摘要:

SummaryA population estimate of fruit bats was carried out in the Kampala Bat Valley roost. The model used was a single‐stage systematic sampling of unequal primary units (trees). The trees were first listed in a ‘serpentine manner’ with neighbouring trees having contiguous serial numbers. After a random start, every seventeenth tree was selected so that a sample of fourteen out of a total of 238 trees were counted. The exercise was carried out over 3 months, January, February and March, in 1979.Information was gathered on the number of branches with bats, the number of bat clusters and cluster size. From the analysis of the data, the following monthly averages were obtained: total number of bats in the colony = 70,388; average number of bats on each tree = 310; average number of clusters per branch=4; average cluster size = 7.8. Measures of reliability of the estimates were made. The implications of these results and the conservation of the habitat are adjusted.RésuméUne estimation de la population de chauve‐souris frugivores a été menée dans les dortoirs devla ‘Kampala Bat Valley’. Le rnodile utilisé est un échantillonnage systématique en un temps d'unités primaires inégales (les arbres). La liste des arbres fut d'abord établie suivant un trajet en zig‐zag. Après un point de départ aléatoire, on a sélectionné chaque Dix‐septiéme arbre de telle façion qu'un échantillon de quatorze sur un total de 238 arbres fut compté. Ce travail fut entrepris pendant trois mois: de janvier à mars 1979. Des informations furent récoltées sur le nombre de branches portant des chauve‐souris, le nombre de grappes et la taille des grappes. Les moyennes mensuelles suivantes ont pu être obtenues par l'analyse de ces données: nombre total de chauve‐souris dans la colonie: 70.388, nombre moyen de chauve‐souris sur chaque arbre: 310, nombre moyen de grappes par branche: 4, taille moyenne d'une grappe: 7.8. Les implications de ces resultats s

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1982.tb00297.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1982

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryBush pigs of Kibale Forest, Uganda, exhibit at least four pelage colour morphs. Two predominant morphs resemble the western subspecies,Potamochoerus porcus porcus, and the eastern/southern subspecies,P. porcus koiropotamus. Kibale Forest may be a zone of secondary contact between subspecies. Alternatively, the Kibale population could be intermediate between clinal extremes. Group size ranged from one to eleven pigs with a mean of 32. One‐third of those bush pigs sighted were immature. Observations were also made on activity and food habits.RésuméLes potamochères de la Forêt de Kibale (Uganda) présentent quatre types de pelage. Les deux morphologies prédominantes ressemblent à la sous‐espèce occi‐dentale,Potamochoerus porcus porcus, et la sous‐espèce orientale et du sud,P.p. koiropotamus. La Forêt de Kibale semble être une zone de sympatrie pour ces sous‐esmeces. L'organisation sociale est variable; la taille du groupe varie d'un à onze individus avec une moyenne de 3.13. 34% des potamochères observés sont immatures. L'alimentatio

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1982.tb00298.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1982

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryBoth direct observations and stomach content examinations confirmed that various shore birds feed on juvenile fiddler crabsUca stenodactyla. The shore birds are selective by age class (juvenile crabs) and most often prefer only those locations where the juvenile crabs are most abundant. This selective behaviour suggests that these shore birds utilize an energy efficient system for the search and capture of this particular food source‐theUcacrabs.RésuméLes observations directes et examens stomacaux confirment que des oiseaux pé lagiques se nourrissent de crabes violonistes,Uca stenodactyla. Les oiseaux pé lagiques sé lectionnent les classes d'age (juvéniles) et préférent le plus souvent les sites où les crabes juvéniles sont les plus abondants. Cecomportément sélectif suggére que ces oiseaux utilisent un système efficace pour la recherche et la capture de cette source particulière de nourriture—les

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1982.tb00299.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1982

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryLive trapping, conducted to study the habitat occupance of the grass rat,Arvicanthis niloticusDesmarest, showed that the rat was dominant in woodland, scanty in open grassland, absent in the seasonally‐flooded bottom part of the catena, and that colonies were situated mainly under trees and in termitaria. Field and laboratory observations showed that the rats foraged grass species in relation to the proportionate abundance of the grass species in the grass stands, the important factor determining consumption of a grass species being the distance at which it was located from the rat colony.RésuméL'étude le l'occupation de l'habitat chezArvicanthis niloticusDesmarest par piegeage a montré que la présence de ce rat est dominante dans les zones boisées, clairsemée en savane ouverte et nulle dans les parties saisonnièrement submergées de la catena; l'étude a aussi montré que les colonies étaient principalement localisées sous les arbres et dans les termitières. Des observations sur le terrain et en laboratoire ont montré que les rats se nourrissent de certaines espèces de graminées selon leur abondance relative dans les stations et que le facteur principal déterminant la consommation d'une espèce de graminée était sa distance pa

