ISSN:0141-0423    

DOI:10.1111/j.1467-9817.1991.tb00009.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1991

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTThe purpose of this study was to examine the effects of grade level and recall task type on children's memory for explicit, implicit and metaphorical information following reading. Forty second and 40 fifth grade subjects balanced as to gender read four prose passages and were randomly assigned to cued and free recall conditions. A MANOVA produced significant main effects for grade level and task type on each of three dependent variables; EXPLICIT, IMPLICIT and METAPHOR recall measures. As predicted, fifth graders fared better than second graders and the cued condition exceeded free recall. Of greater significance was the finding that second graders were able to engage in metaphorical reasoning when the task was appropriately structured. The results suggest that providing externally generated, structured probes can greatly enhance children's reading recall at both grade levels and can enable children to demonstrate metaphorical comprehension prior to the age at which it spontaneously appears. In addition, significantly different patterns of recalled information were found within the two task conditions, patterns that remained stable across age groups.

ISSN:0141-0423    

DOI:10.1111/j.1467-9817.1991.tb00010.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1991

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTThis paper summarises a longitudinal study which examined the relationship between the abilities of young children to read and spell phonologically. Empirical evidence of Bryant and Bradley (1980) and Cataldo and Ellis (1988) to show that children acquire the ability to use a phonological strategy for spelling before the ability to use an equivalent strategy for reading is confirmed. Implications for the teaching of reading are discussed.

ISSN:0141-0423    

DOI:10.1111/j.1467-9817.1991.tb00011.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1991

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTAn experiment is reported that explored whether training in mental imagery would improve text comprehension in 9‐year‐old children. Two groups of children were compared: good and poor comprehenders. The groups were matched on a test of vocabulary and decoding, but differed on a comprehension test. The results showed that a three‐session programme of training in imagery benefited the poor, but not the good, comprehenders, by comparison with a control group who merely answered questions about the same passages. The results are discussed in relation to possible causes of children's comprehension difficu

ISSN:0141-0423    

DOI:10.1111/j.1467-9817.1991.tb00012.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1991

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTThis study addressed age‐related changes in the ability to draw inferences, and examined the generation process of the inferences themselves. Second‐, fifth‐, and eighth‐grade children, and college undergraduates read eight stories from which two types of inferences could be drawn: those that are critical to the comprehension of a story (backward inferences), and those that are not (forward inferences). Subjects then answered questions testing whether the appropriate inferences had been drawn. Backward inferences were drawn more reliably and more rapidly than were forward inferences, at all grade levels. The results suggest that children as young as second grade are able to draw inferences from text, particularly when the coherence of the text requires such inferences, but that the ability to draw both kinds of inferences still increases with age. It is also suggested that, for all ages, backward inferences are most likely to be drawn at the time the text is encoded, while forward inferences are most likely to be drawn only when needed, at retrieval.RÉSUMÉCohérence textuelle et développement des capacités de production d'inférencesBeaucoup soutiennent que la capacitéà faire des inférences est un important déterminant de la compréhension en lecture. Quoiqu'il y ait abondance de recherches montrant que l'enfant et l'adulte sont des producteurs d'inférence prolixes, quand on s'intéresse au lieu de production des inférences, l'image est beaucoup moins Claire. La question n'est plus de savoir si les enfants et les adultespeuventfaire des inférences, mais de savoirquandon fait ces inferences. Les inférences sont‐elles encodées lors de la compréhension et, par conséquent, sont‐elles stockées en tant que partie de la représentation mnémonique du texte, ou les sujets font‐ils simplement des inférences lors de la récuperation en mémoire, quand c'est nécessaire pour certains types de réponses?Le modèle bien connu de compréhension de texte de Kintsch (Kintsch, 1974; Kintsch et Van Dijk, 1978) considère que la construction d'une base de texte cohérente nécessite souvent l'inclusion de propositions qui n'ont pas étéétablies explicitement. Ces propositions implicites représentent essentiellement des inférences arrière produites pendant I'encodage pour lier une nouvelle proposition avec une proposition déjà inclue en mémoire de travail ou en mémoire à long terme. Le modèle de Kintsch ne considère cependant pas que les inférences avant soient effectuées en cours de lecture, sans prise en considération de leur caractère plus ou moins plausible ou contraint. Toutes les inférences avant ont lieu lors du recouvrement.Un travail préliminaire de Singer et Ferreira (1983) avec des adultes a montré que l'on fait des inférences arrière lors de l'encodage, alors qu'on ne fait pas d'inférences plausibles mais avant jusqu'au moment du recouvrement. Ces résultats appuient le modèle de Kintsch, et suggèrent que le rôle que jouent les inférences dans la construction d'une base de texte cohérente est le facteur déterminant pour savoir si oui ou non elles sont effectuées pendant I'encodage actuel du texte.Alors qu'il existe des données à ce sujet concernant les adultes, peu de données se rapportent au développement. Il est possible que puisque les inférences arrière sont nécessaires à la compréhension d'un message, elles apparaissent génétiquement plus tôt que les inferences avant qui sont plus élaborées. Nous avons donc planifié cette recherche pour examiner les changements dans la réalisation des inférences avant et arrière en fonction de l'âge. Des enfants de 2°, 5° et 8° année et des ëtudiants de 1 °cycle ont lu huit histoires permettant de faire des inférences avant et arrière. Les sujets ont ensuite répondu à des questions pour évaluer ces inférences, et on a mesuré la vitesse et l'exactitude des réponses. On a trouvé que quoique les 2° année font les deux types d'inférences plus souvent qu'au hasard, les résultats aux questions d'inférence montrent bien un substantial accroissement avec l'âge. Plus important cependant est le fait que, à tous les niveaux d'âge, les inférences arrière sont effectuées avec une fidélité et une vitesse plus grandes que les inférences avant. Ceci suggère que les inférences arrière sont réalisées en cours de lecture, alors que les inférences avant ne sont pas réalisées avant le moment du test. Les résultats suggèrent que les enfants, dès la 2° année, sont capables de faire des inférences sur un texte, surtout quand la cohérence du texte nécessite ces inférences, mais que la capacitéà faire les deux types d'inférences augmente avec 1′âge. On conclue qu'il serait préférable de considérer les inférences comme relevant de deux categories: a) les inférences sans lesquelles le texte ne serait pa

