摘要:

SummaryThe physiography of the Central African Republic is introduced and attention is drawn to the paucity of information on its fauna. Small populations of five mammal species, which apparently exist as isolates, are considered. The rock hyrax is known from only three localities with the nearest related species being in eastern Cameroon and western Sudan. The klipspringer is only known for certain from one locality, separated from the nearest known related species by some 1300 and 1500 km to the east and west, respectively. An isolated population of the greater kudu is discussed and the possible occurrence of the mountain reedbuck is speculated upon. The more localized isolation of a topi population is also described. Suggested causes of isolation are briefly considered and the conclusion that the isolates are the survivors of populations fragmented by intervening extinctions is favoured.RésuméLa physiologie de la République Centrafricaine est introduite et l'attention est attirée sur la pauvreté d'information sur sa faune. De petites populations de cinq espèces de mammifères, qui existent apparemment de maniére isolée, sont considérées. Le daman des rochers n'est connu que de trois localités et les voisins les plus proches vivent au Soudan oriental et occidental. L'oréotrague n'est connu avec certitude que d'une localité, séparé de son voisin le plus proche par quelque 1300 km vers l'est et 1500 km vers l'ouest. Une population isolée de grand koudou est signalée et la prèsence possible du reedbuck de montagne est discutée. L'isolation plus localisée d'une population de topi est aussi décrite. Les causes d'isolation sont brièvement considérées et on arrive à la conclusion que les isolés sont les survivants des populations fragmentées

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00657.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1981

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryThe avifaunas of seven east African forest ‘islands’ are considered. The avifaunas of all are now reasonably well known, thus enabling the following conclusions to be made: (1) There is considerable difference between the avifaunas of highland and lowland forest. (2) An area of intermediate rain forest has a very high species diversity due to its suitability for both highland and lowland species. (3) In general, dissimilarity between two forest avifaunas is likely to be greater if the two forest ‘islands’ are geographically distant. (4) Dissimilarity coefficients tend to increase with increasing altitude difference between forest ‘islands’. (5) Areas of highland forest on geologically older mountains have more species. These may have been refuges for forest species, many of which subsequently spread into newer forest areas. (6) The size of a forest ‘island’ appears to have little effect upon its avifauna. (7) Certain forest ‘islands’ are more important for rare endemic species than others. In the light of these comparisons the areas requiring the most active conservation are suggested.RésuméLes avifaunes de sept îlots forestiers est‐africains sont considérées. Comme ces avifaunes sont assez bien connues, elles permettent de tirer les conclusions suivantes: (I) Il y a une différence considérable entre I'avifaune forestiére de haute et de basse altitude. (2) Une région de forêt humide intermédiaire possède une diversité spécifique très élevée à cause de sa disponibilité pour les espèces de haute et de basse altitude. (3) En général, la dissemblance entre deux avifaunes forestières est vraisemblablement plus grande si les deux îlots forestiers sont géographiquement distants. (4) Les Coefficients de dissemblance tendent à augmenter avec des différences plus grandes d'altitude entre les îlots forestiers. (5) Des régions de forêt d'altitude sur des montagnes géologiquement plus vieilles possèdent plus d'espèces. Ces lieux peuvent avoir été des refuges pour les espèces forestières, dont beaucoup se sont dispersées postérieurement dans des zones de forêts plus récentes. (6) La taille d'un ilot forestier semble avoir peu d'effet sur son avifaune. (7) Certains îlots forestiers sont plus importants pour de rares espèces endémiques que d'autres, A la lumière de ces comparais

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00658.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1981

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryThe Shimba Hills National Park (190 km2) is the last refuge of the sable,Hippotragus niger roosevelti(Heller), in Kenya and includes the northernmost range of this species. Periodic observations since 1973 indicate that about 200 sable are divided into six distinct herds, each inhabiting a well defined home range of 10–24 km2. Adult males form a territorial network which is maintained throughout the year. One to six male territories cover the range of one female herd. The sable population has almost doubled in the period between 1969 and 1975. The carrying capacity of the Shimba Hills for the sable is estimated.Knowledge of the ranging habits of the herds has provided information for a management plan. Rotational burning is necessary to keep the grassland from growing into bush and displacing the sable. Unfortunately, this cannot be properly implemented because of the forestry Department's policies of planting exotic softwood. The effect of pine plantations on the sable is examined.RésuméLe Parc National des Shimba Hills (190 km2) est le dernier refuge de I'hippotrague noir,Hippotragus niger roosevelti(Heller), au Kenya et comprend la limite septen‐trionale de distribution de cette espèce. Des observations périodiques depuis 1973 indiquent qu'environ 200 hippotragues sont répartis en six hardes distinctes, occupant chacune une territoire bien défini de 10 à 24 km2. Les mâles adultes forment un réseau territorial qui est maintenu tout au long de I'année. Les territoires de un à six mâles couvrent le territoire d'une harde de femelles. La population d'hippotragues a presque doublé dans I'intervalle de 1969 à 1975. La capacité de charge des Shimba Hills pour l'hippotrague noir est estimée. La connaissance des comportements terri‐toriaux des hardes a fourni les informations pour un plan de gestion. La rotation des feux est nécessaire pour préserver la transformation du tapis graminken en une savane buissonneuse qui écarterait I'hippotrague. Malheureusement, ceci ne peut se réaliser correctement à cause de la politique du Département des Forêts consistant à planter des essences exotiques. L'effet des plantations de résineux

