摘要:

SummaryPrimary production studies were done on the Kaputei rangeland, in Kenya, between February and November 1973. Wire exclosures were erected in five different sub‐areas within the main study area and clipping was done in plots in the exclosures. Productivity rates ranged from about 3,546 kg/ha per year to 4,881 kg/ha per year. About 7.5% of the production was used in grazing by a large number of herbivores. Trampling by all kinds of animals in the area played an important role in herbage utilization, as did herbivorous invertebrates and human factors.RésuméDes études de production primaire furent réalisées dans la région de Kaputei au Kenya entre février et novembre 1973. Des clôtures métalliques furent dressées dans cinq sous‐secteurs à I'intérieur de la zone principale d'étude et des tontes furent faites par endroits dans ces enclos. Les taux de productivité vont d'enrivon 3.546 kg/ha/an à 4.881 kg/ha/an. Prs de 73% de la production est pâturée par un grand nombre d'herbivores. Le piétinement par toutes les espèces d'animaux de la zone joue un rôle important dans l'utilisation de I'herbage de même que les invertébrés herbivor

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1980.tb00264.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1980

数据来源: WILEY

摘要:

SummarySeveral human settlements within or bordering the park were surveyed. Goats were present in most villages and browsed most intensely between 09.00 and 12.00 hours. Bushes were browsed during the rainy season and, by the peak of the dry season, many Capparis tomentosa bushes close to human settlements were severely over‐browsed. As the browse close to the settlements decreased, especially during the dry season, the goats penetrated the park.RésuméPlusieurs installations humaines à l'intérieur ou au bord du parc furent suivies. II y a des chévres dans la plupart des villages, qui broutent surtout entre 9 et 12 h. Les bosquets sont broutés durant la saison des pluies et, au plus fort de la saison she, de nombreux bosquets de Capparis tomentosa proches des villages sont gravement surpaturés. Au moment où les feuillages proches des colonies humaines diminuent— spécialement durant la saison sèche—Ies chèvres pénè

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1980.tb00265.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1980

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryThe bushbuck is a selective feeder, eating a wide range of plant species. In this study thirty‐five plants eaten by bushbuck were identified. These included three grass species, five shrub plants and twenty‐seven herbs. The shrubs Erythrococcus bongensis and Capparis tomentosa were favoured in all seasons, although herbs were preferred to shrubs in the wet season. The average percentage of crude protein and phosphorus content in plants was slightly higher in the wet season than in the dry season.RésuméLe guib harnaché est un consommateur sélectif, mangeant un large éventail d'espéces végétales. Au cours de cette étude, trente‐cinq espèces consommées par le guib harnaché furent identifiées parmi lesquelles trois espèces de grandes graminées, cinq espèces d'arbustes et vingt‐sept espèces d'herbages. Les arbustes Erythrococcus bongensis et Capparis tomentosa composent le régime préféré en toute saison, bien que les herbages soient préférés aux arbustes durant la saison des pluies. Le pourcentage moyen du contenu brut en protéines et en phosphore est 1égèrement plus élevé e

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1980.tb00266.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1980

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryThe rumen contents were collected from fifty‐one female Grant's gazelles and eighteen males, sampling of the females taking place at an average of four per month during a 1‐year period. The rumen samples were analysed for their browse to graze ratio, as shown by the dicotyledon to monocotyledon ratio, the primary objective being to determine whether the degree of pregnancy with its inferred changing nutritional demands, influenced this ratio. Other factors investigated were rainfall as related to grass availability, age of the individuals and sex. The results suggested the species to be primarily a browser, taking an average of 65.8% browse and 34.3% graze. The most significant factor affecting browse to graze intake appeared to be rainfall as related to grassland flushes. No other significant influences were detected.RésuméOn a récolté les contenus du rumen de cinquante et une femelles et dix‐huit mâles de gazelle de Grant, et I'échantillonnage des femelles eut lieu en moyenne yuatre fois par mois durant une période d'un an. Les échantillons furent analysés pour établir le rapport dicotylédones/monocotylédones de leur régime; l'objectif de base étant de déterminer si le stade de gestation, qui entraîne un changement des besoins alimentaires, influence ce rapport. Les autres facteurs examinés furent les pluies, qui régissent la présence des graminées, 1'âge des individus et le sexe. Les résultats suggèrent que l'espèke est d'abord un brouteur de feuilles, mangeant une moyenne de 65.8% de feuilles et 34.3% d'herbe. Le facteur le plus significatif régissant la consommation de feuilles ou d'herbe semble être les chutes de pluie donc la pousse des pâturages. Aucune autre influen

