摘要:

SummaryResults of a previous study on the waterbuck {Kobus ellipsipyrmnus(Ogilby)} in the Umfolozi Game Reserve prompted the hypothesis that interspecific competition was the ultimate factor responsible for the decline of this population. Subsequent removal of many of the putative competitors allowed for the testing of this hypothesis. The present study confirms that the waterbuck population was declining, but the link between calf mortality and competition is de‐emphasized. It appears that competition may have acted only secondarily to aggravate tick‐induced calf mortality.RÉSUMEÉLes résultats d'une étude précédente sur le waterbuck (Kobus ellipsiprymnus(Ogilby)) dans la Réserve de Faune d'Umfolozi suggéraient l'hypothèse qu'une compétition interspécifique était le facteur ultime responsable du déclin de cette population. En supprimant ultérieurement de nombreux compétiteurs potentiels, on a pu tester cette hypothèse. La présente étude confirme que la population de waterbuck était en diminution, mais le lien entre la mortalité juvénile et la compétition est moins mis en évidence. Il semble que la compétition peut avoir agi secondairement pour aggraver la mortalité juv

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01100.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1987

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryThe physical and chemical properties ofCubitermes testaceus(Williams) mound and adjacent topsoils and subsoils were studied at Kaazi, southern Uganda, by collecting and analysing soil samples. Differences between clay and sand fractions of mound and non‐mound soil were slight. The colour of the mounds indicates that mound soil is derived from adjacent topsoil. Values for organic matter, total nitrogen, pH, calcium potassium and sodium of mound soil were significantly greater than those of adjacent topsoil, indicating that the termites altered the soil chemistry. Results obtained show clearly thatCubitermes testaceussignificantly affect the chemical properties of soil but only slightly affect physical ones. It is suggested that the most significant effect of these termites on grassland soils in Uganda is the alteration in the quantity and distribution of organic matter and mineral nutrients.RÉSUMEÉLes propriétés physiques et chimiques des termitières deCubitermes testaceus(Williams) et des sols superficiels adjacents ont étéétudiées a Kaazi, dans le sud de l'Uganda, par la collecte et l'analyse d'échantillons. Les différences entre les fractions argileuses et sableuses des sols de termitières et d'autres sols sont faibles. Les couleurs des termitières indiquent que le sol provient du sol superficiel adjacent. Les voleurs des matières organiques, nitrogène total, pH, calcium, potassium et sodium des termitières sont significativement supérieures que celles du sol superficiel adjacent, ce qui indique que les termites altèrent la composition chimique de celui‐cu, Les résultats obtenus prouvent clairement queCubitermes testaceusaffectent significativement les propriétés chimiques du sol, mais que les propriétés physiques ne sont que légèrement altèrèes. Il est suggéré que l'effet le plus significatif de ces termites sur les sols herbeux en Uganda est l'altération de la quantité et de la répartition de la matière

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01101.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1987

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryMountain gorillas subsist principally on foliage from the dense herbaceous understorey that is found throughout most of their habitat in the Virunga Volcanoes region. Their foraging activities cause considerable structural damage to this vegetation. Those plant species that are quantitatively most important in the gorillas' diet respond to this damage by increasing primary productivity. At a sample of spots at which gorillas had fed, these species showed significantly higher growth rates over a 6‐month interval than they did at nearby spots that had not been touched by the gorillas. Stem densities of herbaceous food species at feeding spots increased markedly both in comparison to their original values and to values for the same species at untouched spots. As a result, spots at which gorillas have fed are likely to become very attractive as future feeding spots. It is unlikely that gorillas ‘manage’ their habitat in any specific fashion, largely because they do not have exclusive use of their home ranges. Their activities appear to maintain habitat productivity over the short term, on a time scale relevant to patterns of area revisits by social groups, and may contribute to long term beneficial alterations of regularly used areas, however. Effects of the type reported here may have been an important aspect of the adaptation by gorillas to terrestrial folivory.RÉSUMEÉLes gorilles de montagne s'alimentent principalement de feuillages dans le sous‐bois herbacé dense présent presque partout dans leur habitat de la région des volcans Virunga. Leurs activités alimentaires causent des dommages structurels considérables à cette végétation. Les plantes des espèces qui sont quantitativement les plus importants dans le régime du gorille réagissent à ces dégǎts en augmentant leur productivité primaire. Aux postes échantillons où les gorilles se sont nourris, ces espèces présentent des taux de croissance significantivement supérieurs sur un intervalle de six mois, par rapport aux postes voisins qui n'ont pas été touchés par les gorilles. Les densités de tiges des espèces herbacées appétées aux postes de nourrissage augmentent nettement aussi bien en comparaison avec leurs valeurs antérieures qu'avec celles de ces měmes espèces dans des stations non touchées. En conséquence, les postes où les gorilles se sont nourris ont plus de chance de devenir des futurs postes de nourrissage très attractifs. Il est peu probable que les gorilles ‘gèrent’ leur habitat d'une quelconque façon, surtout parce qu'ils n'ont pas l'utilisation exclusive de leur domaine vital. Leurs activités semblent maintenir à court terme la productivité de leur habitat, sur une échelle de temps comprenant les visites successives de groupes sociaux, et peuvent contribuer à long terme à des altérations bénéfiques pour ces zones réguliérement fréquentées. Des effets du type rapporté ici peuvent avoir été un élém

