|
1. |
Introduction |
|
Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie,
Volume 32,
Issue 3,
1995,
Page 247-251
Gordon Laxer,
Preview
|
PDF (474KB)
|
|
摘要:
CAPITALISM HAS ALWAYS BEEN about the destruction of community. The removal of communities of aboriginals and peasants from their land and craftsmen from their tools and their skills were crucial conditions for the development of early industrial capitalism. The triumph of capitalism required a cultural revolution, for, as E.P. Thompson has written, “there is no such thing as economic growth which is not at the same time, growth and change of a culture.”1New ideologies of possessive individualism, secularism and scientism were part of this far‐reaching cultural revolution, which accompanied and legitimated an economy that for the first time in history was conceived and justified as operating according to its own rational laws, independent of comm
ISSN:1755-6171
DOI:10.1111/j.1755-618X.1995.tb00771.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
|
2. |
Introduction |
|
Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie,
Volume 32,
Issue 3,
1995,
Page 253-258
Gordon Laxer,
Preview
|
PDF (557KB)
|
|
摘要:
LA DESTRUCTION DES COMMUNAUTÉS a toujours été un trait du capitalisme. Déposséder les communautés aborigénes et paysannes de leurs terres et les artisans de leurs outils et de leurs competences a constitué l'une des conditions préalables à l'essor du capitalisme industriel. Son triomphe a exigé une révolution culturelle, car, comme E.P. Thompson l'a noté, « tout développement économique se traduit également par une transformation culturelle1». Les idéologies nouvelles ‐ individualisme possessif, sécularisme et scientisme ‐ faisaient partie de cette révolution culturelle de grande portée qui, pour la première fois dans I'histoire, accompagnait et légitimait un systéme économique, et le justifiait comme opérant selon sa propre ratio
ISSN:1755-6171
DOI:10.1111/j.1755-618X.1995.tb00772.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
|
3. |
Public Life and Globalization as Cultural Vision* |
|
Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie,
Volume 32,
Issue 3,
1995,
Page 259-285
Luis Roniger,
Preview
|
PDF (2755KB)
|
|
摘要:
Dans cette étude, nous examinons les répercussions sociales de la mondialisation dans une perspective culturelle. Notre analyse porte sur le conflit qui existe entre le discours sur la mondialisation et les priorités locales, entre les droits de l'individu et les engagements des pouvoirs publics ainsi que sur la difficulté de trouver de nouveaux points d'ancrage de l'identité culturelle dans un contexte où les frontières territoriales entre les États s'effacent et où les idées de progres, de modernité et d'évolution se sont érodées. Ces traits accompagnent la transformation amorcée dans le cadre des relations complexes et hégémoniques qui caractérisent aujourd'hui le système mondial. Ce conflit et ces problèmes demeurent un axe fondamental du débat politique. Nous suggérons que les différentes formes de participation se traduisent de diverses façons dans le champ de l'expression politique et dans Interprétation des exigences sociales et des droits, et influent sur la vie publique à la veille du XXIesiécle.This article explores the social implications of globalization as cultural vision. Discussion bears upon the tension between the discourse of globality and local priorities, of individual rights and public commitments, and upon the problems of finding new ways for grounding identities as territorial state boundaries are weakened and the ideas of progress, modernity and evolutionary perspectives are eroded as part of a process of change initiated in the developed and hegemonic settings of the world system. It is claimed that these tensions and problems remain a crucial axis of political debate. It is suggested that different patterns of participation meld in manifold ways into recreated forms of political will and varied interpretations of social claims on and rights to affect the shaping of public life
ISSN:1755-6171
DOI:10.1111/j.1755-618X.1995.tb00773.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
|
4. |
Social Solidarity, Democracy and Global Capitalism* |
|
Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie,
Volume 32,
Issue 3,
1995,
Page 287-313
Gordon Laxer,
Preview
|
PDF (2673KB)
|
|
摘要:
Dans cette étude, nous examinons les hypothèses des partisans de la «mondialisation» et proposons des solutions totalement opposées. Dans la première partie, nous réfutons les arguments suivants au sujet de la «mondialisation»: la souveraineté nationale s'érode dans tous les pays; la part de propriété transnationale est plus importante que par le passé; la «mondialisation» constitue la conséquence inévitable du changement technologique; et la libéralisation de l'économie à l'échelle mondiale renforce la démocratic Dans la deuxième partie, nous examinons les solutions de rechange démocratiques que peuvent offrir les anciens et les nouveaux mouvements sociaux. L'utilisation de fonds d'investissement gérés par le public et engagés selon les besoins des collectivités est considérée comme une solution de rechange à l'orientation axée sur le marché mondial des entreprises transnationales.This paper critically examines the assumptions of the advocates of “globalization” and develops an alternative that is the polar opposite. The first half of the paper challenges the following assumptions about “globalization”: that national sovereignty is eroding for all countries; that the level of transnational ownership is higher now than in the past; that “globalization” has been the inevitable result of technological change; that democracy is strengthened by global economic liberalization. The second half of the paper examines the prospects for the creation of democratic alternatives to globalization in old and new social movements. Socially controlled investment funds that have “location commitment” to communities are seen as an alternative to the g
