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RésuméDU MOTIF DE L'ACTIVITÉ.Il faut distinguer entre un motif au sens d'une impulsion ou un désir sentis, et un motif au sens moins légitime d'une tendence à l'activité, inhérente à la structure de l'âme ou de l'organisme psychophysique. McDougall et d'autres confondent ces deux idées du motif parce qu'ils ne reconnaissent point la différence entre la structure mentale et l'activité consciente comme des événements reels dans la vie mentale. Mais si l'on atrribue une action au fonctionnement d'un instinct inné par exemple, il faut la considérer comme étant sans but, et comme l'œuvre d'un agent qui se tient en dehors de la situation, mû par l'intérêt quelconque. Or les actions volontaires ont un but et l'agent fonctionne comme membre de la situation, avec la tendance générale de l'améliorer, c'est à dire d'en réaliser la valeur potentielle.ZusammenfassungBEWEGGRUND ZU EINER TÄTIGKEIT.Ein Beweggrund im Sinne eines empfundenen Triebes oder Verlangens muss von einem Beweggrund im weniger berechtigten Sinne einer dem Bau des Geistes oder des psychophysischen Organismus innewohnenden tätigen Neigung unterschieden werden. Diese beiden Auffassungen eines Beweggrunds werden von McDougall und anderen verwechselt, weil sie den wesentlichen Unterschied zwischen geistiger Struktur und bewusstem Verfahren als wirkliche Begebenheiten im Geitesleben nicht anerkennen. Wenn man aber eine Handlung dem Funktionieren z. B. eines angeborenen Instinkts zuschreiben soll, so müssen wir das als unabsichtlich, und als die Handlung einer Wirkung betrachten, die einer Situation gegenübersteht und von einer Art Eigennutz veranlasst wird. Tatsächlich sind freiwillige Handlungen absichtlich und die wirkende Kraft ist tätig als Teil einer Situation mit dem allgemeinen Antrieb sie zu verbessern, d.h. ihren

ISSN:0007-0998    

DOI:10.1111/j.2044-8279.1938.tb03127.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1938

数据来源: WILEY

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RésuméUNE RECHERCHE SUR LE RAPPORT ENTRE LA RAPIDITÉ ET LA QUALITÉ DE L'ÉCRITURE DANS L'ÉCOLE PRIMAIRE.Dans cette étude du rapport entre la rapidité et la qualité de l'écriture dans l'école primaire les sujets étaient 172 enfants dont l'âge variait de 8 à 12 ans. Ils durent écrire aussi vite et aussi bien que possible pendant deux minutes la phrase, “Come forth bright sun, waves darkly leap.” Après un test préliminaire l'on calcula la rapidité en comptant le nombre des lettres écrites par minute dans le test même. La qualité fut mesurée par le American Handwriting Scale.Les résultats obtenus montrent qu'il y a une tendance marquée à ce que la rapidité et la qualité varient ensemble; les coefficients de corrélation à chaque âge sont positifs et significatifs, bien que ce rapport n'existe plus entre les différents groupes d'âge. La rapidité montre une augmentation significative jusqu'à l'âge de 11 ans et une légère diminution significative au niveau de 12 ans. Le plus grand écart parmi les notes de rapidité individuelles se trouve à l'âge de 11 ans.L'amélioration de la qualité est lente et accompagne l'augmentation de la rapidité jusqu'à l'âge de 10 ans, ensuite il ya une légère détérioration à 11 ans, et ce groupe ne varie que peu, quant à la qualité, du groupe de 12 ans. La plus grande variation dans la qualité se trouve à l'âge de 10 ans.ZusammenfassungEINE UNTERSUCHUNG DES VERHÄLTNISSES ZWISCHEN DER SCHNELLIGKEIT UND DER QUALITÄT DER HANDSCHRIFT IN DER ELEMENTARSCHULE.In der Untersuchung waren die Vp. 172 Kinder im Alter von 8–12. Sie mussten möglichst schnell und gut den Satz: “Come forth bright sun, waves darkly leap” zwei Minuten lang schreiben. Nach einem Vortest errechnete man die Schnelligkeit dadurch, dass man die Zahl der im eigentlichen Test pro Minute geschriebenen Buchstaben zählte. Die Qualität wurde mit der Amerikanischen Handschrift‐Skala gemessen.Die erzielten Ergebnisse wiesen auf eine klare Neigung zu gleichzeitigem Variieren normaler Schnelligkeit und Qualität: die Korrelationskoeffizienten bei jedem Altersniveau sind positiv und bedeutend, obgleich dieses Jerhältnis zwischen Altersgruppen nicht standhält. Die Schnelligkeit zeigt eine bedeutende Zunahme bis zum 11. Jahr und eine geringe, aber deutliche Abnahme beim 12‐Jahr‐Niveau. Die grösste Abweichung unter einzelnen Schnelligkeitsergebnissen kommt mit dem 11. Jahr vor.Die Zunahme in der Qualität ist langsam und begleitet die Zunahme in der Schnelligkeit bis zum 10. Jahr. Danach zeigt sich eine geringe Abnahme mit 11 Jahren. Diese Gruppe weicht in der Qualität wenig von der

