ISSN:0012-1622    

DOI:10.1111/j.1469-8749.1968.tb02888.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1968

数据来源: WILEY

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SUMMARY498 serialeegsin 165 cases of cerebral palsy have been studied. Theeegin cerebral palsy is not static but shows a tendency to deterioration. While there is a positive correlation between the abnormaleegand epilepsy, the relationship between deterioration in theeegand the development of epilepsy is not statistically significant. The degree of abnormality of theeegbears little relationship either to the intelligence of the child or to the presumed degree of brain damage as judged by physical disability, though there appears to be a relationship between the intelligence of the child and resistance to fits despite an abnormal record.RÉSUMÉ498eegen série longitudinale dans 165 cas d'infirmité motrice cérébrale out étéétudié Dans l'infirmité motrice cérébrale, l'eegn'est pas stable mais tend à se détériorer. Tandis qu'il y a une correlation positive entre l'eeganormal et l'épilepsie, la relation entre la détérioration de l'eeget le développement de l'épilepsie n'est pas significative au point de vue statistique. Le degré d'anormalité de l'eega peu de rapport avec l'intelligence de l'enfant ou avec le degré présumé de dommage cérébral jugé par l'infirmité physique, mais il semble y avoir une relation entre l'intelligence de l'enfant et sa resistance aux crises malgré un enregistrement anormal.ZUSAMMENFASSUNGEs wurden 498 Elektroencephalogramme von 165 Fallen mit Cerebralparese untersucht. Daseegbei Cerebralparese ist nicht statisch, sondern neigt zur Verschlechterung. Während zwischen dem abnormeneegund der Epilepsie eine positive Korrelation besteht, ist die Beziehung zwischen Verschlechterung des Elektroencephalogramms und der Entstehung einer Epilepsie statistisch nicht signifikant. Der Grad dereeg‐Abnormität hat weder zur Intelligenz des Kindes noch zu dem nach der physischen Behinderung ermittelten Grad der Cerebralparese eine signifikante Beziehung. Es scheint aber eine Beziehung zu bestehen zwischen der Intelligenz des Kindes und seiner Resistenz gegen Anfäl

ISSN:0012-1622    

DOI:10.1111/j.1469-8749.1968.tb02889.x

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年代:1968

数据来源: WILEY

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SUMMARYThe chlordiazepoxide analogue nitrazepam was tried in 35 patients with resistant forms of minor epileptic fits. The doses used usually varied between 0.4 and 1.0 mg. per kg. body‐weight per day.Three of 10 patients with infantile spasms became free from fits, all previously treated withacthwithout any effect. Four patients improved by 50 per cent and the rest only very transiently. Excellent effects were obtained in 3 patients with akinetic seizures and in 1 boy with myoclonic fits. Three children with petit mal of the genuine type did not improve at all, while 2 girls with the myloclonic form were markedly benefited. Excellent results were noted in 5 of 15 children with psychomotor epilepsy, moderate or transient results in 5 and no favourable response in the remaining 5.The side‐effects included drowsiness, ataxia and the provocation of grand mal, the latter occurring in 6 cases. Four children developed rattling breathing with marked bronchial hypersecretion. In a further two patients copious hypersalivation was observed, one of whom also had increased lacrimation. A pronounced increase in appetite and weight was noted in 6 children.RÉSUMÉLe nitrazepam, a été essayé chez 35 enfants présentants des crises épileptiques mineures mais résistantes au traitement. Les doses utilisées ont varié de 0,4 mg à 1 mg par kilo et par jour.Trois des 10 enfants présentant des spasmes infantiles ont vu leur crise disparaitre, alors qu'un traitement antérieur par I'A.C.T.H. n'avait eu aucun effet. L'amelioration n'a été que de 50 pour cent chez 4 autres enfants et très transitoire chez les 3 derniers. D'excellents résultats ont été obtenus chez 3 enfants présentant des crises akinétiques et chez un garçon atteint de crises myocloniques. 3 autres enfants présentant une épilepsie génuine de type petit mal n'ont bénéficié d'aucune amélioration tandis que 2 filles présentant une forme myoclonique de petit mal étaient très ameliorées. Sur 15 enfants présentant une épilepsie psychomotrice, des résultats excellents furent obtenus dans 5 cas, des résultats partiels ou transitoires dans 5 autres cas et nuls dans les cas restants.Les effets secondaires se sont manifestés par de la somnolence, de l'ataxie et l'apparition de crises grand mal; cette dernière éventualité s'est produite dans 6 cas. Quatre enfants ont eu une respiration bruyante avec hypersecretion bronchique marquée. Chez deux autres, on a observé une hypersalivation copieuse, l'un d'entre eux avait aussi un accroissement de l'activité lacrimale. Une augmentation prononcée de l'a

