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Group composition and diet of forest elephants,Loxodonta africana cyclotisMatschie 1900, in the Lopé Reserve, Gabon |
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African Journal of Ecology,
Volume 31,
Issue 3,
1993,
Page 181-199
LEE J. T. WHITE,
CAROLINE E. G. TUTIN,
MICHEL FERNANDEZ,
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摘要:
SummaryForest elephants (Loxodonta africana cyclotisMatschie 1900) were observed opportunistically over a period of seven years between 1984 and 1991 in lowland rain forest in the Lopé Reserve, Gabon. Details of their group structure and diet are reported. Adult females were generally encountered accompanied by one or more offspring, and adult males were generally solitary. Mean group size was 2.8 individuals, and the mean size of a ‘Family Unit’ was 3.5 individuals. Associations of more than eight elephants were exceptional. Group sizes of elephants at Lopé were smaller than those recorded for savanna elephants in east Africa and those of Asian elephants living in Malaysian rain forest. The diet of elephants at Lopé was diverse, including a minimum of 307 items. The bulk of the diet, in terms of number of species and quantities eaten, came from leaves and bark (70% of all items recorded). Trees represented 73% of the species fed upon. In contrast to savanna‐living populations, fruit was an important part of the diet. Fruit of at least 72 species is eaten and the remains of at least one species of fruit was found in 82% of 311 fresh dung piles searched over a one‐year period.RésuméLes éléphants de forêt (Loxodonta africana cyclotisMatschie 1900) furent observés de façon opportuniste durant une période de sept ans entre 1984 et 1991 dans la forêt de basse altitude de la Réserve de la Lopé au Gabon. On rapporte des détails sur leur structure sociale et leur régime alimentaire. Les femelles adultes sont généralement rencontrées avec un ou plusieurs jeunes tandis que les mâles adultes sont généralement solitaires. La taille moyenne d'un groupe est de 2,8 individus et la taille moyenne d'une “Unité Familiale” est de 3,5 individus. Des associations de plus de huit éléphants sont exceptionnelles. Les tailles des groupes d‘éléphants à la Lopé sont plus petites que ceux des éléphants de savane observés en Afrique de l'est et que ceux des éléphants d'Asie vivant dans la forêt humide de Malaisie. Le régime alimentaire des éléphants à la Lopé est varié et comprend un minimum de 307 éléments. La majeure partie du régime alimentaire, en terme de nombre d'espèces et de quantité ingérée, provient de feuilles et d’écorce (70% de tous les éléments observés). Les arbres représentent 73% des espèces ingérées. Contrairement aux populations vivant en savane, les fruits représentent une portion importante du régime. Des fruits d'au moins 72 espèces sont mangés et les restes d'au moins une espèce de fruit fut t
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1993.tb00532.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1993
数据来源: WILEY
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2. |
Dynamics ofAcacia tortilislitter in the Turkwel River floodplain woodlands, Kenya |
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African Journal of Ecology,
Volume 31,
Issue 3,
1993,
Page 200-209
GUYO O. HARO,
GUFU OBA,
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摘要:
SummaryProduction ofAcacia tortilislitter in the Turkwel River floodplain woodlands of Turkana, Kenya was monitored on a weekly basis from December 1988 to October 1990. Total litter production (n= 40 trees) averaged 2.32 tha‐1y‐1, composed of leaves (29%), flowers (14%), pods (26%) and twigs (31%). Whereas production of leaf and twig litter fractions were continuous, flower and pod production occurred during distinct periods of the year.Litter component yields were related to measurable tree parameters using log‐transformed linear and multiple regression equations; superior relationships occurred when predicting the combined leaf, flower and pod production (r2= 0.75,P<0.001) than when comparing individual fractions. This paper discusses the management implications ofA. tortilislitter production in floodplain woodlands.RésuméOn a mesuré la production de litière d'Acacia tortilisdans la forêt de la plaine alluviale de la riviére Turkwel, dans le Turkana, au Kenya, à un rythme hebdomadaire, entre décembre 1988 et octobre 1990. La production totale de litière (n = 40 arbres) était en moyenne de 2,32 tmg/kgha/an, se répartissant entre feuilles (29%), fleurs (14%), gousses (26%) et brindilles (31%). Alors que la production de litière de feuilles et de brindilles est continue, celle de fleurs et de gousses n'a lieu qu'à certaines périodes de l'année.Les productions des composants de la litière sont mises en relation avec des paramètres mesurables chez les arbres, grâce à des équations de transformations logarithmiques linéaires et de régressions multiples; Ces relations sont supérieures quand on prédit la production combinée de feuilles, fleurs et gousses (r2= 0,75,P<0,001) que quand on compare les fractions séparément. Cet article discute des implications que peut avoir sur la gestion la production de litière d'A. tortilisdans
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1993.tb00533.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1993