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1980.tb00267.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1980

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryMales of the red kangaroo (Megalela rufa) are larger than females and have a higher mortality rate in central Australia. The possibility that diets also differed was examined. Though both sexes ate predominantly grass and little browse, there were significant differences in the amounts of forbs eaten during summer and winter droughts. Sexual dimorphism in size is common among herbivores in Africa, North America and Australia and therefore may be associated not only with sexual success, but also with higher carrying capacities for the species.RésuméLes mâes de kangourou rouge (Megalela rufa) sont plus grands que les femelles et ont un taux de mortalité supérieur en Australie centrale. La possibilité que les régimes alimentaires soient aussi différents est aussi examinée. Bien que les deux sexes mangent surtout des graminées et peu de feuilles, il existe des différences significatives dans les quantités d'herbages mangés durant les sécheresses d'été et d'hiver. Le dimorphisme sexuel dans la taille est courant parmi les herbivores en Afrique, Amérique du Nord et Australie et peut être dès lors associé non seulement avec l'attrait sexuel, mais aussi avec la plus haute charge past

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1980.tb00268.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1980

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryThe red colobus and redtail monkeys are the two most common primates in the Kibale Forest, yet they show pronounced differences in most aspects of their behaviour and ecology. The red colobus live in large multi‐male social groups with home ranges that completely overlap with those of other conspecific social groups. The redtails live in medium‐sized, one‐male social groups and actively defend territories against other conspecific social groups. Red colobus feed primarily on young plant growth, especially buds, flowers, and young leaves. In contrast, redtails feed heavily on fruits and arthropods. Comparisons are made of inter‐individual spacing, adult male interactions, mating systems, grooming, social relations of neonates, inter‐group relations and diet, time budgets, vertical stratification, ranging, biomass, density and yield. It is suggested that differences in the density, dispersion patterns and renewal rates of the divergent classes of food account for much of the contrast in life styles of these two monkey species.RésuméLe colobe bai et la cercopithèque ascagne sont les deux primates les plus communs de la forêt de Kibale, bien qu'ils présentent des différences prononcées dans la plupart des aspects de leur comportement et de leur écologie. Le colobe bai vit en grands groupes sociaux à plusieurs mâles dont les domaines vitaux recouvrent complètement ceux d'autres groupes conspécifiques. Les cercopithèques ascagnes vivent en groupes sociaux moyens à mâle unique et défendent activement leur territoire contre les autres groupes sociaux conspécifiques. Les colobes bais se nourrissent principalement de jeunes pousses, spécialement des bourgeons, des fleurs et de jeunes feuilles. Les cercopithèques, eux, mangent essentiellement des fruits et des arthropodes. On compare les distances entre individus, les interactions des mâles adultes, les processus d'accouplement, de toilette, les relations sociales des nouveaux‐nés, les relations entre les groupes ainsi que les régimes alimentaires, les actogrammes, la stratification verticale, la dispersion, la densité et la production de biomasse. On suggère que les différences de fréquence, de mode de distribution et de taux de renouvellement des diverses sources de nourriture entrent en ligne de compte pour une bonne part du contraste dans

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1980.tb00269.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1980