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1982.tb00300.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1982

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryFemale and juvenile impala in the Sengwa Wildlife Research Area, Zimbabwe, were discontinuously distributed in a clan system. The home ranges of animals in the same clan overlapped on average by 73% while those from adjacent clans overlapped by 4%. Clans contained from 30 to 120 impala with combined home ranges of 80– 180 ha, which varied in size seasonally. Occasionally, females dispersed between clans. It is suggested that the clan system evolved in response to simultaneous selection for small home range size and large group size.Male impala were more evenly distributed than females. Their average annual home range size increased initially with age to 90 ha at 3– 4 years but declined to 49 ha at 5– 6 years. By 4 years of age 73% of males had dispersed from their natal clan. The average distance moved was 1.2 km, which was sufficient to centre the home range in a different clan area.The pattern of distribution and dispersal of impala is discussed with reference to alternative lifetime strategies in the sexes. It is suggested that search by young males for outbred matings, for areas with a high proportion of females to dominant males, and for increased social interaction with their peers contributed to their wide ranging. Small annual range size without overt aggression or defence was characteristic of high ranking males indicating subdued year‐round dominance advertising. Female impala enhance their breeding success by longevity rather than competition and this was achieved through the clan system.Impala ranging behaviour in different geographical locations is compared. Its variation is related to cycling of resources in neighbouring habitats, and to differences in territorial behaviour by adult males.RésuméLes femelles et juvéniles d'impala au Sengwa Wildlife Research Area (Zimbabwe) présentent une distribution discontinue en systèmes de clan. Les domaines vitaux d'animaux d'un même clan se recouvrent à 73% en moyenne alors que ceux de clans adjacents se recouvrent à 4%. Ces clans rassemblent de 30 à 120 impalas avec des domaines vitaux de 80– 180 ha qui varient selon la saison. Occasionnelle‐ment les femelles se dispersent parmi ces clans. II est suggéré que le système de clan évolue en réponse à une sélection simultanée d'un domaine vital de petite dimension et d'un groupe de grande dimension. Les mâles d'impala se répartissent plus régulièrement que les femelles. La taile annuelle de leur domaine vital augmente d'abord avec l'âge de 90 ha à 34 ans mais se réduit à 49 ha vers 5– 6 ans. Vers l'âge de 4 ans, 73% des mâles sont dispersés de leur clan d'origine. La distance moyenne d'éloignement est de 1.2 km, ce qui suffit à situer leur domaine vital dans le territoire d'un clan différent.Le type de distribution ct de dispersion de l'impala est examiné par référence aux stratégies différentes de durée de vie des deux sexes.II est suggéré que la quiêe des jeunes mâles pour des accouplement dans d'autres groupes, pour des zones avec une forte proportion de femelles par rapport aux mâles dominants et pour une interaction sociale accrue avec leurs congénères contribuent à leur importante dispersion.Un domaine vital annuel de petite dimension, sans agression ou défense manifeste, est caractéristique des mâles hiérarchiquement supérieurs présentant tout au long de l'année un comportement de dominance. Les femelles d'impala renforcent davantage leur taux de reproduction élevé par la longévité que par la compétition, ce qui est réalisé par le système de clan.Les comportements territoriaux de l'impala dans des sites géographiques différents sont comparés. Les variations sont mises en rapport avec le cycle des ressources dans les habitats voisins

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1982.tb00301.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1982