ISSN:0007-0998    

DOI:10.1111/j.2044-8279.1938.tb03128.x

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年代:1938

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RésuméL'INFLUENCE DE L'EXERCICE DANS LES TESTS D'INTELLIGENCE.Quatre groupes d'étudiants d'École Normale expérimentaux, et deux de contrôle, se soumirent à deux tests d'intelligence groupés, l'un verbal, l'autre non‐verbal, à un intervalle de 4–8 semaines. Dans l'intervalle l'on donna aux groupes expérimentaux une vingtaine d'heures d'enseignement dans les principes de la psychométrie et dans le travail pratique des tests. Lorsqu'on transpasa en unités équivalentes les notes des tests, l'on trouva un gain de 14 per cent. chez les hommes et de 8 per cent. chez les femmes, ce qui correspond à la moitié au moins de l'écart étalon des notes. L'amélioration fut égale dans les deux tests, et elle a une importance statistique. Nulle amélioration ne se produisit chez les groupes de contrôle.L'on attribue ce résultat à l'exercice dans les tests obtenir par les groupes expérimentaux. Donc les standards des tests chez des adultes supérieurs dépendent probablement jusqu' à un certain point du degré d'exercice ou de familiarité avex les tests en général.Il est nécessaire de pousser plus loin l'étude de l'étendue de cet effet de transféreraient, surtout chez des groupes à d'autres niveaux d'aptitudes.ZusammenfassungVERTRAUTHEIT MIT INTELLIGENZPRUFUNGEN.Vier experimentelle und zwei Kontrollgruppen von Studenten an Lehrerbildungsanstalten unterzogen sich zwei Intelligenztests, einem Wort‐und einem Nicht‐Worttest mit Pausen von 4–8 Wochen. In der Zwischenzeit erhielten die experimentellen Gruppen etwa zwanzig Stunden Uterricht in den Grundsätzen des erzieherischen Messverfahrens und der Testpraxis. Als die Resultate der Prüfungen in gleichwertige Einheiten verwandelt wurden, entdeckte man im zweiten Test einen durchschnittlichen Gewinn von 14 v. H. bei den Männern, 8 v. H. bei den Frauen, welches mindestens einer halben Standardabweichung der Resultate entsprach. Die Besserung war in beiden Tests dieselbe, und das ist statistisch bemerkenswert. Bei den Kontrollgruppen kam keine Besserung vor.Dieses Ergebnis ist der Vertrautheit mit dem Testverfahren, die von den experimentellen Gruppen erworben ist, zuzuschreiben. Daher hängen die Testnormen bei den intelligenteren Erwachsenen wahrscheinlich einigermassen von deren Grad von Vertrautheit mit Tests im allgemeinen ab. Man muss die Ausdehnung dieser Übertragungswirkung, insbesondere bei Gruppe

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DOI:10.1111/j.2044-8279.1938.tb03129.x

