales et mondiales.anadian governments, unions and employer organizations have supported the ILO actively throughout its fifty years. Canada also helped the Organization to survive the critical war years of the forties by facilitating the temporary transfer of its offices from Geneva to Montreal. On its part the ILO has made a positive contribution to Canada's social and economic progress in stimulating legislation covering human rights, social and economic security, working conditions, industrial relations and manpower. Th
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00502.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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2. |
Understanding and handling the linguistic causes of communications failure |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 2,
1971,
Page 193-203
H. F. Vollmer,
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摘要:
Abstract.If verbal meaning is that which words represent whenever they arecommunicated, it follows that practical communication is effective only if there is agreement as to what is represented. Communication is therefore not merely a matter of transmitting familiar words (or of translating unfamiliar words into familiar) ‐ it is a process of achieving agreement about something other than words.This paper attempts to show that communications failure can be caused bycertain symbolic, grammatical and abstracting characteristics of language, which, in conjunction with the nature of its interface with the non‐linguistic world, tend autocratically to hide or distort that world. People cannot communicate effectively unless they learn, not only the words and structuring techniques of language (whether it be English or French), but also the mannerin which the autocratic processes superimpose themselves upon the realities to be communicated. The paper concludes by suggesting that this knowledge could be acquired through suitable instruction given within the formal systems of education and in supplementary courses provided by all public and private organizations. Organizations should not overlook the extent to which inadequate assumptions about the nature and use of language could be increasing their costs and reducing their effectiveness. Public administrators in particular have a heavy responsibility to communicate effectively and efficiently.Sommaire.Si les mots, lorsqu'ils sont prononcés, ont une signification verbale, il s'en suit que les communications commerciales ne sont efficaces que lorsque l'on s'est entendu sur cette signification. La communication pratique n'est done pas simplement la transmission de mots familiers (et la transformation de mots nonfamiliers en mots familiers), c'est un processus pour conclure un accord sur quelque chose d'autre que des mots.Cette dissertation tente de montrer que l'échec des communications peut être dûà certaines caractéristiques symboliques, grammaticales et « abstrayantes » de la langue qui, en conjonction avec la nature de son contact avec le monde non linguistique, tendent à cacher ou à déformer autocratiquement ce monde. Les gens ne peuvent pas communiquer efficacement s'ils n'apprennent pas, outre les mots et les techniques de structuration de la langue (qu'il s'agisse du français ou de l'anglais), la façon dont les processus autocratiques se surimposent sur les réalités à communiquer. L'auteur de la dissertation conclut en proposant l'acquisition de ces connaissances par des cours adéquats donnés dans le cadre des systèmes d'éducation officiels et par des cours complémentaires fournis par le secteur commercial de la communauté. Les affaires commerciales ne devraient pas ignorer la mesure dans laquelle des postulats inadéquats, quant à la nature et l'usage de la langue, peuvent augmenter leurs coûts et réduire leur efficacité. Les administrateurs publics, en particulier, ont la lourde responsabilité de communiquer
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00503.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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3. |
Indicative planning: failure or success? |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 2,
1971,
Page 204-216
Ronald G. Holloway,
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摘要:
Abstract.Two forms of national economic planning are distinguished imperative planning (planning with controls) and indicative (persuasive) planning. The trend away from controls in the Soviet Union is briefly treated. The French planning machinery and the factors determining the initial success of the French method of planning by inducement, its subsequent decline, and its anticipated recovery are outlined. Greater attention is paid to the more democratic British experiment in planning by consensus, with particular emphasis on the structure and evolution of the planning institutions and their strengths and weaknesses. Reasons for the British attempt at national economic planning and for its failure are also indicated while the aborted move towards greater intervention in the private sector is analysed in depth. The author concludes that the new emphasison planning the public sector, using both central policy reviews and annual five‐year expenditure projections linked with economic assessments, is