数据来源: WILEY
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3. |
Seasonal distribution of zebra and wildebeest in Makgadikgadi Pans Game Reserve, Botswana |
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African Journal of Ecology,
Volume 31,
Issue 3,
1993,
Page 210-219
DOROTHY K. KGATHI,
MARY C. KALIKAWE,
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PDF (670KB)
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摘要:
SummaryThe movement and distribution patterns of zebra and wildebeest, with relation to the salt pans area and the Boteti river in Makgadikgadi Pans Game Reserve, were monitored over consecutive dry and wet seasons between 1989 to 1991.Two methods, the aerial survey and the road survey, were used to assess abundance. The aerial survey suggested that zebra and wildebeest concentrate along the river during the dry seasons, then at the pans in the wet seasons.Road surveys showed, that when analysed year by year, the aforesaid seasonal movements between the river and the pans may not be strictly adhered to. Providing borehole water along the river to augment water supply during drought years is recommended. Areas outside the reserve where the animals may spend the entire year should be zoned as wildlife management areas.RésuméOn a observé le schéma des déplacements et de la distribution des zébres et des gnous en relation avec l'emplacement des salines et la rivière Boteti, dans la Réserve de Faune des Salines de Makgadikgadi, au long des saisons sèches et des saisons des pluies qui se sont succédé entre 1989 et 1991.On a utilisé deux méthodes, la recherche par avion et par route pour évaluer leur nombre. La recherche aérienne suggérait que gnous et zèbres se concentrent le long de la rivière en saison sèche et aux salines en saisons des pluies. Les recherches par la route montraient que, analysés année par année, les mouvements entre la rivière et les salines doivent être plus nuancés. On recommande de creuser un puits de long de la rivière pour augmenter l'apport d'eau lors des années sèchez. II faudrait délimiter comme zones de gestion de la faune les endroits situés en dehors de la réserve où les animaux
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1993.tb00534.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1993
数据来源: WILEY
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4. |
Baobab damage in Mana Pools National Park, Zimbabwe |
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African Journal of Ecology,
Volume 31,
Issue 3,
1993,
Page 220-225
C. M. SWANEPOEL,
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摘要:
SummaryIn Mana Pools National Park, Zimbabwe, 124 baobabs near the Zambezi river were monitored for elephant damage at monthly intervals between 1984 and 1988. Overall mortality was 29.0%. Damage and mortality rates varied annually, possibly related to annual rainfall linked with elephant densities. There was no indication that mortality was higher in any particular size group of baobab. Damage was restricted to the dry season, escalating as the season progressed. Only trees smaller than 7.5 m (GWH) had the ability to coppice after being felled. Many small trees (<2.5 m GWH) were thought to have regrown after felling some time prior to the study.RésuméAu Parc National de Mana Pools, au Zimbabwe, on a surveillé sur 124 baobabs situés près du Zambèze, les dommages causés par les éléphants, chaque mois entre 1984 et 1988. La mortalité totale a été de 29,0%. Les taux de dommages et de mortalité variaient annuellement, peut‐ètre en raison des chutes de pluies, associées à la densité des éléphants. II n'y a eu aucun signe que la mortalité soit plus élevée, quelle que soit la taille du groupe de baobabs. Les dommages se limitaient à la saison sèche et augmentaient avec l'avancement de la saison. Seuls les arbres plus petits que 7,5 m (GWH) étaient à même de lancer des rejets après avoir été abattus. On pense que beaucoup de petits arbres (moins de 2,5 m GWH) avaient ainsi poussé suite à des abattage
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1993.tb00535.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1993
数据来源: WILEY
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5. |
Postural changes and behavioural thermoregulation inColobus polykomos: the effect of climate and diet |
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African Journal of Ecology,
Volume 31,
Issue 3,
1993,
Page 226-241
GEORGINA L. DASILVA,
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PDF (982KB)
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摘要:
SummaryColobine monkeys are widely reported to spend considerable portions of their daily activity budgets resting. To test the hypothesis that resting and associated postures are related to energy conservation and thermoregulation, resting behaviours inColobus polykomosare examined in relation to vegetation cover, weather conditions and diet. Seasonal differences in hunching are shown to be significantly correlated with cool, wet conditions and low energy intake, while postures associated with heat dissipation are more closely related to hot weather. These results support the hypothesis thatC. polykomosare energy limited in wet seasons, and suggest their behaviourial thermoregulation is related not just to climatic conditions, but also to energy content and availability of food.RésuméOn a rapporté largement que les colobidés passent une grande partie de leur temps à se reposer. Pour éprouver l'hypothèse selon laquelle le repos et les attitudes qui s'y associent seraient liés à la conservation de l'énergie et à la thermorégulation, on examine les comportements de repos chezColobus polykomosen relation avec le couvert végétal, les conditions atmosphériques et le régime alimentaire. On montre que les différences saisonnières de la chasse sont significativement liées à des conditions fraîches et humides et à une faible absorption d'énergie alors que les attitudes qui dépensent de la chaleur sont plus étroitement liées au temps chaud. Ces résultats supportent l'hypothèse queC. polykomosdispose d'une énergie limitée en saison des pluies et suggèrent que la thermorégulation active n'est pas liée uniquement aux conditions climatiques mais aussi au contenu énergétique et
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1993.tb00536.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1993
数据来源: WILEY
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6. |
Some costs of maintaining a perennial territory in the springbok,Antidorcas marsupialis |
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African Journal of Ecology,
Volume 31,
Issue 3,
1993,
Page 242-254
T. P. JACKSON,
J. D. SKINNER,
P. R. K. RICHARDSON,
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PDF (696KB)
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摘要:
SummaryThe territorial behaviour of male springbok was investigated over a period of 12 months along the Nossob riverbed in the southern Kalahari. Springbok males maintain perennial territories and as such are constrained into being sedentary and unable to respond to changing environmental conditions by migrating to more favourable areas with the other members of the population. During the dry seasons many territorial males have to subsist in areas with vegetation of low nutritional value and water content. Being solitary, territorial males are at a higher predation risk than the rest of the population. Furthermore, during the rains they may be limited to areas of tall vegetation cover and be even more susceptible to predation. In response to these costs only 46% of territories were maintained when veld condition was poorest, despite the potential breeding advantages of continued maintenance.RésuméPendant 12 mois, on a étudié le comportement territorial du springbok mâle, le long du lit de la rivière Nossob, dans le sud du Kalahari. Les springboks mâles gardent un territoire toute l'année et sont donc obligatoirement sédentaires et incapables de répondre aux changements de conditions climatiques en migrant vers des régions plus favorables avec les autres membres de la population. En saison sèche, beaucoup de mâles territoriaux doivent subsister dans des endroits où la végétation n'a qu'une faible valeur nutritive et un contenu en eau réduit. Solitaires, les mâles territoriaux courent, plus que le reste de la population, le risque de servir de proie. De plus, pendant les pluies, il est possible qu'ils doivent se limiter à des endtoits couverts d'une végétation haute et être des proies encore plus exposées aux risques. En réponse à ces inconvénients, seuls 46% des territoires subsistent lorsque les conditions dans le veld sont les moins bonnes, malgré les avantages potentiels que représente le maintien d'un territoire pour
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1993.tb00537.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1993
数据来源: WILEY
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7. |
The effect of the ram in synchronization of oestrus in blesbok ewes (Damaliscus dorcas phillipsi) |
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African Journal of Ecology,
Volume 31,
Issue 3,
1993,
Page 255-260
Anna L. Marais,
J. D. Skinner,
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PDF (267KB)
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ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1993.tb00538.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1993
数据来源: WILEY
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8. |
Disassociations between black rhinoceros mothers and young calves: ecologically variable or, as yet, undetected behaviour? |
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African Journal of Ecology,
Volume 31,
Issue 3,
1993,
Page 261-264
Joel Berger,
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PDF (241KB)
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ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1993.tb00539.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1993
数据来源: WILEY
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9. |
Food preference of the African giant snail (Archachatina marginata) in captivity |
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African Journal of Ecology,
Volume 31,
Issue 3,
1993,
Page 265-267
E. A. Imevbore,
S. S. Ajayi,
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PDF (171KB)
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ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1993.tb00540.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1993
数据来源: WILEY
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