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RésuméDES MÉTHODES DE CLASSER LES ÉLEVÈS DE PREMIÈRE ANNÉE DANS UNE ÉCOLE SECONDAIRE.A cause de la difficulté d'établir un seul examen d'entrée pour les élèves qui commencent leurs études secondaires, et du manque de validité des résultats de l'école primaire, comme pronostic de l'accomplissement futur dans l'école secondaire, l'on tenta dans une école l'expérience de reclasser les élèves après un examen, basé sur le travail du premier mois, et un test d'intelligence. On repartit alors les élèves dans cinq classes, A, B, C, D et E. Des examens passés en décembre et en mai de chacune des deux premières annés furent adoptés comme la mesure de l'accomplissement des garçons dans les classes A, B, C et D (E étant omise comme ayant un programme plus limité). Le calcue des coefficients de corrélation, et la comparaison des méthodes diverses de classement, donnèrent les résultats suivants: (a) Il faut se méfier en classant des élèves ayant déjà quelque expérience du travail de l'école secondaire, puisque leurs notes peuvent être trop élevées. (b) Le I.Q. tel que l'établit le “Simplex Group Intelligence Scale” de Richardson n'est pas en luimême un guide valable pour le classement des élèves. (c) Les notes des examens de la fin du premier mois montrent une corrélation assez élevée (environ 0.72) avec les examens subséquents de la première et de la seconde année. (d) Une combinaison des I.Q.'s avec les notes du premier examen (en ajoutant à celles‐ci une augmentation compensatrice) donnent une corrélation encore plus élevée (environ 0.76) avec des examens subséquents. (e) Une comparaison des bases variérs du classement indique que la note combinée donne le groupement le plus homogène dans les diverses classes. Dans cette école l'on adopté la note combinée comme la base reconnue du classement dans la première année.ZusammenfassungEINTEILUNGSMETHODEN BEI SCHÜLERN DER ERSTEN KLASSE AN EINER HÖHEREN SCHULE.Wegen Schwierigkeiten bei der Einführung einer allgemeinen Aufnahmeprüfung für Knaben, die auf eine höhere Schule wollen, und wegen der UnZuverlässigkeit der Ergebnisse in der Volksschule im Vorhersagen künftiger Leistung in einer höheren Schule, versuchte man, die Schüler nach einer Prüfung, die sich über den Unterrichtsstoff des ersten Monats erstreckte, und nach einem Intelligenztest einzuordnen. Man teilte dann die Schüler in fünf Begriffsklassen A, B, C, D und E. Die Dezember‐ und Maiprüfungen in jedem der ersten zwei Jahre der höheren Schule wurden der Masstab für die Leistungen der Knaben in A, B, C, und D genommen: ausgelassen wurde E wegen eines beschränkteren Lehrplans. Als man die Korrelationen und die verschiedenen Einteilungsmethoden verglich, ergab sich Folgendes: (a) Man soll sich bei der Beurteilung von Knaben in acht nehmen, die schon Erfahrungen im Unterricht der höheren Schule haben, da am Ende des ersten Monats ihre Zensuren zu gut sein können. (b) Der von Richardsons “Simplex” Gruppenintelligenzskala bestimmte Intelligenzquotient ist an sich kein sehr zuverlässiger Masstab bei der Einordnung der Schüler. (c) Die Septemberzensuren haben eine ziemlich hohe Korrelation (annähernd 0,72) mit späteren Prüfungen im ersten und zweiten Jahr. (d) Eine Verbindung der Intelligenzquotienten und der Zensuren in der Septemberprüfung (wobei man diesen grösseren Wert beimass als jenen) korreliert noch höher (circa 0.76) mit späteren Prüfungen. (e) Ein Vergleich der verschiedenen Grundlagen der Einteilung weist darauflün, dass die kombinierte Zensur die genaueste Gruppierung in den verschiedenen Begriffsklassen ergibt. Ma

