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1. |
Bruchids and survival ofAcaciaseeds |
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African Journal of Ecology,
Volume 33,
Issue 3,
1995,
Page 175-183
P. MUCUNGUZI,
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摘要:
SummaryA study on seed predation by bruchid beetles was carried out to understand the interactions between seed beetles andAcaciaseeds in Queen Elizabeth National Park, Uganda. The beetles encountered in seeds were carefully isolated, preserved, labelled and identified. Seed infestation was assessed using cutting tests. Four seed beetles,Enaretha castelnaudi, Tuberculobruchus natalensisandBruchidiusspp. were found in two large seeds ofAcacia sieberiana, whileCaryedon serratusandBruchidius submaculatuswere found in small seeds ofAcacia gerrardii.The small seededA. gerrardiihad a higher rate of infestation than the large seededA. sieberiana, in spite of the latter species having more seed predators than the former. The intensity of seed predation onA. sieberianahad negligible differences within and between study sites. The intensity of seed predation was only significant withA. gerrardiiat Kayampara study site. The possible compensatory response byA. sieberianato seed predation by beetles is possession of many large seeds with adequate resources to accommodate a guild of seed predators. This study indicated the potential of seed predation as a biological control tool against the spread ofA. gerrardii.RésuméOn a mené une recherche sur l'infestation de semences par des coéoptères bruchidés pour comprendre les interactions entre les coléoptères et les semences d'Acaciaau Parc National Queen Elizabeth, en Ouganda. Les coléoptères trouvés dans les semences ont été soigneusement isolés, conservés, étiquetés et identifiés. On a évalué l'infestation au moyen de tests de recoupement. Quatre coléoptères,Enartha castelnaudi, Tuberculobruchus natalensis et Bruchidiusspp. furent trouvés dans les grandes graines d'Acacia sieberiana, tandis queCaryedon serratus et Bruchidius submaculatusétaient trouvés dans les petites graines d'Acacia gerrardii. Acacia gerrardii, qui a de plus petites semences, présentait un plus fort taux d'infestation queAcacia sieberianaqui en a des plus grosses, malgré le fait que ce dernier a de plus nombreux prédateurs que le premier. L'intensité de la prédation des semences d'Acacia sieberianane présentait que des différences négligeables entre les sites de recherches. L'intensité de la prédation des semences d'A. gerrardiin'était significative qu'à l'endroit nommé Kayampara. Il est possible que la réponse d'A. sieberianaà la prédation par les coléoptères soit la possession de nombreuses grosses semences disposant des ressources nécessaires pour faire face à des quantités de prédateurs. Cette étude indiquait la possibilité que la prédation au niveau des semences soit un moyen de contr
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1995.tb00795.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
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2. |
The impact of elephant browsing on the vegetation in Waza National Park, Cameroon |
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African Journal of Ecology,
Volume 33,
Issue 3,
1995,
Page 184-193
M. N. TCHAMBA,
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摘要:
SummaryTheAcacia seyalzone and the woodland zone of Waza National Park were sampled by means of line transects to assess damage to trees caused by elephants. In theAcacia seyalzone a total of 1503 trees was examined of which 65% were undamaged, 15% less than three‐quarters browsed, and 20% were seriously damaged. Of all trees browsed and trees seriously damaged the majority (50% and 31%, respectively) came from the mature class. It is concluded that elephant damage toAcaciatrees is not yet serious but if the trends continue (a doubling of the number of trees killed in 15 years), elephant might have considerable effects onAcaciadynamics and structure. In the woodland zone a total of 1431 trees was examined of which 55% were undamaged, 36% were less than three‐quarters damaged and 9% were seriously damaged. Of all trees browsed and trees seriously damaged the majority (66% and 74%, respectively) came from the mature class. The woodland zone of Waza is under far less browsing pressure than that of Kalamaloué National Park, a dry season habitat for some of the Waza elephants. In both parksAcacia seyal, Piliostigma reticulatum, Combretumspp. andBalanites