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryGround counts, some of which were followed by aerial counts, were made of the six major species of large mammals on Mweya Peninsula, Rwenzori National Park, Uganda at approximately weekly intervals between 1968 and 1973. During this period, the number of hippopotamus increased from 5.4 to 25.3 per km2. There was a significant drop in buffalo numbers due to the breakup of a large herd as well as a significant decline in elephant numbers. There was a great reduction in the number of solitary male waterbuck, suggesting a change in the social behaviour. The rise in hippopotamus numbers is a local phenomenon due to recolonization of an area previously cleared of the species and is not reflected in the hippopotamus population of the park as a whole. Comparison with earlier counts made since 1956 show that the greatest values for the biomass and energy consumption of the large mammal community were reached in 1973 but in numbers, the peak occurred in 1968. By the end of the study, the composition of the community was reverting to the position found in 1956 with a preponderance of hippopotamus after a more balanced distribution between the species had been reached in 1968. Comparisons showed that there was little difference between ground counts made by different observers but there was evidence of significant observer bias in the aerial counts. There were also some significant differences between aerial and ground counts made on the same day. Trees marked on the Peninsula showed a mortality of 5.7% per annum between 1971 and 1976 mainly as a result of elephant damage. A quantitative assessment showed the loss of one tree per km2after an elephant usage equivalent to 52.6 elephants per day. There was extensive regeneration of trees with a density of 11,058 saplings per km2of which only 2.8 per annum need to survive to maturity to maintain the present population.RésuméDes recensements au sol, parfois suivis de comptages aériens, des six espèces prin‐cipales de grands mammifères furent menés sur la Péninsule de Mweya, au Rwenzori National Park, à intervalles d'environ une semaine entre 1968 et 1973. Durant cette#période, le nombre d'hippopotames a sugmenté de 5.4 à 25.3 ind./km2. II y eut un déclin significatif du nombre de buffles dûà la scission d'un grand troupeau, ainsi qu'une diminution significative du nombre d'éléphants. II y eut une réduction import‐ante du nombre de mâles solitaires chez le waterbuck, ce qui suggère un changement de comportement social. L'augmentation des nombres d'hippopotames est un phéno‐màne local dî a la recolonisation d'une zone où I'espbce fut éliminée auparavant et ne reflète pas les populations d'hippopotames de I'entièreté du parc. La comparaison avec les recensements précédents menés depuis 1956 montrent que les valeurs les plus élevées de biomasse et de consommation d'énergie de la communauté des grands mammifères furent atteintes en 1973, mais, en nombre d'individus, le maximum est situé en 1968. A la fin de I'étude, la composition de la communautéévoluait vers la situation observée en 1956 avec une prépondérance d'hippopotames, après un passage en 1968 par une distribution entre les espèces plus équilibrée. Les comparaisons montrent qu'il y a peu de différences entre les recensements au sol menés par différents observateurs mais qu'il existe un biais significatif évident selon I'observateur dans les comptages aériens. II en existe également entre les comptages au sol et aériens faits le même jour. Le marquage d'arbres dans la Péninsule a montré une mortalité de 5.7% par an entre 1971 et 1976 principalement due aux dommages causés par les éIéphants. Une évaluation quantitative montre que la perte d'un arbre au km2due aux dégats d'éléphants correspond à une population de 52.6 animaux par jour à cet endroit. II y a une régénération intensive des arbres avec une densité de 11058 échantil‐Ions au km2dont seulement

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1980.tb00270.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1980

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryThe present work was initiated to determine the status of the elephant in Uganda following reports of overpopulation in the national parks. Aerial counts were carried out each September from 1973 to 1976 in Rwenzori National Park and in Kabalega Falls National Park, including the contiguous game reserves to the south.The results showed a significant decline in elephant numbers between 1973 and 1976. By 1976 the populations in Rwenzori and Kabalega had fallen to about 26% and 17% respectively of the 1973 level. The decline is attributed to a massive increase in poaching within the parks. These findings necessitate a completely new assessment of the elephant problem in Uganda and published recommendations to cull are obviously no longer relevant.RésuméLa présente étude a été entreprise pour déterminer la situation de I'éléphant en Ouganda en fonction des rapports de surpopulation dans les parcs nationaux. Des mois de septembre entre 1973 et 1976 au Parc National du Rwenzori et au Parc National de Kabalega Falls, y compris les réserves de chasse contigües au sud.Les résultats montrent une diminution significative du nombre d'éléphants entre ces deux années. En 1976, les populations au Rwenzori et au Kabalega sont tombées respectivement à 26 et 17% des effectifs de 1973. Le déclin est attribuéà une augmentation massive du braconnage à l'intérieur des parcs. Ces découvertes nécessitent une approche entiérement nouvelle du problème des éléphants en Ouganda et les publications antérieures recommandant un prélèvement ne sont