likely to prove more effective than earlier methods and that the deliberate retreat from planning the entire economy will prove a sound basis for a subsequent advance.Sommaire.L'auteur distingue deux sortes de planifications de l'économie nationale‐ la planification imposée (planification avec contrôles) et la planification suggérée (par persuasion). Puis il traite rapidement de la tendance en Union Soviétique d'abandonner les contrôles. L'auteur explique ensuite le mëcanisme français de planification, les facteurs qui ont déterminé le succès initial de la méthode française de planification par encouragement, son déclin subséquent et l'anticipation de son renouveau. Il examine ensuite plus en détail l'expérience britannique, d'un caractère plus démocratique, qui consiste à planifier par accordg général en insistant particulièrement sur la structure et l'évolution des institutions de planification, sur leurs points forts et sur leurs points faibles. Il expose les raisons des efforts britanniques de planification de l'économie nationale et pourquoi ils ont échoé et analyse en profondeur la tentative avortée d'une plus grande intervention dans le secteur privé. L'auteur conclut que la nouvelle importance accordée à la planification du secteur public en se servant à la fois de révisions des politiques‐clés et d'estimations annuelles des dépenses quinquennales par rapport aux évaluations économiques, risque de se montrer plus efficace, comme méthode, que les précédentes et que l'abstention délibéreé d'une planification totale
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00504.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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4. |
Conditional grants and provincial government budgeting |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 2,
1971,
Page 217-235
J. C. Strick,
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摘要:
Abstract.The conditional grant has become an important instrument of federal government assistance to the provinces in the last decade. But while the federal government has increased its use of conditional grants, the grants have been subjected to increasing criticism by the provincial governments. The primary complaint of the provinces is that these grants interfere with provincial expenditure priorities and cause a reallocation of provincial resources. Provinces have charged that major programs, such as Medicare, were initiated by the federal government without meaningful consultation and that the provinces were forced to participate or forego the federal contribution. The provinces have claimed that in order to participate they have to substitute or divert funds from existing or planned programs to the shared‐cost program, resulting in a substitution effect in their budgets.The Ontario government has been particularly critical of conditional grants on these grounds. An analysis of shared‐cost programs in the case of Ontario, however, indicates that conditional grants have not produced relatively significant substitution effects in the budget of that province.While provincial dissatisfaction with the conditional grant system continues, the two parties have been unable to find a mutually acceptable alternative.Sommaire.Dans les derniers dix ans, le gouvernement fédéral s'est beaucoup servi des subventions conditionnelles pour accorder de l'aide aux provinces. Mais, au fur et à mesure que le Gouvernement fédéral utilisait de plus en plus ce mécanisme, les gouvernements provinciaux intensifiaient leur critique des subventions conditionnelles. Le principal grief des provinces, c'est que ces subventions affectent les priorités provinciales concernant les dépenses et causent une réalocation des resources provinciales. Les provinces se plaignent que le gouvernement fédéral mette en Æuvie des programmes importants, tels que Médicare, sans vraiment les consulter préalablement, les forçant ainsi à participer ou à renoncer à la contribution fédérale. Les provinces ont prétendu qu'il fallait qu'elles substituent ou qu'elles soustraient, au bénéfice du programme à coûts partagés, des fonds prévus pour des programmes existants à créer, effectuant ainsi des substitutions au sein de leur budget.Le gouvernement de l'Ontario, en particulier, a critiqué les subventions conditionnelles pour ces raisons. Néanmoins une analyse des programmes à coüts partagés révèle que les subventions conditionnelles n'ont pas produit de substitution importante dans le budget de cette province.Les provinces continuent à se plaindre du système des subventions conditionnelles mais les dew parties n'ont pas réussi à trouver d'alt
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00505.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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5. |
G. M. Dawson and the economic development of western Canada |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 2,
1971,
Page 236-255
A. H. Lang,
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摘要:
Abstract.Dr G.M. Dawson was considered the leading Canadian scientist of the latter part of the nineteenth century, and was widely recognized abroad. Besides his scientific contributions, and the technological and economic benefits derived from them, he contributed much to administration as Director of the Geological Survey of Canada, as an advisor to government officials and leaders, in the training of younger men, and as Commissioner on the Bering Sea arbitration. The purpose of this paper is to perpetuate awareness of his contributions, which are not now so well known as at the turn of the century, to show the complex and often long‐term benefits that can accrue from geological investigations, and to try to indicate the extent to which it is possible to analyse such benefits and their costs.Although mainly a geologist, Dawson was versatile and made many contributions to geography, botany and anthropology. His education, which was particularly thorough in geology as applied to ores, was completed just in time for him to take a leading part in western developments. In 1873‐5 he was geologist and botanist to the Commission surveying the 49th parallel from Lake of the Woods to the Rockies. He was then appointed to the Geological Survey, and made brilliant reconnaissances in many western regions; he was assistant director in 1883‐95 and director from then to 1901. Althoilgh his advice was greatly beneficial to prospectors and technical developers, much of his influence was also in encouraging sound investments. The author tried several complex ways of estimating the value of benefits but discarded them because so many other factors were involved, some being long‐term. It seems practical, therefore, merely to explain verbally that, for very small expenditures, Dawson was probably more responsible than anyone else for production worth about 240 million, in 1885 to 1905 alone, and that other benefits were derived then and up to the present.Sommaire.Le Dr G.M. Dawson était considéré comme « le » savant canadien à la fin du 19esiècle et il était bien connu à l'étranger. En plus de son apport dans le domaine des sciences et des avantages technologiques et économiques qui en ont été la conséquence, il joua un rôle important d'administrateur en tant que directeur du relevé géologique du Canada, conseilleur des membres du gouvernementet chefs politiques, éducateur de jeunes et commissaire chargé d'arbitrer la question du détroit de Béring. Le but de cette étude est de consigner ses réalisations, moins connues aujourd'hui qu'elles ne l'étaient au début du siècle, de montrer les résultats complexes et souvent à long terme de ses étudesg géologiques et d'essayer d'indiquer dans quelle mesure il est possible d'analyserces avantages et ce qu'ils ont coûté.Bien que Dawson ait été surtout un gélogue, il ne s'est pas cantonné exclusivement dans ce domaine et son influence s'est fait sentir en géographie, botaniqueet anthropologie. Ses études particulièrement poussées en gélogie dans le domaine des minerais prirent fin juste à temps pour lui permettre de jouer un rôle de premier plan dans le développement de l'Ouest. De 1873 à 1875, en tant que gélogue et botaniste, il fit partie de la Commission chargée de relever le 49eparallèle du « Lake of the Woods » aux Rocheuses. Il fut ensuite nomméà la Commission du relevé gélogique et s'acquitta brillamment de cette tâche dans diverses parties de l'Ouest; il occupa le poste de directeur‐adjoint de 1883 à 1895 et de directeur de 1895 à 1901. Ses conseils furent précieu pour les prospecteurs et les techniciens mais il usa aussi de son influence pour encourager des placement judicieux.L'auteur a essayé de différentes fawns complexes d'estimer la valeur de l'apport de Dawson mais a dû les abandonner parce qu'elles, ne tenaient pas compte d'autres facteurs nombreux, dont certains à long terme. Il semble doncpratique d'expliquer verbalement qu'en ne dépensant que des sommes très minimes, Dawson plus que tout autre, a été responsable d'une production évaluééà 240 millions, de 1885
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00506.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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6. |
La reforme de l'administration financière au Quebec* |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 2,
1971,
Page 256-270
Raymond Garneau,
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摘要:
Abstract.In the first part of his speech given at the National Assembly in presenting Bill 55 (Financial Administration Act) on December 15, 1970, the Honourable Raymond Garneau stresses the need for improving the province's administrative machinery. He points out that the budget has risen from 600 million to around 4000 million while the number of civil servants has increased from 22,000 to 50,000 during the last decade and that management structures which were adequate in 1960 are no longer conducive to efficiency.In the second part, Mr Garneau outlines the objectives which should be aimed at by administrative reform. The basic idea behind the revamping of government structures is one of a more orderly distribution of decision‐making powers, freeing the Cabinet from questions of secondary importance so that it may concentrate on major problems, and giving broader responsibilities to the managing authorities of each department.Finally, in the last part of his speech, Mr Garneau explains briefly the main changes in Bill 55. One significant change relates to the functions of the Treasury Board which will exercise