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01102.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1987

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryLittle is known about the movements of small African raptors in East Africa. The northward migration is reported here for four species that follow each other sequentially from January to March through the Taru Desert, a thick belt ofCommiphorawoodland behind the Kenyan Coast. Arrival and departure dates over a period of 6 years and estimations of numbers present are given, together with equivalent data for four species of European falcon. The movements of the African species appear to be associated with seasonal abundance of their prey.RÉSUMEÉOn sait peu des déplacements des petits oiseaux de proie africains en Afrique de l'Est. On décrit ici la migration vers le nord pour quatre espèces qui se succèdent de janvier à mars en passant par le Désert de Taru, une épaisse bande forestière àCommiphorale long de la cěte kenyane. Les dates de děparts et d'arrivées sur une période de 6 ans et les estimations de populations présentes sont donntés, ainsi que les indications équivalentes pour quatre espèces de faucons européens. Les mouvements des espèces africaines paraissent associés a l'abondance saiso

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01103.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1987

数据来源: WILEY

摘要:

SummarySamples were taken from the ampulla and isthmus of the oviduct. Two cell types, ciliated and non‐ciliated, were identified as the principal constituents of the epithelium. The cell types exhibited different morphological and fine structural features. A few non‐ciliated cells possessed solitary kinocilia. Glycogen was not recognized in the epithelial cells. The epithelium showed reduction in height during pregnancy. There were cyclic alterations in the morphology and fine structure of the non‐ciliated cells but the ciliated cells appeared to be constant throughout the reproductive cycle. Two forms of secretory granules, prevalent during pro‐oestrus and oestrus, were recognized in the non‐ciliated cells.RÉSUMEÉDes échantillons furent prélevés dans les ampulla et isthmes de l'oviducte. Deux types de cellules, ciliées et non ciliées, furent identifiées comme les constituants principaux de l'épithélium. Les types cellulaires présentent différentes caractéristiques dans leur morphologie et leur structure fine. Quelques cellules non ciliées possèdent des kinocilia isolées. Le glycogène ne fut pas détecté dans les cellules épithéliales. L'épithélium présente une diminution de hauteur durant la gestation. On observe des altérations cycliques dans la morphologie et la structure fine des cellules non ciliées, mais celles des cellules ciliées paraissent constantes tout au long du cycle reproductif. Deux formes de granules secrétrices, reconnaissables durant les périodes de pro‐oestrus et d'oestrus, furent

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01104.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1987

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryFemale springhares in a population in southeastern Zimbabwe experienced seasonal reproduction during the study period from November 1983 to November 1984. In general, only adult springhares comprised the population from November to February. Adult females were pregnant during December, January and February, and subsequently they bore their young during March. Length of gestation was about 79 days. Later, some females experienced a second pregnancy. In the majority of females, pregnancy and birth of young was restricted to the wet season when food was readily available. During the dry season when food was sparse, only a small portion of females in the population reproduced. Adult males appeared able to reproduce throughout the year. Juvenile springhares first emerged from the burrows during May approximately 9 weeks after birth, and they attained sexual maturity at an age of about 8 months.RÉSUMEÉCette étude, couvrant la période novembre 1983‐novembre 1984, eut pour objet l'étude de la reproduction saisonnière chez les femelles de lièvres sauteurs d'une population au su‐est du Zimbabwe. En général, la population ne comprend que des adultes entre novembre et février. Les femelles adultes sont prégnantes en décembres, janvier et février et ensuite elles mettent bas leur jeune en mars. La durée de gestation est d'environ 79 jours. Plus tard, certaines femelles ont une seconde portée. Pour la majorité des femelles, la grossesse et la mise bas se déroulent durant la saison des pluies au moment où la nourriture est disponible en abondance. Durant la saison sèche, lorsqu'il y a moins de nourriture, une faible proportion des femelles se reproduisent. Les mǎles adultes semblent ětre capables de reproduire tout au long de l'annee. Les lièvres sauteurs juvéniles émergent du terrier durant le mois de mai, environ neuf mois après la naissance, et atteignent leur maturité sexuelle à l'a&#

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01105.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1987

数据来源: WILEY

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01106.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1987

数据来源: WILEY

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01107.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1987

数据来源: WILEY

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01108.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1987

数据来源: WILEY

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1987.tb01109.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1987

数据来源: WILEY