ISSN:0012-1622    

DOI:10.1111/j.1469-8749.1968.tb02890.x

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年代:1968

数据来源: WILEY

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SUMMARYIn a selected normal series of children the occurrence of 14 and 6 per second positive spikes was studied. As the phenomenon only appeared in children from two years onwards, the material was limited to children between the ages of 2 and 16 years. 472eegswith successful sleep registrations were obtained in the same number of children. In some records, besides typical 14 and 6 per second positive spikes, we also found atypical or abortive 14 and 6 per second positive spikes. In other records again we noticed only atypical 14 and 6 per second positive spikes; these we have called ‘14–6’ and ‘14–6?’. The ‘14–6’ type was found in 35 children (7.4 per cent) and only the ‘14–6?’ type in 32 children (6.8 per cent) with a combined frequency of 14.2 per cent. The peak incidence of ‘14–6’ was found in the age‐group 12–13 years (13.9 per cent) and for ‘14–6?’ in the age‐group 10–11 years (13.1 per cent). The combined peak incidence was found in the age‐group 12–13 years where the frequency amounted to approximately 25 per cent. No statistically significant sex or age differences were verified.Among the children with the combined phenomenon, statistically significantly more individuals with the occurrence of low frequency activity in restingeecand paroxysmal activity in sleep were found compared to the remaining material. Significantly more girls than boys presented with paroxysmal activity induced by intermittent photic stimulation. The 14‐year‐old girls preponderated over girls of other ages.RÉSUMÉOn a étudié la fréquence de survenue des pointes positives, à 14 et 6 par seconde chez un échantillon d'enfants normaux. Comme le phénomène n'apparait chez l'enfant qu'ä partir de l'âge de deux ans, l'échantillon a été limité aux enfants entre deux et seize ans. 472eegavec enregistrement de sommeil réussi, ont été pratiquéç chez le même nombre d'enfants. Dans certains enregistrements, nous avons trouvé, à coté des pointes positives à 14 et 6 par seconde typiques, des pointes positives à 14 et 6 par seconde atypiques ou abortives. Dans d'autres enregistrements, nous avons noté uniquement, soit les pointes typiques, soit les pointes atypiques. Nous avons appelé respectivement ‘14–6’ et ‘14–6?’ ces deux types. Le type ‘14–6’ a été trouvé chez 35 enfants (7,4 pou cent) et le type ‘14–6?’ chez 32 enfants (6,8 pou cent) avec une fréquence combinée de 14,2 pou cent. La fréquence maxima du type ‘14–6’ a été observée dans le groupe d'âge de 12–13 ans (13,9 pou cent) et celle du type ‘14–6 ?’ dans le groupe d'âge 10–11 ans avec une fréquence de 25 per cent. On n'a mis en évidence aucune différence significative en function du sexe ou de l'âge.Parmi les enfants présentant l'un ou l'autre des deux types, un nombre plus élevé, de façon statistiquement significative, d'individus présentent une activité de basse fréquence dans l'eegde repos et des activités paroxystiques durant le sommeil, par comparaison avec le reste de l'échantillon. Les filles, plus que les garçons, montrent des activités paroxystiques induite par stimulation lumineuse intermit

