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1. |
Counting elephants (Loxodonta africana cyclotis) in tropical rain forests with particular reference to the Tai National Park, Ivory Coast |
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African Journal of Ecology,
Volume 24,
Issue 2,
1986,
Page 61-68
G. MERZ,
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摘要:
SummaryThe density of forest elephants was studied in the Tai National Park, Ivory Coast, from 1978 to 1980 by evaluating elephant signs. In different sub‐regions standardized dropping counts were made both on strip transects and on regularly established quadrats. The results show no significant differences between transect counts and quadrat counts. Elephant densities were significantly higher in secondary than in primary rain forest. The mean density for Tai National Park was found to be 0.23 elephants km‐2. The West African forest elephant is compared with the Asian elephant and the savanna elephant.RésuméLa densité de population des éléphants de forêt fut étudiée au Parc National de Tai (Côte d'Ivoire) de 1978 à 1980, sur base de signes indirects laissés par les animaux. Dans différentes sous‐régions, des comptages standardisés d'excréments furent effectués aussi bien le long de transects linéaires que dans des quadrats permanents. Les résultats ne montrent pas de différence significative entre les comptages en transects et en quadrats. Les densités sont significativement plus élevées en forêt secondaire qu'en forêt humide primaire. La densité de population moyenne pour le Parc National de Tai est évaluée à 0,23 éléphant par km2. L'éléphant de forêt de l'Afrique de l'ouest est comparéà l
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1986.tb00344.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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2. |
Age structure of elephants in Tsavo National Park, Kenya |
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African Journal of Ecology,
Volume 24,
Issue 2,
1986,
Page 69-75
W. K. OTTICHILO,
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摘要:
SummaryFollowing the recent drastic decline in elephant numbers from nearly 35,000 in 1974 to about 14,000 in 1980 in Tsavo National Park, Kenya, the age structures of selected samples of the remaining elephant population were determined in 1980 using the photogrammetric technique. The results show that the present elephant population consists mostly of juveniles and sub‐adults whose age range is between 1 and 15 years. There is a marked scarcity of adults over 15 years. There have been considerable changes in the age structure among the Tsavo elephants over the last 14 years. This paper analyses the factors that have been responsible for these changes.RésuméSuite au récent et drastique déclin du nombre d'éléphants de presque 35,000 en 1974 à environ 14,000 en 1980 au Parc National de Tsavo (Kenya), les structures d'âge d'échantillons sélectionnés de la population restante furent déterminées en 1980 par la technique photogrammétrique. Les résultats montrent que la population actuelle d'éléphants consiste principalement en juvéniles et subadultes dont les âges varient de l à 15 ans. II y a une raréfaction marqée des adultes de plus de 15 ans. II s'est produit de considérables changements dans la structure d'âge durant les 14 dernières années parmi les éléphants du Tsavo. Cet article analyse les facteurs re
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1986.tb00345.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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3. |
Small mammals of Zomba Plateau, Malawi, as assessed by their presence in pellets of the grass owl, Tyto capensis, and by live‐trapping |
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African Journal of Ecology,
Volume 24,
Issue 2,
1986,
Page 77-87
D. C. D. HAPPOLD,
M. HAPPOLD,
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摘要:
SummaryThe high altitude grasslands of Zomba Plateau (1900 m) in Malawi are inhabited by at least eleven species of small terrestrial mammals (rodents and shrews), of which nine species were found in pellets of grass owls, Tyto capensis. Dendromus nyikae and Otomys angoniensis were the most numerous species in the pellets, although three large species, O. angoniensis, Dasymys incomtus and Pelomys fallax contributed 91–93% of the biomass of prey. Each pellet contained the remains of one to five mammals, representing a prey‐biomass of 33–256 g (x̄= 132 g). Data from pellets were compared with data from a 10‐month live‐trapping programme in the same grasslands. The most commonly trapped species were Mus triton, Lophuromys ftavopunctatus, Praomys delectorum and D. nyikae, whereas O. angoniensis, D. incomtus and P. fallax were very rarely trapped and appear to be extremely trap‐shy. Two species: L. flavopunctatus (which is common) and Thamnomys dolichurus (which is uncommon) in the grasslands, were trapped but not found in the pellets. The diet of grass owls from Zomba Plateau was compared with the diets of grass owls from ten localities in South Africa. the comparison suggests that Otomys spp. are the staple prey of grass‐owls throughout much of their geographical range in Africa. The diet of the grass owls was also compared with diets of the closely related barn owl (Tyto alba) from two localities in Malawi. The two species of owls prefer habitats at different altitudes, and they prey largely upon different species of small mammals.RésuméLes prairies de haute altitude du Plateau de Zombia (1900m) au Malawi sont habitées par au moins onze espèces de petits mammifères terrestres (rongeurs et insectivores), desquelles neuf espèces furent trouvées dans les pelotes de réjections de la chouette du Cap, Tyto capensis. Dendromus nyikae et Otomys angoniensis sont les espèces les plus représentées dans les