ISSN:1755-6171
DOI:10.1111/j.1755-618X.1995.tb00774.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
|
5. |
Mexico's Political Future(s) in a Globalizing World Economy* |
|
Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie,
Volume 32,
Issue 3,
1995,
Page 315-339
Gerardo Otero,
Preview
|
PDF (2544KB)
|
|
摘要:
Dans cette étude, nous cherchons à démontrer que le devenir économique et politique du Mexique est étroitement liéà l'évolution du capitalisme mondial. Nous utilisons le concept de «réseaux ascen‐dants» pour analyser les processus qui se développent à l'échelle mondiale et nationale ainsi que leurs interactions. Notre objectif est précisément de théoriser sur ces interactions à l'échelle de l'État‐nation et de décrire, en présentant plusieurs scénarios, les diverses façons dont le Mexique pourrait évoluer sur les plans économique et politique. Le Mexique s'intégrant de plus en plus au marché nord‐américain, il est capital d'étudier la façon dont cette intégration va influer sur les processus à venir et sur les forces sociales susceptibles de lui faire prendre une direction plus souhaitable.This paper proposes that the patterns of economic and political outcomes in Mexico are intimately related to global processes taking place in world capitalism. It develops a “bottom‐up linkages” approach that takes into account both global and country‐level processes and their interrelationships. The author's specific purpose is to theorize about the interaction of national and global processes on the political outcomes at the level of the nation‐state, and to generate some future scenarios representing different combinations of more or less feasible political and economic outcomes in Mexico's future. Because Mexico is becoming increasingly integrated economically into North America, it is critical to specify the ways in which such integration affects such future processes, and to identify the social forces that might
ISSN:1755-6171
DOI:10.1111/j.1755-618X.1995.tb00775.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
|
6. |
Bringing “Globalization” Down to Earth: Restructuring and Labour in Rural Communities* |
|
Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie,
Volume 32,
Issue 3,
1995,
Page 341-364
Belinda Leach,
Anthony Winson,
Preview
|
PDF (2238KB)
|
|
摘要:
Cette étude de cas sur des travailleurs licenciés dans un comté rural de l'Ontario s'inscrit dans le cadre de la controverse au sujet des effete, sur les travailleurs et la société, de la libéralisation du commerce et de la restructuration économique. En nous fondant sur l'expérience des travailleurs licenciés, la durée du chômage, la comparaison entre les anciens et les nouveaux emplois ainsi que sur la baisse des revenus, nous fournissons des données empiriques sur le genre de transformation qui s'opère dans une communauté rurale. Nous affirmons que, pour ce type de communauté du moins, les effets à long terme de la restructuration sont négatifs pour les travailleurs et la communautéà laquelle ils appartiennent, et, en particulier, pour les femmes et les travailleurs plus âgés.A case study of laid‐off workers in a rural Ontario county is placed within the polarized debate over the implications for workers and for society more broadly of trade liberalization and economic restructuring. Examining experiences of layoff, including length of time unemployed, comparisons between old and new jobs, and the degree of income loss, we present empirical data on the transformation taking place in a rural community context. We argue that, for such communities at least, the long‐term effects of restructuring are negative for workers and their communities overall, and are particularly disadvantageous for
ISSN:1755-6171
DOI:10.1111/j.1755-618X.1995.tb00776.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
|
7. |
“Government Can Do Whatever It Wants”: Moral Regulation in Ralph Klein's Alberta* |
|
Canadian Review of Sociology/Revue canadienne de sociologie,
Volume 32,
Issue 3,
1995,
Page 365-383
Claude Denis,
Preview
|
PDF (1855KB)
|
|
摘要:
Cet article offre une analyse des pratiques étatiques du gouvernement Klein en Alberta en vue de contribuer à la compréhension de la place de l'État dans le contexte actuel de mondialisation de l'économie. Le gouvernement Klein est d'abord situé au sein du projet politico‐culturel de la nouvelle droite, puis le concept de «régulation morale» est introduit comme principe d'interprétation de la pratique gouverne‐mentale. La restructuration des secteurs de la santé, de l'éducation et des services sociaux est ensuite analysée, de même que l'intérêt que porte le gouvernement Klein aux enjeux de «la loi et l'ordre» ainsi que ceux des droits de la personne. L'article prétend que, en Alberta comme ailleurs>alors même que sa pratique est profondément restructurée, l'État demeure le partenaire irremplaçable du capital.The state practices of Alberta's Klein government are analysed with respect to the issue of whether the state becomes powerless in the current wave of capitalist globalization. The Klein government is first situated within the political/cultural project of the new right, and the concept of “moral regulation” is introduced to make sense of the government's overall practice. The restructuration of education, health care and social services in the province is then analysed, along with the government's interest in law and order, and human rights issues. It is claimed that, in Alberta as elsewhere, while the state is undergoing a deep restructuring, it retains its importance as
ISSN:1755-6171
DOI:10.1111/j.1755-618X.1995.tb00777.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1995
数据来源: WILEY
|
|