ISSN:0012-1622    

DOI:10.1111/j.1469-8749.1968.tb02891.x

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年代:1968

数据来源: WILEY

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SUMMARYRotation of babies produces vestibular nystagmus during and after rotation. Testing at different ages showed that in response to a constant stimulus of two rotations in ten seconds, babies under the age of four months had post‐rotational nystagmus; by the age of seven months they did not.The testing was done on two groups of neurologically normal infants, one of which had had a course of streptomycin in the neonatal period. During the first two weeks of life, both groups had a similar duration of vestibular nystagmus. Follow‐up of the babies during their first nine months showed no difference in the vestibular response.Streptomycin in large doses may cause vestibular damage at any age. However, there was nothing to suggest that streptomycin therapy in a dose of up to 20 mg./kg./day for 4 days affected the vestibular response of babies in the neonatal period or during the first year.RÉSUMÉLa rotation des bébés produit un nystagmus vestibuiaire pendant et après la rotation. Des examens practiqués ont à différents ages montré qu'en réponse à un stimulus constant de deux rotations en dix secondes, les bébés de moins de quatre mois ont un nystagmus après la rotation; à l'àge de sept mois ils n'en ont plus.L'essai a été fait sur deux groupes de nourrissons neurologiquement normaux, dont un avail eu un traitement à la streptomycine pendant la période néonatale. Pendant les deux premières semaines de leur vie, les deux groupes ont eu un nystagmus vestibuiaire de durée identique. En suivant les bébés pendant les neuf premiers mois on n'a noté aucune différence de la réponse vestibulaire.La streptomycine à fortes doses peut provoquer des dommages vestibulaires à tout âge. Pourtant rien ne vient suggèrer que la thérapie par la streptomycine jusqu'à la dose de 20 mg./kg./jour pendant quatre jours n'ait affecté la réponse vestibuiaire des bébés pendant la période néonatale ou au cours de la premiere année.ZUSAMMENFASSUNGWährend und nach einer Rotation tritt bei Säuglingen ein vestibulärer Nystagmus auf. Zwei Rotationen in 10 sec verursachte bei Säuglingen unter 4 Monaten einen nachfolgenden Nystagmus. Unter den gleichen Bedingungen trat dieser Nystagmus im Alter von 7 Monaten nicht mehr auf.Zwei Gruppen normaler Säuglinge wurden untersucht, die eine Gruppe von Kindern hatte während der Neugeborenenperiode Streptomycin erhalten. Während der ersten zwei Lebenswochen hatten die Kinder beider Gruppen einen vestibulären Nystagmus von gleicher Dauer. Auch nachfolgende Untersuchungen der Kinder während der ersten 9 Lebensmonate ergaben keine Unterschiede im Auftreten eines vestibulären Nystagmus.Grosse Dosen von Streptomycin können in jeder Altersgruppe Vestibularisschäden verursachen. Die vorliegenden Untersuchungen ergaben aber keinen Anhalt dafür, dass eine 4 Tage dauernde Streptomycintherapie in der Neugeborenenperiode mit 20 mg/kg/Tag die vestibulären Reaktionen der Säuglinge während des ersten Lebensjahres beeinflusst.RESUMENLa rotación de lactantes produce un nistagmo vestibular durante y después de la rotación. Pruebas a edades diferentes mostraron que como respuesta a un estímulo constante de dos rotaciones en diez segundos, lactantes de menos de cuatro meses se veían afectos de un nistagmo post‐rotatorio; pero que a los siete meses dicho estímulo no los afectaba.Se administraron las pruebas a dos grupos de niños sanos del punto de vista neurológico, uno de los cuales había recibido estreptomicina cuando recién nacido. Durante las dos primeras semanas de la vida, la duración de nistagmo vestibular era parecida en ambos grupos. Pruebas suplementarias durante los nueve primeros meses de la vida no revelaron ningunas diferencias en la respuesta vestibular.La estreptomicina en dosis grandes puede causar daño vestibular a cualquier edad. Sin embargo, no había ninguna razón para creer que una terapéutica con estreptomicina en dosis de hasta 20 mg./Kg./día por 4 días a