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1980.tb00271.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1980

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryThis paper presents observations on the movements and distribution of large mammals in relation to seasonality in Yankari game reserve. Water, food, cover, mineral requirements and burning practice were identified as the main factors influencing the movements and distribution of animals especially during the dry season. It was shown that the impact of animal concentrations along the River Gaji during the dry season and the effects of repeated early burning throughout the reserve are resulting in a general downward trend of the vegetation and soils. Recommendations were made (1) that the existing waterholes in the reserve should be developed as an alternative water source to Gaji river. This it is hoped will reduce the animal concentration along the river, during the critical dry season. (2) That a thorough study should be carried out on the population structure and dynamics of buffalo and waterbuck in the reserve, with a view to determining whether cropping is now necessary, and how it should best be carried out.RésuméCet article présente des observations sur les déplacements et répartitions saisonnierès des grands mammifères de la Yankari Game Reserve. L'eau, la nourriture, l'abri, les exigences en minéraux et les pratiques de feux s'avèrent être les facteurs capitaux régissant les mouvements et la distribution des animaux, surtout en saison sèche. II est montré que l'impact des concentrations animales en saison sèche le long de la rivière Gaji et les effets de la répétition des feux hâtifs à travers la réserve provoquent une tendance négative générale de la végétation et des sols. On recommande: (1) que les points d'eau existants dans la réserve soient aménagés comme source d'eau alternative a la rivière Gaji. On espère que ceci réduira les concentrations animales le long de la rivière durant la critique saison sèche. (2) Qu'une étude approfondie soit entreprise sur la structure et la dynamique des populations de buffles et waterbucks dans la réserve en vue d'examiner si un prélèvement (cropping) est nécessaire main‐tenant et com

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1980.tb00272.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1980

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryNigeria recently created its first national park, The Kainji Lake National Game Park. This paper presents preliminary observations on the extent and effects of poaching, burning and elephant activities in the park. The tourist potential of the Kainji area is also assessed. The following recommendations are made.(1) Adequate anti‐poaching and public enlightenment programmes should be undertaken in order to stop game‐poaching and enable animal numbers to increase naturally.(2) In order to enhance survival of trees within the park, the patterns and trends in habitat utilization by large game species, particularly the elephant, should be studied in greater detail and on a continuous basis.(3) The development of fire‐breaks around the park and construction of a network of roads within the park could facilitate the implementation of a rational burning policy for the park.RésuméLe Nigéria a récemment créé son premier parc national, le Kainji Lake National Game Park. Cet article présente des observations préiminaires sur l'importance et les effets du braconnage, des feux et des dégâts des éléphants dans le parc. Le potentiel touristique de la zone de Kainji est également évalué. II est recommandé:(1) Que des programmes adéquats de lutte anti‐braconnage et d''éducation de la population soient entrepris en vue d'arrêter le braconnage des animaux et permettre a leurs populations de croître de manière naturelle.(2) Que I'on étudie de façon détaillée et permanente les modes et tendances de l'utilisation de I'habitat par les grands animaux et surtout I'éléphant en vue d'aug‐menter la survie des arbres dans le parc.(3) Que l'aménagement de coupes‐feux autour du parc et la construction d'un réseau de pistes á I'intérieur faciliteraient la mise en oeuvre d'une p

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1980.tb00273.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1980

数据来源: WILEY