数据来源: WILEY

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SummaryObserved and calculated births and conceptions in the spotted hyaena occurred throughout the year in southern Africa and no seasonal change in testicular histology could be demonstrated. A slight peak in births occurred in late summer, as the result of a slight peak in conceptions in early summer. An annual period of abundant food supply occurs in early summer when all major prey species of the spotted hyaena, namely the impala, wildebeest and zebra, have their young. This period coincides with the peak in conceptions, which, it is suggested, is caused by early weaning of cubs past the minimum weaning age. This allows females to conceive again so causing the observed peak in births in late summer.ResuméLes naissances et accouplements observés ou calculés chez l'hyène tachetée surviennent tout au long de l'année en Afrique du Sud et aucune variation saisonnière dans l'histologie testiculaire n'a pu être démontrée. Un léger pic dans les naissances est observéà la fin de l'été, correspondant à un léger pic d'accouplements au début de 1'été. Une période de grande disponibilité de nourriture se situe au début de 1'été lorsque toutes les proies principales de l'hyène, dont l'impala, le bubale et le zèbre, ont leurs jeunes. Cette période coîncide avec un pic dans les conceptions qu'on suppose être causées par le sevrage précoce des jeunes. Ceci permet aux femelles de porter à nouveau, causant ainsi le pic de nai

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1982.tb00302.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1982

数据来源: WILEY

摘要:

SummarySpringhares were collected monthly between August 1971 and August 1973 in the Republic of Botswana. Pelages of foetal, juvenile and adult springhares are described. Moult pattern is of the caudad type in both the juvenile and adult moult. In a sample of 326 springhares, 64% of the juveniles and 19% of the adults were in moult. Time of juvenile moult was directly correlated with body weight (age). Incidence of juvenile moult was highest during the wet season, but occurred in all months. Peak months for adult moult were December and January. No springhares were in adult moult during July or August. Adult moult showed significant positive correlations with monthly total rainfall, mean air temperature, mean forage protein and day length at mid‐month. No sexual dimorphism was found for pelage, moult pattern or season of moult. Lactation appeared to hinder moult.At the population level adult moult in springhares occurs seasonally but at the level of the individual the adult moult appears to be a chronologically flexible phenomenon which is delayed or retarded during times of stress and initiated or accelerated when conditions are favourable.RésuméDes lièvres sauteurs ont été récoltés chaque mois entre août 1971 et août 1973 en République du Botswana. Les pelages des foetus, des jeunes et des adultes sont décrits. Le schéma de mue est de type “caudal” tant chez les juvéniles que chez les adultes. Dans un échantillons de 326 lièvres, 64% des juvéniles et 19% des adultes étaient en mue. La période de mue chez les juvéniles présente une relation positive avec le poids du corps (âge). La mue des jeunes est la plus fréquente pendant la saison des pluies mais peut se rencontrer toute l'année. Les mois de mue principaux pour les adultes sont décembre et janvier, et il n'y en a jamais en juillet‐août. La mue des adultes montre une corrélation positive significative avec les chutes de pluies mensuelles, la température moyenne de l'air, la moyenne protéinique du fourrage et la durée du jour au milieu du mois. On n'a pas observé de dimorphisme sexuel du pelage, du procesus ou de la période de mue. La lactation semble empêcher la mue. Au niveau de toute la population, la mue des liévres adultes se produit saisonnièrement mais au niveau individuel elle semble être un phénomène chronologiquement flexible qui est reporté ou retardé en cas de stress et provoqué o

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1982.tb00303.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1982

数据来源: WILEY

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SummaryA study was carried out with weanling African giant rats to evaluate the effect of four dietary crude fibre levels (0, 5, 10 and 15% rice bran inclusion) on their growth performance. There was an increase in feed consumption as the dietary fibre levels increased. Daily body weight gains were not significantly different (P>0.05) between treatments. Protein efficiency ratio (PER) was significantly higher (P>0.05) on the control diet containing no rice bran than on that with 5% rice bran.RésuméUne étude a été menée sur des aulacodés sevrés pour évaluer l'effet de régimes contenant quatre taux de fibres crues différents (0, 5, 10 et 15% de son de riz) sur la croissance. II y a une augmentation de la consommation quand le taux de fibres augmente. Les gains de poids corporel quotidiens ne sont pas significativement diffkrents (P<0.05) selon les régimes. Le taux d'efficience protéinique (PER) est significativement plus élevé (P<0.05) dans le régime ne contenant pas de son de riz que dans celui

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1982.tb00304.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1982

数据来源: WILEY

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1982.tb00305.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1982

数据来源: WILEY

摘要:

Book reviewed in this article:Bird Migration in Africaby KaiCurry‐Lindahl.Swift and Enduring—cheetahs and wild dogs of the Serengeti. Georgeand LoryFrame. E. P. Dut

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1982.tb00306.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1982

数据来源: WILEY