摘要:

SummaryHippopotamus (Hippopotamus amphibiusL.) were censused by both ground and aerial surveys along a 165 km stretch of the Luangwa River, Zambia. Total numbers of 6293 and 6544 were estimated for 1982 ground and 1983 aerial counts, respectively. The 1982 density was 38 hippopotami per river km for the whole study area, with a total of 343 hippopotamus schools. The ratio of calves to adults in the ground counts was 0.048: 1. The population growth for the whole study area since 1970 shows an annual increase of 7%. Hippopotamus densities in Luangwa are now twice those recorded in Uganda when a management cull was initiated there in the 1950s.RÉSUMEÉLes hippopotames (Hippopotamus amphibius L.) furent dénombrés par recensements terrestres et aériens le long d'une portion de 165 km de la Luangwa River en Zambie. Les nombres totaux de 6.293 et 6.544 furent estimés pour les comptages terrestres de 1982 et les comptages aériens de 1983 respectivement. La densité de 1982 était de 38 hippopotames par kilomètre de rivière pour toute la zone d'étude, avec un total de 343 groupes d'hippo. La proportion jeunes/adultes par observations terrestres était de 0,048. L'accroissement de la population pour toute la zone d'étude depuis 1970 présente une croissance annuelle de 7%. Les densités d'hippopotames dans la Luangwa sont à présent deux fois plus importantes que celles enregistrées en Uganda lorsqu'une gestion limitative (cull) fut entamée dans le

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01094.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1987

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryIt has recently been suggested that the distribution of elephant and the impact by elephant on woodland can be manipulated by burning. Six landscape categories have been described for the W. National Park and Tamou Reserve in south‐west Niger, each containing a single segment of the catenary sequence. Data on woodland utilization and damage by elephant were collected on a series of quadrats and by direct observation of elephant behaviour. A mosaic of burned and unburned land, soil moisture levels and burned‐sprouted, burned‐unsprouted and unburned vegetation at different positions on the catena allowed elephant to utilize different aspects to meet different needs. Results indicated that the proportion of feeding on burned and unburned land followed the relative spatial distribution of burning on the upper catena levels. On mid and lower catena levels feeding was concentrated in areas where vegetation had resprouted following fire and on unburned land. Both bulls and cows showed a strong preference for unburned land when standing (resting). Differences in elephant distribution by activity, relative to the spatial distribution of burning, indicated that comparisons by aerial survey may be biased. Climatic factors were compared between different areas with regard to elephant utilization of burned and unburned land. It is recommended that the management implications of burning with respect to elephant‐woodland interactions must be considered in a broader model.RÉSUMEÉOn a suggéré récemment que la distribution de l'éléphant et son impact sur les zones boisées pouvaient ěre ‘manpulés’ par les feux. Six catégories de milieux ont été décrits dans le Parc national du Wet la Réserve de Tamou, dans le sud‐ouest du Niger, contenant chacun un élément particulier de la séquence écologique. Des données sur l'utilisation des zones boisées et les dégǎts par les éléphants ont été récoltés dans une série de quadrats et par observation directe du comportement des éléphants. Parmi la mosaïque de zones brülées et non‐limitées, les différents niveaux d'humidité du sol, les sols à jeunes pousses et les zones brülées sans repousse, les éléphants leurs besoins. Les résultats indiquent que la proportion de temps passéà manger sur une zone brülée ou non brülée suit la distribution spatiale relative du feu sur les strates supérieures de la séquence. Sur les strates moyennes et inférieures de la séquence, l'alimentation se concentre dans des zones où la végétation présente une repousse d'après feux et dans les zones non brülées. Au repos, aussi bien mäes que femelles présentent une préférence marquée pour les zones non brülées. Certaines différences dans l'actogramme des éléphants, relatives à la distribution spatiale des incendies, indiquent que des comparaisons par comptages aériens peuvent étre biaisés. On a comparé des facteurs climatiques entre différentes zones pour comparer leur utilisation en situation brülée et nonbrülée. Il est recommandé que les implications des feux pour la gestion, spécialement les i

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DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01095.x

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年代:1987

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryInvertebrate animals were collected at seven localities in the Ruwenzori range at altitudes between 12,500 ft and 15,500 ft (3810–4724 m); and at three localities on Mt. Kenya between 13,500 ft and 15,700 ft (4115–4785 m). Their habitats are briefly described, with special attention to the mosses present in them. The collections from the Ruwenzori contained 1514 specimens representing nineteen orders or higher groups and at least forty‐three families. They included sixty named genera, one new to science, and sixty named species, of which twenty‐five were new to science and one a new sub‐species. The collections from Mt. Kenya contained 126 specimens representing at least eighteen families. They included seventeen named genera, one new to science, and eighteen named species, of which eight were new to science. These collections add evidence in favour of the view that some groups of invertebrate animals, like some groups of vascular plants, have undergone insular evolution in the Afro‐alpine zone, and the represented on the different mountains in East Africa by vicarious species.RÉSUMEÉOn a récolté des invertébrés dans sept localitiés du massif du Ruwenzori à des altitudes de 38 10 à 4724 m et dans trois localités sur le mont Kenya entre 4115 et 4785 m. Leurs habitats sont brièvement décrits, avec une attention spéciale pour les mousses. Les collections du Ruwenzori contiennent 1514 spécimens représentant 19 ordres ou groupes supérieurs et au moins 43 familles. Elles comprennent 60 genres, dont un nouveau pour la science, et 60 espèces, dont 25 nouvelles pour la science et une nouvelle sous‐espèce. Les collections du Mont Kenya contiennent 126 spécimens représentant au moins 18 familles. Elles comprennent 17 genres dont un nouveau pour la science et 18 espèces dont 8 nouvelles pour la science. Ces collections plaident avec l'évidence en faveur de l'idée que certains groupes d'animaux invertébrés, de měme que certains groupes de plantes vasculaires, ont entrepris une évolution insulaire dans la zone afroalpine, et sont représentés dans différents massifs montagneux d'A