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DOI:10.1111/j.1469-8749.1968.tb02892.x

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年代:1968

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SUMMARYThese conclusions about status at 8 months in relation to muscle tension in the newborn period seem justified by our findings: (1) marked discrepancy between upper and lower limbs in muscle tension is an unfavourable prognostic sign; (2) a discrepancy of 2 points where either the upper or the lower pair of limbs is normal may imply a worse prognosis than having both pairs of limbs rated non‐normal but in the same category, the particular 8‐month criteria for which this is true depending on whether hypertension or flaccidity is involved; (3) cases with marked discrepancies between upper and lower pair of limbs, in which the lower is hypertense, have a relatively poor prognosis on most 8‐month criteria, some differences depending on the particular criterion and the degree of discrepancy; and (4) an excessively large proportion of the cases with discrepancies in tension were in infants assigned to the special care nursery. Their medical diagnosis, however, did not adequately reflect or predict the proportion that would be suspect or abnormal at 8 months.RÉSUMÉNos observations semblent justiñer les conclusions suivantes concernant l'état des nourrissons de 8 mois en function de la tension des muscles appréciés à la période néonatale: (1) Une différence marquée de tension musculaire entre les membres superieurs et inferieurs est un signe pronostique défavorable. (2) Lorsque la tension musculaire est normale à une extrémité, qu'il s'agisse des membres supérieurs ou inférieurs, une différence de deux points sur l'autre extrémité est d'une signification pronostique plus sévère que la découverte d'une tension musculaire anormale mais égale sur les membres supérieurs et inférieurs. La signification de ce critère varie selon qu'il s'agit de raideur ou d'hypotonie. (3) Les cas dans lesquels la différence entre membres inférieurs et superieurs est nette avec forte raideur des membres inférieurs ont un pronostic dévavorable à l'âge de 8 mois en fonction de la plupart des critères utilisés. On peut relever quelques, variations selon le choix des critères et l'importance de la difference notée. (4) Une proportion anormalement élevée des cas présentants une difference de tension était le fait d'enfants confiés à des services de puericulture spécialisée. Cependant le diagnostic medical portéè leur sujet ne reflétait pas et ne prédisait pas correctement ceux d'entre eux qui à l'âge de 8 mois seraient anormaux ou tout au moins douteux.ZUSAMMENFASSUNGDie Untersuchung des Muskeltonus in der Neugeborenenperiode erlaubt nach unseren Untersuchungen folgende Aussagen über den Zustand des Kindes im Alter von 8 Monaten: (1) Eine deutliche Diskrepanz im Muskeltonus zwischen der oberen und unteren Extremität ist ungünstig. (2) Ein Tonusunterschied von zwei Punkten ist ungünstiger als eine gleich‐sinnige Tonusverschiebung aller Extremitäten sogar dann, wenn der Muskeltonus entweder in den oberen oder in den unteren Extremitäten normal ist. Einzelheiten hängen davon ab, ob es sich um eine Hyperoder um eine Hypotonie handelt. (3) Tonusunterschiede zwischen den oberen und den unteren Extremitäten sind besonders ungünstig, wenn die unteren Extremitäten hyperton sind. Einzelheiten hängen wiederum ab vom Ausmass der Tonusdis‐krepanz. (4) Eine ungewöhnlich grosse Zahl von Kindern mit Tonusdifferenzen fand sich in den Intensivpflegestationen der Neugeborenenabteilungen. Die Grundkrankheit dieser Neugeborenen erlaubte keine sicheren Rückschlüsse auf das Ausmass der Schädigung mit 8 Monaten.RESUMENEstas conclusiones sobre el estado a los ocho meses con relación a la tensión muscular en el recién nacido parecen sostenidas por nuestros hallazgos: (1) una discrepancia notable entre la tensión muscular de la extremidad superior y de la inferior es un signo pronóstico poco favorable; (2) una discrepancia de dos puntos cuando una de las extremidades es normal puede indicar un pronóstico peor que cuando las dos extremidades son anormales, pero en la misma categoría. Los criterios particulares de ocho meses para que esto es verdad dependen de si se trata de hipertensión o de flaqueza; (3) casos en que hay discrepancias notables entre la extremidad superior y la inferior, donde la extremidad inferior es hipertensa, tienen un pronóstico relativamente pobre según la mayoría de criterios de ocho meses. Hay algunas diferencias según el criterio particular y el grado de discrepancia; y (4) una proporción muy grande de casos afectos de discrepancias de tensión eran lactantes que recibían cuidado especial. Su diagnóstico medico, sin embargo, no reflejaba n