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RésuméL'AUGMENTATION AU MAXIMUM DES FACTEURS SPÉCIFIQUES DANS L'ANALYSE DES APTITUDES.L'auteur fait remarquer que le principe de Thurstone (qui comprend celui de Spearman) de réduire au minimum le nombre des facteurs communs implique l'augmentation au maximum de la valeur des facteurs spécifiques. Ceci est illustré par des exemples numériques avec diagrammes. (L'on mentionne le fait que certaines exceptions, mathématiquement possibles, ne peuvent se présenter dans la pratique.) Par conséquent, bien que le petit nombre des facteurs communs chez Thurstone reproduise bien les corrélations, il reproduit mal les notes des tests, et porte à l'erreur dans l'orientation professionnelle, sauf dans ces cas où l'emploi est déjà inutile puisqu'une évaluation directe des tests au choix d'une profession, sans l'intermédiare des facteurs, donne le même résultat. Si l'évaluation directe est impossible, l'emploi d'un système de facteurs qui en augmente les spécifiques, ci‐inclus celui de la profession, est dangereux.L'on récuse l'analyse de la nature des facteurs spécifiques avancée par Thurstone, vu qu'elle affirme que des erreurs fortuites variables et des erreurs d'échantillonnage produisent des facteurs uniques. Les erreurs d'échantillonnage produisent un système de facteurs communs, et les erreurs fortuites variables peuvent le faire aussi. L'auteur doute également que le facteur spécifique d'un test puisse être résoler par l'analyse en facteurs communs (comme l'espère Thurstone) si l'on suit dans chaque test le principe d'augmenter au maximum la valeur des facteurs spécifiques.ZusammenfassungSTEIGERUNG DER SPEZIFISCHEN FAKTOREN AUF DEN HÖCHSTEN GRAD IN DER ANALYSE DES KÖNNENS.Der Verf. weist darauf hin, dass der Thurstone'sche Grundsatz (welcher auch den Spearmans einschliesst), die Zahl der gemeinsamen Faktoren auf das kleinste Mass zurückzuführen, die Steigerung der Grösse der spezifischen Faktoren auf den höchsten Grad einschliesst. Dies wird durch zahlenmassige Beispiele mit Diagrammen erläutert. (Es wird bemerkt, dass gewisse Ausnahmen hierzu, die in der Mathematik möglich sind, in der Praxis nicht vorkommen können.) Obgleich so die geringe Zahl der Thurstone'schen gemeinsamen Faktoren die Korrelationen gut wiedergeben, geben sie die Ergebnisse der Prüfungen schlecht wieder, und sie können falsch sein, wenn es sich um Berufswahl handelt, ausser in Situationen, wo ihre Verwendung sowieso unnötig ist, da eine unmittelbare Schätzung aus Berufstesten, ohne die Einmischung von Faktoren, dann dasselbe Resultat ergibt. Wenn die unmittelbare Schätzung unmöglich ist, so ist die Anwendung eines Faktorensystems gefährlich, das die spezifischen Faktoren vergrössert, den spezifischen Faktor des Berufs einbegriffen.Thurstones Analyse der Art spezifischer Faktoren wird angegriffen insofern sie behauptet, dass veränderliche Zufallsirrtümer und Stichprobenirrtümer zu alleingen Faktoren führen könnten. Stichprobenirrtümer führen zu einem System gemeinsamer Faktoren, und veränderliche Zufallsirrtümer können das Gleiche tun. Der Verf. zweifelt auch, ob der spezifische Faktor eines Tests in gemeinsame Faktoren analysiert werden kann (wie Thurstone hofft); wenn der Grundsatz, die Grösse der spezifischen Faktoren auf de