aegyptiacawere sought out as preferred foods.The study concludes with a recommendation for continued monitoring of the vegetation in Waza and Kalamaloué parks so that proper management can be taken to conserve it. It stresses the importance of the hydrological restoration of the Waza–Logone floodplain.RésuméLes effets du broutage par les éléphants dans la zone àAcacia seyalet la partie arbustive du Parc National de Waza ont étéévalués par échantillonnage sur des transects arm d'évaluer les dégâts causés aux arbres. Dans la zone àAcacia seyalun total de 1503 arbres furent examinés dont 65%étaient indemnes, 15% endommagés à moins de trois‐quarts et 20% serieusement endommagés. Parmi les arbres broutés et les arbres serieusement endommagés la majorité (50% et 31% respectivement) appartenait à la classe des adultes. Il est conclu que les dégâts causés par les éléphants ne sont pas encore graves mais que si la tendance se poursuit (doublement en 15 ans des arbre serieusement endommagés), les éléphants pourraient avoir des effets considérables sur la dynamique et la structure desAcacia.Dans la partie arbustive un total de 1431 arbres furent examinés dont 55%étaient indemnes, 36% endommagés à moins de trois‐quarts et 9% serieusement endommagès. Parmi les arbres broutés et les arbres serieusement endommagés la majorité (66% et 74% respectivement) appartenait à la classe des adultes. La partie arbustive de Waza subit une pression bien moins importante que celle du Parc National de Kalamaloué, un habitat de saison sèche pour les èlèphants de Waza. Dans les deux parcs,Acacia seyal, Piliostigma reticulatum, Combreturnspp., andBalanites aegyptiacasont les nourritures préférées.Cette recherche se termine en recommendant de poursuivre les observations sur la végétation des parcs de Waza et Kalamaloué de façon à entreprendre une gestion correcte pour la protéger. Elle insiste sur l'importance de la restauratio
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1995.tb00796.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
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3. |
Acaciaseed survival, seed germination and seedling growth following pod consumption by large herbivores and seed chewing by rodents |
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African Journal of Ecology,
Volume 33,
Issue 3,
1995,
Page 194-210
MAXINE F. MILLER,
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摘要:
SummaryThis study investigatedAcaciaseed survival, germination and seedling growth following pod consumption by large herbivores and seed chewing by rodents.Acaciapod ingestion by captive herbivorous mammals caused substantial seed destruction. The number ofAcaciaseeds surviving passage through the gut usually, but not always increased with large mammal body mass. Ingested seeds exhibited a greater germination than uningested seeds when germinated on filter paper or in dung and soil media. Seed germination in soil exceeded that in dung whereas seedling growth in dung and soil did not differ. Seeds from the crop of ostrich and stomach of kudu germinated more than uningested seeds but less than seeds retrieved from dung. AdditionallyAcaciaseeds that had been chewed and discarded by rodents germinated better than unchewed seeds. A crude estimate of the germination of eaten and uneatenAcaciaseeds reveals that more seeds can potentially germinate following seed ingestion by large herbivores compared to uningested seeds. Seed ingestion therefore may be potentially advantageous to seed germination, although this depends upon rates of seed germination, seedling survival and establishment in the wild.RésuméCette éude a analysé la survie des semences d'Acacia, leur germination et la croissance des jeunes pousses suite à la consommation des gousses par les grands herbivores et au grignotage des semences par des rongeurs. L'ingestion des gousses d'Acaciapar des mammifères herbivores en captivité a entraîné une destruction substancielle des semences. Le nombre de semences d'Acaciaqui survivent au passage dans le tractus digestif augmente généralement mais pas toujours avec le poids corporel du grand mammifère. Les semences ingérées présentent une meilleure germination que celles qui ne l'ont pas été lorsqu'on les fait germer sur du papier filter ou dans de la terre ou des excréments. La germination dans la terre est meilleure que dans les exréments alors que la croissance des jeunes pousses ne diffère pas dans les deux substrats. Les semences récoltées par les autruches et dans l'estomac des koudous germent mieux que les semences non ingérées, mais moins bien que les semences retirées des excréments. De plus, les semences d'Acaciaqui ont été mâchées puis rejetées par les rongeurs germent mieux que celles qui n'ont pas été mâchées. Une estimation grossière de la germination des semences ingérées ou non d'Acaciarévèle que l'ingestion par de grands herbivores permet la germination d'un plus grand nombre de semences. C'est pourquoi on peut considérer que l'ingestion des semences peut être bénéfique pour leur germination encore que ceci dépende des taux de germination des semences, de la survie des