statutory powers in all sectors of administrative policy. Among other functions, the Treasury Board will be responsible for preparing estimates and controlling expenditures and will also exercise the powers assigned by law to the Lieutenant‐Governor in Council in matters relating to personnel.Other provisions of the Bill regard the Provincial Auditor who, until the changes, was responsible for pre‐auditing the provincial accounts and was also carrying out the conventional post‐audit function normally expected of a government auditor. From now on, the Provincial Auditor, whose name has been changed for that of Auditor General, will have only one function, that of post‐audit. The pre‐audit function will be carried out by the Comptroller of Finance, formerly called the Comptroller of the Treasury.Finally, the Bill gives the Minister of Finance the responsibility of carrying out research and advising the government in matters of economic, fiscal and budgetary policy. The Minister of Finance will also be responsible for preparing the public accounts and for the management of cash on hand and public debt.Sommaire.Dans la première partie du discours qu'il a prononcéà l'assemblée nationale le 15 décembre 1970, pour présenter le projet de loi 55 (loi sur l'administration financière), l'honorable M. Raymond Garneau a insisté sur le besoin d'améliorer les rouages administratifs de la province. Il a fait remarquer que dans les derniers dix ans le budget avait augmenté de 600 millions à 4 milliards environ et que le nombre des fonctionnaires était passé de 22,000 à 50,000 et en a conclu que les structures qui étaient adéquates en 1960 ne favorisaient plus l'efficacité.Dam la seconde partie de son discours, l'honorable M. Garneau expliquece que devraient être les objectifs de la réforme administrative. Le but duremaniement des structures gouvernementales, c'est surtout de distribuer defaçon plus méthodique les pouvoirs de prise de décision, en libérant le cabinetdes questions d'ordre secondaire pour qu'il puisse se concentrer sur les problèmes principaux et en donnant des responsabilités plus larges aux cadres supérieurs des différents ministères.Finalement, dans la dernière partie de son discours, l'honorable M. Garneaua expliqué brièvement les principaux changements contenus dans le projet de loi 55. L'une des modifications les plus importantes concerne les fonctions de Conseil du trésor qui exercera des pouvoirs statutaires dans tous les secteursde la politique administrative, Parmi ses fonetions, le Conseil du trésor aura la responsabilité de préparer les estimations et de contrôler les dépenses et il exercera les pouvoirs assignés par la loi au lieutenant gouverneur en conseil pour toutes les questions concernant le personnel.D'autres clauses du projet de loi concernent le vérificateur provincial des comptes qui jusqu'ici avait pour tâche de pré‐vérifier les comptes provinciax et de procéder ensuite à la post‐vérification des comptes, comme le font normalementles vérificateurs de comptes gouvernementaux. Dorénavant, le vérificateur provincial des comptes dont le titre deviendra vérificateur général des comptes n'aura plus qu'une fonction, la post‐vérification. La pré‐vérification sera confiée au contrôleur des finances qui s'appelait précédemment contrôleur du trésor.Finalement, le projet de bi charge le ministre des finances de la rechercheet il devra conseiller le gouvemement sur toutes les questions de politique économique fiscale et budgétaire. C'est à lui que reviendra également la pré
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00507.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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7. |
Books Reviews |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 2,
1971,
Page 271-300
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摘要:
Droit administrative canadien et québecoisEdité parRAOUL BARBE.Le pouvoir déclaratoire du parlement, augmentation discretionnaire de la compétence fédérale au CanadaParANDRÉE LAJOIEThe Right to HousingPublié sous la direction deMICHAEL WHEELER.Environment: A Challenge for Modem SocietyByLYNTON KEITH CALDWELL.Consumers and the EconomyByF. KNOX.George G. HarrapCoping with Public Employee StrikesByCARMEN D. SASO.The Administrative Process in BritainByR.G.S. BROWN.The Higher Civil Service in BritainByRICHARD A. CHAPMAN.Human EngineeringByLORD ALFRED ROBENS.Urban Policy Making: The Council‐Manager PartnershipByARTHUR W. BROMAGE.The Influence of Federal GrantsByMARTHA DERTHICK.Bureaucracy, Politics, and Public PolicyByFRANCIS E. ROURKE.L'individu et le droit de la Communauté européenneParMAURICE TORRELLI.Montréal: Les presses de l'Université de MontréalMunicipal Refuse DisposalBy theINSTITUTE O
ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00508.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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8. |
Books Received |
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Canadian Public Administration,
Volume 14,
Issue 2,
1971,
Page 301-302
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ISSN:0008-4840
DOI:10.1111/j.1754-7121.1971.tb00509.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1971
数据来源: WILEY
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