ISSN:0012-1622    

DOI:10.1111/j.1469-8749.1968.tb02893.x

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年代:1968

数据来源: WILEY

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SUMMARYAn extensive psychological study was made on 14 children after their hospitalisation for California Encephalitis Virus infection. The behavioral examination was made between 7 months and 2 years after the initial hospital admittance and on routine clinical examination the children appeared to be functioning normally. This is in sharp contrast with the picture they presented when in hospital, with high fever, seizures and severe headaches, and when some were comatose or semi‐comatose.The data from the hebavioral studies indicated that the children had severe auditory and visual perceptual problems. There seemed to be no disturbance of higher language skills. A definite personality dimension was also reported, with school failure as a severe threat.RÉSUMÉOn a effectué une etude psychologique approfondie de 14 enfants après leur hospitalisation pour encéphalite virale de Californie. L'examen du comportement a été fait entre 7 mois et 2 ans après l'admission initiale à l'hôpital et alors qu'à l'examen clinique de routine, les enfants paraissaient se comporter normalement. Ceci, en contraste net avec le tableau qu'ils présentaient durant l'hospitalisation, avec fièvre élevée, crises comitiales, maux de tête sévères et pour certains d'entre eux, état comateux ou sub‐comateux.Les résultats des investigations du comportement ont indiqué que les enfants présentaient de graves difficultés perceptives, d'audition et de vision. En revanche, il ne semblait pas y avoir de troubles dans la sphere plus élevée du langage. Une modification bien définie de la personnalité a pu aussi être rapportée, l'échec scolaire apparaissant comme une grave menace.RESUMENDespués de su hospitalización por virus de encefalitis de California, se lealizó un estudio psicológico extenso en 14 niños. La exploración de comportamiento se realizó entre 7 meses y 2 años después del ingreso inicial, y según examenes clínicos rutinarios, los niños parecían funcionar normalmente. Esto se contrastaba fuertemente con el cuadro que habían presentado durante su hospitalización, cuando estaban afectos de fiebres altas, ataques, y dolores fuertes de cabeza, y cuando algunos estaban comatosos o semicomatosos.Los datos de los estudios de comportamiento indicaban que los niños tenían problemas graves de perception visual y auditoria. No se hallaban ningunos trastornos de lenguaje. Se notaba ademàs una dimension definida de personali