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00659.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1981

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryNumbers of topi,Damaliscus lunatus jimela(Matschie), in the Ishasha Sector of Rwenzori National Park declined byc. 50% between 1975 and 1978. Concurrently, there was a marked reduction in the home range of the population. The part played by a number of environmental factors in bringing about these changes in the population is examined. Poaching pressure, lion predation and changes in the vegetation structure in the region are described. The possible effects of these factors on the topi population are discussed. The sensitivity of the topi population, which is essentially an insular one, to such factors is emphasized and possible ways of counteracting the effects are suggested.RésuméLe nombre de topis,Damaliscus lunatus jimela(Matschie), dans le secteur d'lshasha au Parc National de Ruwenzori a étés réduit d'environ 50% entre 1975 et 1978. Dans le même temps, il y eut une réduction marquée du domaine vital de la population. La part jouée par un certain nombre de factuers de l'environnement sur ces changements dans la population est examinée. La pression de braconnage, la prédation léonine et les changements dans la structure de la végétation de cette région sont décrits. On discute des effets possibles de ces éléments sur la population de topis. La sensibilité de la population de topis—qui est essentiellement insulaire—à de tels facteurs est soulignée et l'on suggère des solutions possibles pou

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00660.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1981

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SummaryInformation on large herbivore populations and movements within the Ngorongoro Crater and surrounding grasslands is taken from the results of thirty‐three censuses undertaken between 1964 and 1978. Data show that wildebeest, with an annual average of over 14,000 animals, form over two‐thirds of the large herbivore population. Crater carrying capacity is discussed in relation to rainfall in the crater and on surrounding hills and slopes. It is suggested that inflowing water from the Crater Highlands controls carrying capacity and that rainy season water levels and dry season burns control seasonal movements. The relatively constant population size of wildebeest and zebra is due to periodic net emigration. In conclusion it is argued that the crater does not function as an isolated island and that the survival of viable wildlife populations depends on land use on the adjacent grassland habitats.RésuméDes informations sur les populations et les mouvernents des grands herbivores dans le cratère du Ngorongoro et les savanes avoisinantes sont basées sur les résultats de 33 recensements réalisés entre 1964 et 1977. Ces données montrent que les gnous, avec une moyenne annuelle de plus de 14000 animaux, forment plus des 213 de la population des grands herbivores. La capacité de charge du cratère est analysée en relation avec les chutes de pluie locales, sur les crêtes et les versants des alentours. On suggère que l'écoulement des eaux en saison sèche dans le cratère régit la capacité de charge et que les quantités d'eau en saison des pluies et les feux en saison sèche régissent les déplacements saisonniers. Les tailles des populations relativement constantes des gnous et des zèbres sont dues è I'emigrationpériodiquenette. En conclusion, il est démontré que le cratère ne fonctionne pas comme un îlot isolé et que la survie de ses populations dépend du so

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00661.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1981

数据来源: WILEY

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SummaryField surveys since 1977 have shown the presence of some 1700 red colobus monkeys in many scattered forest localities in Zanzibar and adjacent islets. The distribution, habitat size, vegetation, colobus population size and conservation status of each locality are briefly described. Two sites, one of low conservation value and one, Jozani Forest Reserve, of high value, are described in more detail. As part of conservation efforts in Zanzibar, red colobus from areas of low status have been translocated to forest reserves. Capture and translocation techniques are described.RésuméDes contrôles sur le terrain depuis 1977 ont démontré la présence de quelque 1700 colobes rouges dans de nombreuses localités forestières éparpillées à Zanzibar et dans les îlots adjacents. La distribution, la dimension de l'habitat, la végétation, la taille de la population des colobes et les conditions de conservation pour chaque localité sont briévement decrites. Deux sites, I'un dont la situation de conservation est précaire et l'autre, en Réserve Forestière de Josani, dont la situation de conservation est bonne, sont décrits plus en détail. La translocation de colobes rouges de sites à situation de conservation précaire dans des réserves forestiéres a été rCalisCe dans le cadre des efforts de conservation à Zanzibar. La capture et les techniques de

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00662.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1981

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ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00663.x

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年代:1981

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ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00664.x

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年代:1981

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