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1995.tb00797.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
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4. |
Diet, seasonal abundance and microhabitats ofPraomys(Mastomys)natalensis(Rodentia: Muridae) and other small rodents in a Kenyan sub‐humid grassland community |
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African Journal of Ecology,
Volume 33,
Issue 3,
1995,
Page 211-223
N. O. OGUGE,
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摘要:
SummaryThe diet, seasonal abundance and microhabitats ofPraomys natalensis, Tatera robusta, Mus minutoidesandM. triton, live‐trapped on a five ha grid over an eight‐month period, were studied in a dry sub‐humid grassland in Kahawa, Kenya.All the species were found to be omnivorous, feeding mainly on seeds and arthropods, with herbage forming a small but regular part of their diet. The diet ofPraomys, though similar to that ofM. minutoides, was significantly (P<0·01) different from those ofTateraandM. triton.Rodent populations were low with trapping success for all the species ranging from 0·4 to 4·7% withPraomysbeing 73% of total captures.Habitat association among the rodents was evident given thatPraomyswas strongly (P<0·01) associated withPanicum maximum, andTaterawithHyparrheniaspp. andThemeda triandra, respectively (P<0·05).PraomysandTaterawere not only negatively associated (P<0·01), but also showed a low overlap value (0·2) in their use of the microhabitats.It would appear that differences in microhabitat use and dietary habits among the rodents were important factors in resource partitioning. Availability of adequate cover associated with rainfall was a notable component influencingPraomysabundance in this habitat.RésuméOn a étudié le régime alimentaire, l'abondance saisonnière et le micro‐habitat dePraomys natalensis, Tatera robusta, Mus minutoidesetM. triton, attrapés vivants sur un terrain de 5 ha, pendant une période de huit mois, dans une savane semihumide asséchée de Kahawa, au Kenya. On a trouvé que toutes les espèces étaient omnivores, se nourrissant principalement de graines et d'arthropodes, et l'herbe consituant une part restreinte mais régulière de leur régime alimentaire. Le régime alimentaire dePraomys, assez semblable à celui deM. minutoides, était significativement différent (p<0,01) de celui deTateraet deM. triton.Les populations de rongeurs éttaient réduites, avec un taux de piégeage variant selon les espèces de 0,4 à 4,7%,Praomysconstituant 73% du total des captures. L'association des rongeurs avec un habitat particulier était évidente, à savoir quePraomysétait fortement (p<0,01) associéàPanicum maximum, etTateraavecHyparrheniaspp. etThemeda triandrarespectivement (p<0,05).PraomysetTateran'étaient pas seulement négativement associés (p<0,01), mais présentaient aussi une basse valeur de recouvrement (0,2) dans leur utilisation des microhabitats. It semblerait que les différences dans l'utilisation des micro‐habitats et les habitudes alimentaires soient des facteurs importants pour le partage des ressources. La présence d'un couvert adéquat, associéà des chutes de pluie, était un élément impo
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1995.tb00798.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
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5. |
Clustering of fertile seeds in infructescences of serotinousProteaspecies: an anti‐predation mechanism? |
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African Journal of Ecology,
Volume 33,
Issue 3,
1995,
Page 224-229
P. J. MUSTART,
R. M. COWLING,
M. G. WRIGHT,
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PDF (396KB)
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摘要:
SummaryLow seed‐set of South African Proteaceae was investigated as a granivore evasion strategy. Only a slight decrease in fertile:non‐fertile seed ratios with increasing levels of granivory was found, indicating that insects feed non‐selectively. There was also a highly significant clustering of fertile seeds on the receptacles of both bird‐ and rodent‐pollinatedProteaspecies, suggesting that clustering could be plant determined. The idea that fertile seed clustering had been selected as a granivore‐evasion strategy was investigated by testing the hypothesis that strongly serotinous species would have a greater degree of clustering than weakly serotinous species. The hypothesis was not supported because all species tested showed similar, highly significant clustering regardless of degree of serotiny. Further investigations are needed to show whether small clusters of fertile seeds scattered amongst non‐fertile seeds are protected from granivory, and thus whether low, clustered seed set has been selected for low‐cost granivore‐evasion.RésuméOn a analysé une faible production de semences chez les Proteaceae d'Afrique du Sud en tant que stratégie pour contrer les granivores. On n'a trouvé qu'une légère diminuition de la proportion de semences fertiles par rapport aux non fertiles en cas d'augmentation des taux de granivores, indiquant que ces insectes ne se nourrissent pas de façon sélective. On constatait aussi un regroupement très significatif des semences fertiles sur le réceptacle desProteasp. dont la pollinisation se fait par les oiseaux ou par les rongeurs, suggérant que cette accumulation est déterminée par la nature de la plante. On a approfondi l'idée que l'accumulation semences fertiles avait été sélectionnée comme stratégie contre les infestations de granivores en testant l'hypothèse selon laquelle les espèces hautement sérotoniques présenteraient un taux d'accumulation supérieur à celui des espèces faiblement sérotoniques. L'hypothèse n'a pas été confirmée parce que toutes les espèces testées ont donné les mêmes résultats, à savoir un taux d'accumulation élévé quelle que soit la sérotonicité. Il est nécessaire de poursivre les recherches pour savoir si des petits groupes de semences fertiles éparpillés au milieu de semences non fertiles sont protégés contre les granivores et si donc une production réduite de semences regroupées pourrait avoir
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1995.tb00799.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
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6. |
Tusklessness in African elephants: a future trend |
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African Journal of Ecology,
Volume 33,
Issue 3,
1995,
Page 230-235
H. JACHMANN,
P. S. M. BERRY,
H. IMAE,
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PDF (358KB)
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摘要:
SummaryIn the South Luangwa National Park and the adjacent Lupande Game Management Area, located in Zambia's Eastern Province, the fraction of adult tuskless female elephants increased from 10·5% in 1969 to 38·2% in 1989, apparently as a direct result of selective illegal ivory hunting. From 1989 to 1993, the fraction of adult tuskless females declined from 38·2% to 28·70%, as a result of immigration of a relatively larger fraction of tusked females from adjacent Game Management Areas. Tusklessness appears to run in families and is sex‐linked.RésuméDans le Parc National de la Luangwa Sud et dans l'Aire de Gestion de la Faune de Lupande voisine, dans la province Orientale de Zambie, la proportion de femelles éléphants sans défenses est passée de 10,5% en 1969 à 38,2%, en 1989, suite directe semble‐t‐il de la chasse sélective pour l'ivoire. De 1989 à 1993, la proportion de femelles adultes sans défenses a baissé de 38,2%à 28,7%, en raison notamment de l'arrivée d'un assez grand nombre de femelles avec défenses en provenance des zones de gestion de la faune adjacentes, mais aussi à cause d'un changement de sex‐ratio en faveur des mâles. L'absence de défences semble être un caractère famil
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1995.tb00800.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
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7. |
Offspring size variation in some southern African woodlice |
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African Journal of Ecology,
Volume 33,
Issue 3,
1995,
Page 236-241
S. R. TELFORD,
J. M. DANGERFIELD,
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PDF (399KB)
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摘要:
SummaryVariation in offspring size within and between broods, between populations and between species is quantified for six species of woodlice (Crustacea; Oniscidae) from southern Africa. The range of offspring size within a brood was large, frequently more than 50% of the total range for the population, suggesting that females partition resources unevenly between offspring and thereby 'hedge their evolutionary bets'. Significant differences in mean offspring size for broods from different females did not correlate with female size, fertility or reproductive allocation. If female condition is an important determinant of offspring size then measures other than female size or reproductive allocation may be needed to quantify it. Interpopulation differences in mean offspring size were not always significant. Statistically significant between‐species differences in mean offspring size may be less important than selection for increases in fecundity.RésuméOn a quantifié les variation de la taille de la progéniture à l'intérieur d'une même souche et entre des souches différences de six espèces cloportes (Crustacés; Oniscideae) d'Afrique du Sud. La taille d'une progéniture variait largement à l'intérieur d'une souche, souvent plus de 50% de la variation totale de la population, ce wque suggère que les resources des femelles se répartissent inégalement dans leur descendance, protégeant ainsi leurs chances d'évolution. Des différences significatives de la taille moyenne de la progéniture pour des souches issues de femelles différentes n'avaient aucune corrélation avec la taille, la fertilité ou le potentiel reproducteur de la femelle. Si la condition de la femelle est un élément important pour la taille de sa progéniture, on peut avoir besoin de mesures autres que la taille de la femelle et de son potentiel reproducteur pour la quantifier. Les différences de la taille moyenne entre les populations n'étaient pas toujours significatives. Des différences statistiquement significatives de la taille moyenne de la progéniture entre les espèces peuvent être moins importantes que la sél
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1995.tb00801.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
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8. |
Behavioural ecology of 'hand‐reared' African elephants (Loxodonta africana(Blumenbach)) in Tsavo East National Park, Kenya |
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African Journal of Ecology,
Volume 33,
Issue 3,
1995,
Page 242-256
B. L. McKNIGHT,
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PDF (829KB)
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摘要:
SummaryThe behaviour of wild African elephants and ten hand‐reared (H‐R) elephants was studied for two years. The majority of the H‐R elephant data were collected while following them on foot, while the wild elephants were observed and identified from a vehicle. The diurnal activities of eight H‐R calves (aged 12–60 months) were compared to wild calves of the same age classes. Overall, the H‐R calves fed for 82·9% of the time and rested for 7·9%. The wild calves fed for 44·5% of the time and rested for 35·5%. Similar results were found during the two dry seasons and two wet seasons. Both groups of calves fed primarily on grasses (H‐R 77·0%; wild 75·1%) during the day.During the Full Moon, data were collected on the lying‐down patterns of four H‐R elephants, aged 2–32 years, while they were in their cages. There were two lying‐down periods, 2100–2300 h and 0200–0400 h.Spatial proximity between the members of the same group of four was found to be greater than was observed between wild elephant family members. However, the nulliparous adult exhibited behaviours of adoption for the female calf (3–4 years old), giving attention and suckling at the exclusion of the other calves.The association between this group of four and the population of wild elephants showed early signs of integration. Their most frequent association was with mixed groups of elephants (male and female).Human contact was found to have a major effect on the H‐R elephant behaviour. Therefore the following recommendations were made to minimize contact with humans and encourage wild‐type social behaviours to be expressed: (i) visiting by the public to be kept to a minimum and touching by visitors forbidden; (ii) interactions between the keepers and H‐R elephants to be kept to a minimum to increase bonding between the elephants; (iii) H‐R elephants should be encouraged to join wild elephant groups.RésuméOn a étudié pendant deux ans le comportement