ISSN:0007-0998    

DOI:10.1111/j.2044-8279.1938.tb03131.x

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年代:1938

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RésuméDES TESTS DE L'APPRÉCIATION LITTÉRAIRE.L'on a appliqué à plus de 200 enfants, d'âges divers, cinq méthodes d'évaluera l'appréciation littéraire. Sous une forme rudimentaire l'aptitude à apprécier la littérature se découvre à un âge beaucoup plus bas qu'on ne le suppose généralement; elle se développe, paraît‐il, plus tôt que le pouvoir de la comprendre, et elle croît régulièrement à mesure que l'âge augmente.Une analyse des corrélations entre individus indique au moins deux facteurs fondamentaux dans les tests: le premier représente apparemment un facteur général de l'appréciation littéraire: le second, deux tendances moins importantes et opposées, à savoir, une préférence pour un style plus objectif (ou “classique”) et une préférence pour un style plus subjectif (ou “romantique”). Lorsqu'on applique le “critère de la symétrie” de Burt, l'on trouve que des facteurs semblables jouent un rôle dans d'autres formes de l'appréciation esthétique, par exemple la picturale et la musicale; bien qu'ils soient fortement influencés par l'enseignement, il semble qu'on puisse les attribuer en grande partie à des différences dans l'attitude ou le type du tempérament.Tous les tests montrent une corrélation élevée avec l'intelligence. Néanmoins, quand on élimine son influence, il reste des intercorrélations significatives. L'on peut donc en déduire que l'appréciation littéraire est, du moins en partie, une manifestation spéciale d'une aptitude à l'appréciation esthétique en général.ZusammenfassungPRÜFUNGSMETHODEN BEI WÜRDIGUNGEN DER LITERATUR.Fünf Methoden zur Prüfung der literarischen Würdigung sind bei über 200 Kindern von verschiedenem Alter angewendet worden. In primitiver Form kommt die Fähigkeit, die Literatur zu schätzen, viel früher vor, als man allgemein annimmt; sie scheint sich noch früher zu entwickeln als die Fähigkeit, sie zu verstehen; und sie nimmt mit zunehmendem Alter ständig zu. M. P. Eine Analyse der Korrelationen zwischen Einzelmenschen weist auf mindestens zwei den Tests zugrundeliegenden Faktoren hin; der erste vertritt anscheinend einen allgemeinen Faktor der literarischen Würdigung; der zweite zwei geringe und antithetische Neigungen, nämlich eine Vorliebe für einen mehr objektiven (oder “klassischen”) Stil und eine Vorliebe für einen subjektiveren (oder “romantischen”) Stil. Verwendet man Burts “Kriterium der Symmetrie,” so entdeckt man, dass wesentlich dieselben Faktoren anderen Formen der ästhetischen Würdigung innewohnen, nämlich malerische und musikalische; obgleich vom Unterricht stark beeinflussbar, scheinen sie in hohem Grade vom Temperament oder Typ abzuhängen. N. P. Sämtliche Tests weisen hohe Korrelationen mit der Intelligenz auf. Auch wenn man deren Einfluss beiseitesetzt, bleiben noch bedeutende Interkorrelationen zurück. Daraus darf man wohl schliessen, dass literarische Würdi

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RésuméUNE ÉTUDE DES COMMENCEMENTS ET DE LA SIGNIFICATION DU JEU DANS LA PREMIÈRE ENFANCE.Cet article est basé principalement sur les observations faites par l'auteur sur ses cinq enfants, avec une considération comparative des rapports d'autres observateurs. Il décrit le jeu des premiers mois, les commencements du jeu social (avant 12 mois), et la joie produite par des activités nouvelles. Une autre section traite du jeu imaginatif (de 1½ ans à 2½ ans) et l'on cite des témoignages d'un genre de jeu comportant des sensations nouvelles et des émotions et impulsions. L'on prétend que l'interprétation du jeu enfantin comme symbole des idées sous‐conscientes, ou des impulsions reprimées, est superflue, et qu'elle est souvent contradictorie aux faits. L'on démontre que le témoignage en faveur des idées, psychanalytiques et autres, que présuppose ordinairement le traitement par le jeu est insuffisant, et l'on maintient que les guérisons dans les cliniques, attribuées aux jeux adaptés exprès aux conflits de l'enfant, peuvent s'expliquer autrement.ZusammenfassungEINE UNTERSUCHUNG DER ANFÄNGE UND DER BEDEUTUNG DES SPIELES IN DER KINDHEIT.Diese Abhandlung hat zur Grundlage hauptsächlich die Beobachtungen des Verfassers über seine eigenen fünf Kinder zusammen mit einer vergleichenden Behandlung der Aufzeichnungen anderer Beobachter. Sie beschreibt das Spiel der frühesten Monate, die Anfänge des Gemeinschaftsspiels, und die Freude an neuen Tätigkeiten. Ein späterer Abschnitt befasst sich mit dem Rollenspiel (vom 1 1/2 bis zum 2 1/2 Lj.), und es werden Beweise gegeben vom Spiel mit neuen Eindrücken und mit Gemütsbewegungen und Trieben. Man führt Gründe dafür an, dass die Ausdeutung des kindlichen Spieles als Symbol der unbewussten Ideen oder unterdrückten Triebe unnötig ist und oft mit den Tatsachen nicht übereinstimmt. Man weist auf die Unzulänglichkeit der Beweise von psychoanalytischen und anderen der Spieltherapie gewöhnlich zugrundeliegenden Ideen hin, und es wird die Meinung vertreten, dass die Heilungen, die die Kliniken dem Spiel zuschreiben, das den kindlichen Konflikten besonders angep

ISSN:0007-0998    

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