ISSN:0012-1622    

DOI:10.1111/j.1469-8749.1968.tb02894.x

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年代:1968

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SUMMARYJudgements of ‘puberal maturity’ were made independently by five skilled observeis on a sample of 70 males spread evenly over the range of puberty. The major variables—pubic hair, testicular volume and axillary hair—were identified and a weighting was calculated for each. The resulting equation gives a quick and precise method for calculation of ‘puberal maturity’.0.5 (pubic hair rating) + 0.4 (testicular vol. rating) + 0.3 (axillary hair rating) + 0.5 (constant)RÉSUMÉCinq observateurs expérimentés ont donné indépendamment leur jugement sur la ‘maturite pubérale’ d'un échantillon de 70 males couvrant la période de la puberté. Les variables principales, poils du pubis, volume des testicules et poils de l'aisselle ont été identifies et on a calculé une facon d'estimer le poids de chacun. L'équation obtenue donne une méthode rapide et precise pour le cacul de la ‘maturite pubérale’:0.5 (cote pour les poils pubiens) + 0.4 (cote pour le volume des testicules) + 0.3 (cote pour les poils axillaires) + 0.5 (constante)ZUSAMMENFASSUNGUnabhängig voneinander beurteilten fünf geübte Beobachter die Geschlechtsreife von 70 Knaben in verschiedenen Stadien der Pubertät. Die Hauptvariablen, Genitalbehaarung, Hodengrösse und axilläre Behaarung wurden gemessen. Eine daraus abgeleitet Gleichung ist eine schnelle und sichere Méthode zur Beurteilung der Geschlechtsreife:0,5 × (Genitalbehaarung) + 0,4 × (Hodengrösse) + 0,3 × (axilläre Behaarung) + 0,5 × KonstanteRESUMENCinco observadores expertos hicieron independientemente valoraciones de la ‘madurez púbera’ de 70 varones en todas las fases de la pubertad. Se identificaron los variantes principales, pelo púbico, volumen testicular, pelo axilar, y se calculo un valor para cada uno. La ecuación que resulta da un método ràpido y exacto de calcular la ‘madurez púbera’:0.5 (valor pelo púbico) + 0.4 (valor

ISSN:0012-1622    

DOI:10.1111/j.1469-8749.1968.tb02895.x

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年代:1968

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SUMMARYStudies of the psychogalvanic reflex have been done at the State Neuro‐Psychiatric Sanatorium for Children at Garwolin, near Warsaw. There were 32 children from a normal school as a control group. The experimental group of children had a mean intelligence quotient of about 50. There were significant differences between quantity of response and skin resistance in oligophrenic and normal children. The closest relationship to the intelligence level was found in the responses to visual and verbal stimuli. Close connections between the skin resistance (before starting the test) and the quantity of response to respective stimuli were noticed in retardates.RÉSUMÉDes mesures du PGR ont été practiquées au Sanatorium National Neuro‐Psychiatrique pour Enfants à Garwolin, près de Varsovie. Trente‐deux enfants venus d'une école normale servaient de groupe contrôle. Le groupe expérimental avait un quotient intellectuel aux environs de 50. Des differences significatives sont apparues entre l'intensité de la réponse et la résistance de la peau chez les oligophrènes et chez les enfants normaux. La correlation la plus forte avec le niveau intellectuel a été trouvée pour les réponses aux stimuli visuels et verbaux. On a pu noter une rélation étroite éntre la resistance de la peau (mesurée avant que débute le test) et l'intensité de la réponse aux différents stimuli chez les sujets retaidés.ZUSAMMENFASSUNGDie Untersuchungen des PGR wurden in dem staatlichen Neuro‐Psychiatrischen Sanatorium für Kinder in Garwolin der Nähe von Warschau ausgeführt. Die Kontrollgruppe bestand aus 32 Kindern aus einer normalen Schule. Die Untersuchungsgruppe hatte einen IQ von etwa 50. Es wurden bedeutsame Unterschiede festgestellt zwischen der Reaktions‐Quantität und der eigentlichen Haut‐Resistenz bei oligophrenen und normalen Kindern. Das deutlichste Verhältnis zum Intelligenzgrad trat bei den Reaktionen auf visuelle und verbale Stimuli auf. Enge Verbindungen zwischen der eigentlichen Haut‐Resistenz (vor Beginn des Tests) und der quantitativen Reaktion zu den betreffenden Stimuli wurden bei den zurückgebliebenen Kindern festgestellt.RÉSUMÉSe ha examinado el reflejo psicogalvànico en el Sanatorio Neuro‐psiquiàtrico de Niños en Garwolin, cerca de Varsovia. 32 niños de una escuela de niños normales formaban un grupo de testigo. Los niños del grupo experimental tenían un coeficiente medio de inteligencia de cerca de 50. Había diferencias importantes entre la cantidad de respuesta y la resístencia debida de la piel en los niños sanos y los niños oligofrénicos. Las relaciones mas claras con el nivel de inteligencia aparecían en las respuestas a estímulos visuales y verbales. En niños atrasados se notaban asociaciones fuertes entre la resistencia debida de la piel (antes de comenzar