d'éléphants africains sauvages et de dix éléphants élevés à la main (hand‐reared=H‐R). La majorité des données concernant les éléphants H‐R ont été récoltées en les suivant à pied tandis que les éléphants sauvages étaient observés et identifiés à partir d'un véhicule. On a comparé les activités diurnes de huit éléphanteaux H‐R (âges de 12 à 60 mois) avec celles d'éléphanteaux sauvages de même classe d'âge. Dans l'ensemble, les jeunes H‐R se nourrissaient pendant 82,9% du temps et se reposaient pendant 7,9%. Les jeunes sauvages se nourrissaient pendant 11,5% du temps et se reposaient 35,5%. On a trouvé des résultats comparables pendant les deux saisons sèches et les deux saisons des pluies. Les deux groupes d'éléphanteaux se nourrissaient principalement d'herbes (H‐R 77,00% sauvages 75,1%) pendant la journée.Pendant la pleine lune, on a récolté des données sur les heures où quatre éléphants, âgés de 2 à 32 ans, se couchaient pendant qu'ils étaient dans leur cage. Il y avait deux périodes, de 21 h à 23 h, et de 2 h à 4 h.La proximité physique maintenue entre les quatre membres de ca mème groupe était plus grande qu'entre des membres d'une famille d'éléphants sauvages. Cependant, l'adulte nullipare manifestait un comportement d'adoption envers l'éléphanteau femelle (de 3–4 ans) à l'exclusion de tout autre.L'association entre ce groupe de quatre et la population d'éléphants sauvages a montré des signes précoces d'intégration. Leur association la plus fréquente se faisait avec des groupes mixtes (éléphants mâles et femelle).On a constaté que les contacts avec les hommes avaient un effet trés important sur le comportement des éléphants H‐R. C'est pourquoi on donne les recommandations suivantes pour réduire au minimum les contacts avec les hommes et encourager l'expression d'un comportement social proche de celui observe en liberté; (i) réduire le plus possible les visites du public at interdire totalement les contacts physiques; (ii) maintenir à un niveau minimal les interactions des éléphants H‐R ave
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1995.tb00802.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
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9. |
Gastro‐intestinal parasites ofPapio cynocephalus ursinusliving in the central Namib desert, Namibia |
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African Journal of Ecology,
Volume 33,
Issue 3,
1995,
Page 257-265
C. C. APPLETON,
C. BRAIN,
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摘要:
SummaryThe gastro‐intestinal parasites of baboons in the Namib Desert, Namibia, were shown, using scat analysis, to be predominantly protozoans, notably amoebae, in contrast to those of baboons from South Africa, which harbour a helminth‐dominated fauna. Due to the extreme abiotic characteristics of both soil and water in the desert, these baboons harbour only parasite species which can complete their life‐cycles without prolonged exposure to the outside environment: forms transmitted either directly via the faecal‐oral or trans‐placental/mammary (vertical) routes or indirectly via arthropod intermediate hosts which are eaten.RésuméOn a montré par des analyses d'excréments que les parasites gastrointestinaux des babouins du Désert du Namib, Namibie, sont majoritairement des protozoaires, notamment des amibes, contrairement aux babouins d'Afrique du Sud qui hébergent une faune dominée par les helminthes. En raison des caractéristiques extrêmement abiotiques du sol et de l'eau dans le désert, ces babouins n'hébergent que des espèces de parasites qui peuvent completer leur cycle vital sans exposition prolongée à l'environnempent extérieur: ce sont soit des formes qui sont transmises directement par la voie excréments‐nourriture, à travers le placenta ou par le lait maternel, soit indirectement, par l'intermédiaire d'arthrop
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1995.tb00803.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
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10. |
A rapid appraisal method for approximating wildlife presence and relative abundance |
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African Journal of Ecology,
Volume 33,
Issue 3,
1995,
Page 266-270
Gordon Matzke,
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PDF (274KB)
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ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1995.tb00804.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
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