pelotes, alors que trois grandes espéces, O, angoniensis, Dasymys incomtus et Pelomys fallax contribuent pour 91 à 93% de la biomasse des proies. Chaque pelote contient les restes de un à cinq mammifèces, ce qui représente une biomasse de proies de 32 à 256 g. (x̄= 132 g). Ces données fournies par les pelotes furent comparées avec des données fournies par un programme de capture dans les mêmes prairies. Les espèces les plus communément piégées sont Lophuromys flavopunctatus, Praomys delectorum et D. nyikae, alors que O. angoniensis, D. incomtus et P. fallax sont très rarement piégées et semblent être trés difficiles à capturer. Deux espèces, L. flavopunctatus, quiest commune et Thamnomys dolichurus, qui est peu fréquente dans ces prairies, furent piégées mais pas retrouvées dans les pelotes. Le régime alimentaire de la chouette du Cap sur le Plateau de Zombia fut comparé avec celui de la même espèce dans dix localités différentes d'Afrique du Sud. La comparaison suggère que les Otomys spp. sont les proies favorites de la chouette du Cap sur tout le territoire de sa distribution géographique en Afrique. Ce régime alimentaire fut aussicomparéà celui d'une espèce proche, la chouette effraie (Tyto alba) dans deux localités au Malawi. Les deux chouettes présentent des préférences d'habitats à des altitudes diffèrentes et leurs pro
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1986.tb00346.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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4. |
Diurnal activity pattern of the black rhinoceros (Diceros bicornis (L.)) in Ngorongoro Crater, Tanzania |
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African Journal of Ecology,
Volume 24,
Issue 2,
1986,
Page 89-96
H. Y. D. KIWIA,
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摘要:
SummaryThe diurnal activity of the black rhinoceros was studied in Ngorongoro Crater, Tanzania, from December 1980 to May 1982. From fourteen individuals of different sex and age classes, data were collected for a total of 656 and 473 observation hours in wet and dry seasons respectively. The rhinoceros were most active in early morning and late afternoon, and inactive at midday. In both seasons, the rhinoceros spent almost half of the day time lying down. Walking and feeding comprised the other major activities. Results from this study were similar to those of Goddard (1967) attained between 1964 and 1966, from the same population (which was then four times larger) and from the rhinoceros of Olduvai Gorge. Nocturnal studies were not feasible, because the rhinoceros retreated into the Crater forests at night where they presumably spent much of the time feeding since they fed little during the day time.RésuméL'activité diurne du rhinocéros noir au cratère du Ngorongoro (Tanzanie) de décembre 1980 à mai 1982. De quatorze individus de sexes et d'âges différents, les données sont dérivées de 656 et 473 heures d'observations en saison sèche et saison des pluies respectivement. Les rhinocéros sont plus actifs en début de matinée et en fin d'après‐midi et sont inactifs à la mi‐journée. Quelle que soit la saison, le rhinocéros passe presque la moitié de la journée couché. La marche et l'alimentation constituent les autres activités majeures. Les résultats de cette étude sont similaires à ceux de Goddard (1967) récoltés entre 1964 et 1966 sur la même population (qui était alors quatre fois plus importante) et sur celle de la Gorge d'Olduvai. L'étude nocturne ne fut pas réalisable car les rhinocéros se retirent dans les foréts du cratère la nuit où ils passent probablement la majeure partie du temps à
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1986.tb00347.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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5. |
Pattern of space use by relocated servals Felis serval |
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African Journal of Ecology,
Volume 24,
Issue 2,
1986,
Page 97-101
R. J. VAN AARDE,
J. D. SKINNER,
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摘要:
SummaryThis paper reports on the successful relocation of captive‐bred male servals and provides information on activity patterns, dispersal and spatial utilization. Servals maintain themselves without any prior training in hunting. They are predominantly nocturnal and direction of dispersal was determined by habitat preferences, they confine themselves to areas with permanent water and adequate shelter. Core areas of activity coincided with the points of release and home range size varied from 2.1 to 2.7 km2.RésuméCet article rend compte du succès de la réimplantation de servals mâles reproduits en captivité et fournit des informations sur les types d'activité, de dispersion et d'occupation spatiale. Les servals survivent sans entraînement préalable à la chasse. Ils sont avant tout nocturnes et le sens de leur dispersion est déterminé par des préférences d'habitat, se confinant dans des zones à eau permanente et abri suffisant. Les régions centrales de leur activité coïncident avec les zones de lâchage et les domaines vitaux varie
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1986.tb00348.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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6. |
Breeding seasonality of the African fish eagle in Queen Elizabeth Park, Uganda |
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African Journal of Ecology,
Volume 24,
Issue 2,
1986,
Page 103-110
S. J. A. SUMBA,
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摘要:
SummaryThe African fish eagle Haliaeetus vocifer (Daudin) in Queen Elizabeth National Park, Uganda, breeds all‐year‐round. Only changes in temperature and water level are significantly but negatively correlated with this breeding seasonality. Social stimulation is not important in the breeding biology of the birds. In this area, the fish eagle exhibits an annual breeding cycle.RésuméL'aigle pêcheur africain (Haliaeetus vocifer (Daudin)) au Queen Elizabeth National Park (°) se reproduit tout au long de l'année. Seuls des changements de température et de niveau d'eau sont en correlation significative mais négative avec cette époque de reproduction. La stimulation sociale n'est pas importante dans la biologie de reproduction chez les oiseaux. Dans cette région, l'aigle pêcheur présente un cycle annuel d
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1986.tb00349.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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7. |
Body condition of male Thomson's and Grant's gazelles in relation to season and resource use |
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African Journal of Ecology,
Volume 24,
Issue 2,
1986,
Page 111-120
J. BRAD STELFOX,
R. J. HUDSON,
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PDF (492KB)
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摘要:
SummaryBody condition of male gazelles inhabiting the Athi‐Kapiti Plains, Kenya, fluctuated seasonally. Preferences for upper topographic levels by Thomson's gazelle and for depressions by Grant's gazelle exposed these species to dissimilar biophysical resources and accounted for asynchronous trends in body condition. Thomson's gazelle benefited from early grass growth which occurred along hilltops immediately following the rainy season. Although responding more slowly, body condition of Grant's gazelle was maintained longer into the dry season because of greater use of dicotyledons and the persistence of soil moisture in lower areas.RésuméLa condition physiologique des mâles de gazelles dans les plaines de Athi‐Kapiti (Kenya) fluctue avec les saisons. La préférence pour des niveaux topographiques élevés chez la gazelle de Thomson et pour les dépressions chez la gazelle de Grant expose ces espéces à des ressources biophysiques différentes et explique les tendances asynchrones de leur condition physiologique. La gazelle de Thomson profite de la croissance de l'herbe précoce sur les crêtes juste après la saison des pluies. Bien qu'elle réagisse plus lentement, la condition physiologique de la gazelle de Grant se maintient plus longuement en saison sèche à cause de l'utilisation plus complète de dicotylédones et de la persistance d'un sol humide
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1986.tb00350.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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8. |
Reproductive parameters of African gazelles: gestation, first fertile matings, first parturition and twinning |
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African Journal of Ecology,
Volume 24,
Issue 2,
1986,
Page 121-128
C. W. FURLEY,
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PDF (440KB)
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摘要:
SummaryReproductive parameters of the African branch of the genus Gazella were studied and are presented in tabular form. Gestation lengths varied from under 170 days in the smaller species, such as G. cuvieri, G. dorcas, and G. leptoceros, to approximately 200 days for the larger species, such as G. dama, G. granti, and G. soemmerringi. Records for the age at first fertile mating in male gazelles varied from 180 days (G. cuvieri) to 900 days (G. dorcas). The age at first conception in the female gazelle was recorded from 152 days (G. leptoceros) to 720 days (G. dorcas). Similarly, these species provided the earliest and latest ages at first parturition. Twins were extremely rare in G. thomsoni and G. dorcas, but frequent in G. cuvieri. Wide variations for all parameters were noted between and within species.RésuméLes paramètres de la reproduction de la branche africaine du genre Gazella sont étudiés et présentés sous forme synoptique. Les durées de gestation varient de moins de 170 jours chez les plus petites espéces telles que G. cuvieri, G. dorcas et G. leptoceros à environ 200 jours pour les plus grandes telles G. dama, G. granti et G. soemmeringi. Les données d'âge pour le premier accouplement fécond chez les gazelles mâles varient de 180 jours (G. cuvieri) à 900 jours (G. dorcas). L'âge de la première fécondation chez les femelles vont de 152 jours (G. leptoceros) à 720 jours (G. dorcas). De même, ces espèces présentent l'âge le plus précoce et l'âge le plus tardif à la première parturition. Les jumeaux sont extrêmement rares chez G. thomsoni et G. dorcas, mais fréquents chez G. cuvieri. De larges variations de tous ces paramètres furent notées entre ces espèces et
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1986.tb00351.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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9. |
Baobab damage by elephant in the middle Zambezi, Valley, Zimbabwe |
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African Journal of Ecology,
Volume 24,
Issue 2,
1986,
Page 129-132
C. M. Swanepoel,
S. M. Swanepoel,
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PDF (176KB)
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ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1986.tb00352.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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10. |
Movement patterns and group size of the African forest elephant Loxodonta africana cyclotis in the Tai National Park, Ivory Coast |
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African Journal of Ecology,
Volume 24,
Issue 2,
1986,
Page 133-136
G. Merz,
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PDF (157KB)
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ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1986.tb00353.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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