ISSN:0012-1622    

DOI:10.1111/j.1469-8749.1968.tb02896.x

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年代:1968

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SUMMARYIn this study the birth records of 56 hyperactive children were compared with 56 controls with respect to 23 different prenatal and paranatal complications. The only significant difference was that more hyperactive than normal children were born following an abnormally short or long labour which was further complicated by the use of forceps. There was no evidence, however, that the mothers of hyperactive children either suffered from or were more predisposed to have difficulties producing brain‐damage in their offspring than were the mothers of normal children. There is evidence that important information regarding the child's birth process is commonly withheld from the mother by her medical attendants.The hypothesis that chronic hyperactivity is frequently the result of complications of pregnancy and delivery receives little support from this study.RÉSUMÉDans cette etude ont été comparées les fiches de naissance de 56 enfants hyperactifs et celles de 56 contrôles en fonction de 23 difiérentes complications pré‐et péri‐natales. II n'a été tzouvé qu'une seule différente significative: plus d'enfants hyperactifs que d'enfants normaux étaient nés à la suite d'un travail anormalement court ou long, compliqué davantage encore par l'emploi de forceps. II n'y a aucune preuve pourtant que les meres des enfants hyperactifs aient été plus prédisposées aux difficultés produisant une lesion cerebrate chez l'enfants que les meres d'enfants normaux. Paz ailleurs il est evident que des informations importantes au sujet du processus de la naissance de leur enfant sont communément cachées aux meres par leur médecin.Cette étude n'apporte pas grand support à l'hypothèse selon iaquelle l'hyperactivité chronique est fréquemment le résultat de complications de la grossesse ou de Taccouchement.ZUSAMMENFASSUNGIn dieser Untersuchung werden die Geburtsverläufe von 56 hyperaktiven Kindern mil 56 Kontrollen hinsichtlich 23 verschiedener prä‐und paranataler Komplikationen ver‐glichen. Der einzige bedeutsame Unterschied bestand darin, daβ mehr hyperaktive als normale Kinder nach einer ungewöhnlich kurzen oder langen, durch Zangenanwendung weiterhin komplizierten Geburt geboren wurden. Es fand sich jedoch kein Hinweis dafür, daβ Mutter von hyperaktiven Kindern mehr als andere zu Erkrankungen neigen, welche Hirnschäden bei den Feten erzeugen. Die Studie ergab, daβ die Geburtshelfer häufig wichtige Informationen hinsichtlich des Geburtsvorganges der Mutter vorenthalten.Die Hypothese, daβ chronische Hyperaktivität häufig das Ergebnis von Schwanger‐schafts‐oder Entbindungskomplikationen ist, bekommt durch diese Untersuchungen eine geringe Stütze.RÉSUMÉSe compararon los registros de nacimiento de 56 niños hiperactivos con los de 56 niños de testigo con respecto a 23 complicaciones prenatales y paranatales distintas. La única diferencia significante era que mas niños hiperactivos que niños normales nacieron después de un parto anormalmente corto o largo, complicado ademàs por el empleo de fórceps. No había evidencia, sin embargo, de que las madres de niños hiperactivos o tuvieran o fueran más predispuestas a tener dificultades que producieran daño cerebral, que las madres de niños normales. Hay evidencia de que informes importantes sobre el parto se esconden muchas veces de la madre por el personal médico.La hipótesis que una hiperactividad crónica resulta frecuentemente de complicacio

ISSN:0012-1622    

DOI:10.1111/j.1469-8749.1968.tb02897.x

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年代:1968

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