ISSN:0141-0423    

DOI:10.1111/j.1467-9817.1991.tb00013.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1991

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTAn oral test of phoneme deletion and a written test of literacy (the Measure of Adult English Proficiency) were administered to both native and non‐native speakers of English. The questions addressed by this work include: is phoneme deletion sensitive to degrees of literacy within native speakers of English, is phoneme deletion (with English stimuli) sensitive to native language within non‐native, literate users of English, and, is the Measure of Adult English Proficiency sensitive to native language?Five groups of subjects, two native and three non‐native speakers of English, were compared in terms of performance on the phoneme deletion test and the written test of literacy. Results suggest that phoneme deletion is a task quite sensitive to degrees of literacy as well as to native language, while the written test of literacy is not sensitive to native language variation.RÉSUMÉSuppression du phonéme et savoir lire‐écrire chez des anglophones de naissance ou nonOn a montré que la capacitéá manipuler des segments de parole du niveau du phonéme est en corrélation avec le savoir lire‐écrire alphabétique. Des utilisateurs d'écrits alphabétiques sont capables de réussir dans des tâches de suppression du phonéme—dans lesquelles, par exemple, on demande au sujet quel est le mot qui reste quand on supprime /f/ du mot (oral) “raft” tandis que les personnes qui ne sont pas des “lecteurs‐scripteurs alphabétiques”—c'est‐à‐dire des enfants pré‐lecteurs, des adultes non‐lecteurs, et des lecteurs d'écrits non‐alphabétiques (chinois par exemple) ne réussissent pas dans cette tâche. Dans les recherches qui ont été effectuées, on a considéré essentiellement la relation entre savoir lire‐écrire et la manipulation phonémique en termes du tout ou rien: les personnes ayant un savoir lire‐écrire alphabktique peuvent y parvenir et les autres non. Le travail présenté ici tente d'étendre ces conclusions dans deux directions: considérer, d'une part, la suppression de phonéme en termes de niveaux dans le savoir lire‐écrire et, d'autre part, l'examiner en terms d'effets éventuels de la langue maternelle.Pour réaliser ceci, on a administré un test de “savoir lire‐écrire”(MAEP: Measure of Adult English Proficiency:Mesure de la Compétence en Anglais chez les Adultes) à des groupes ayant pour langue maternelle l'anglais, l'espagnol ou le chinois, et un mélange de langues occidentales utilisant ces écrits alphabétiques. On a divisé les anglophones de naissance en deux groupes, en fonction de leurs résultats au MAEP (un groupe “bons” et un groupe de “faibles”) et on a comparé ces groupes entre eux, ainsi qu'aux groupes n'ayant pas l'anglais pour langue maternelle. L'évaluation porte sur leur capacitéà réussir a diffkéentes tâches de suppression de phonéme utilisant des stimuli anglais.Les résultats suggérent que la suppression de phonéme dépend du niveau de savoir‐lire des personnes ayant l'anglais pour langue maternelle et dépend de la langue maternelle: les groupes dont l'anglais n'est pas la langue maternelle manifestent une supériorité dans le traitement de la suppression du phonéme pour les stimuli dont le son supprimé n'est pas represénté dans I'écriture du mot (par exemple, en anglais, suppression du /k/ de “mixed” ou, en français, suppression du /k/ de “texte”). De plus, le groupe parlant chinois manifeste une plus forte tendance à traiter l'anglais parlé comme des sons (plutôt que comme des formes orthographiques). En résumé, les anglophones de naissance manifestent une plus forte tendance que ceux dont l'anglais n'est pas la langue maternelle à représenter les formes verbales en termes d'écrits.On remarque également, briévement, que le savoir lire‐éc

ISSN:0141-0423    

DOI:10.1111/j.1467-9817.1991.tb00014.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1991

数据来源: WILEY

摘要:

Book reviewed in this article:GORMAN, T.P., PURVES, A.C. DEGENHART, R.E. (eds.) (1988)The IEA Study of Written Composition I: The International Tasks and Scoring Scales.International Studies in Educational Achievement, Volume 5.SCHOLES, R. (1989)Protocols of Reading.GILBERT, P. (1989)Writing, Schooling, and Deconstruction: From Voice to Text in the Classroom.GARTON, A. PRATT, c.(1989)Learning to be Literate: the development of spoken and written language.BAKER, CAROLYN D. FREEBODY, PETER (1989)Children's First School Books.KITAO, S.K. (1989)Reading, Schema Theory and Second Language Learners.

ISSN:0141-0423    

DOI:10.1111/j.1467-9817.1991.tb00015.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1991

数据来源: WILEY