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DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01096.x

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摘要:

SummaryIn central Uganda, the black‐headed weaver is most abundant near human habitations. It feeds mainly in or near cultivations. Two hundred and forty hours were spent observing food items taken by this weaver in the wild near Kampala from March 1979 to May 1980. Crops and/or stomachs of 201 black‐headed weavers caught monthly from April 1980 to April 1981 were analysed. Field observations showed that insects made up 21.2% of total food items and plant material 78.8% but gut analysis showed that the mean percentage relative frequency of insects in the diet varied; in some months birds took more insects than plant material (numerically) and in other months the reverse occurred. Plant material was mostly seeds of the grassRotboellia exaltataL. f. and maize grains (41.7% and 15%, respectively, according to the field observations; 62.7% and 76.3%, respectively, from the gut content analysis). Other grass seeds were eaten in very small amounts. Weed seeds (forbs) and nectar were also occasionally taken. Animal material was mostly insects but included some spiders. Of all 201 crops and/or stomachs examined, beetles were present in 78.7%, followed closely by ants (60.4%). A small scale survey, carried out in July 1981, concluded that damage to maize was slight.RÉSUMEÉDans le centre de l'Uganda, le tisserin à těte noire est très abondant près des habitations humaines. Il se nourrit principalement dans les cultures ou à leurs abords. Nous avons passé 240 heures à observer les types de nourritures de ce tisserin sur le terrain près de Kampala depuis mars 1979 jusqu'à mai 1980. Les jabots et/ou estomacs de 201 tisserins à těte noire, capturés chaque mois depuis avril 1980 jusqu'à avril 1981, furent analysés. Les observations de terrain montrent que les insectes constituent 21,2% du régime total et les matériaux végétaux 78,8%, mais I'analyse intestinale montre que le pourcentage moyen de fréquence relative des insectes varie; à certains mois les oiseaux prennent plus d'insectes que de matériaux végétaux et à certains autres c'est l'inverse. Les matériaux végétaux sont le plus souvent des graines de la graminéeRotboellia exaltataL. f. et des graines de mais (41,7% et 15% respectivement selon les observations de terrain et 62,7% et 76,3% respectivement selon l'analyse du contenu intestinal). Les graines d'autres graminées sont consommées en très petite proportion. Les graines des ‘forbs’ et le nectar sont aussi consommés occasionnellement. Parmi les animaux consommés on trouve surtout des insectes mais aussi quelques araignées. Parmi les 201 jabots et/ou estomacs examinés, 78.7% contenaient des scarabées et 60,4% des termites. En juillet 1981, une étude à petite échelle conduit à la conclus

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01097.x

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年代:1987

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摘要:

SummaryThe reproductive phenology of migratory white‐eared kob in Boma National Park, southern Sudan, was investigated during 1981‐83. Calf production occurred during the late wet season (September‐December), well after the period of peak food abundance. Lactation continued throughout the dry season, when forage was in short supply. As a consequence, lactating females had lower fat reserves than either non‐lactating females or males. The observed calving phenology may (i) allow females time to replenish fat reserves prior to lactation and (ii) reduce the risk of predation on new‐born young.RÉSUMEÉLa phénologie reproductive du cobe de Buffon àoreilles blanches migrateur dans le Parc National de Boma, dans le sud du Soudan, fut étudiée durant les années 1981 à 1983. La naissance des jeunes se produit à la fin de la saison des pluies (septembre à décembre), bien après la période d'abondance maximale. L'allaitement se poursuit tout au long de la saison sèche, alors que le fourrage n'est pas suffisant. En conséquence, les femelles allaitantes ont moins de réserves de graisse que les autres femelles ou que les mäles. La phénologie de reproduction observée pourrait laisseu aux femelles le temps de se constituer des réserves de graisse avant la lactation et réduire le risque de

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DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01098.x

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年代:1987

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Book reviewed in this article:Elephants‐Trees‐Grass‐Grazers by Willen van Wijngaarden.Wildlife, Wild Death: Land Use and Survival in Eastern Africa by Rodger Yeager i and Norman M. Miller.Proceedings of the International Symposium on African Vertebrates: Systematics, Phylogeny and Evolutionary Ecology (Bonn, 1984) edited by Karl‐L. Schuchmann, Zoologisches Forschungsinstitut und Museum Alexander Koenig,The Vegetation of Africa: A Descriptive Memoir to Accompany the Unescol AETFATIUNSO Vegetation Map of Africa (3 separate map sheets at 1:5,000,000, dated 1981, and legend) by F. White.Primate Ecology and Conservation edited by J. G. Esle and P.

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01099.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1987

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