摘要:

SUMMARYA census of the prison population in England and Wales suggested a prison prevalence for epilepsy of at least 7.2/1000 men. This is higher than expected. It is possible that a higher prevalence of epilepsy among prisoners is related to the known association between alcoholism and imprisonment. To check this, when an interview survey of prisoner epileptics was carried out, alcoholic symptoms and habits were also enquired about, and compared with similar data collected on a non‐epileptic control group. No significant difference between the groups was detected in respect of alcoholism, furthermore there were no significant relationships between the degree of violence used in the offence leading to imprisonment and alcoholic symptomatology, but there was a relationship between the number of previous violent convictions and both the intake of drink and having a previous drunkenness offence on the record.The findings perhaps lend support to a previous suggestion that there is disparity between the alcoholic's likelihood of being convicted of a violent offence and his dangerousness during such an offence. There is no evidence to suggest that the raised prevalence of epilepsy in English prisons is a byproduct of alcoholism.RESUMEUne enquête sur la population des prisons d'Angleterre et, du Pays de Galles a mis en évidence une prévalence de l'épilepsie d'au moins 7.2/1000. Ces valeurs sont plus élevées que celles auxquelles on pouvait s'attendre.Il est possible que cette plus haute prévalence de l'épilepsie parmi les prisonniers soit en relation avec l'association bien connue entre alcoolisme et emprisonnement. Pour contrôler cette hypothèse, lors d'une enquête chez les prisonniers épileptiques on a recueilli également des informations sur les symptômes et les habitudes en relation avec l'alcoolisme et on a comparé ces données avec celles recueillies dans un groupe de contrôle de sujets non‐épileptiques.On n'a pas observé de différences significatives entre les deux groupes en ce qui concerne l'alcoolisme; de même il n'y avait pas de relations entre la gravité de l'alcoolisme et la violence de l'acte ayant conduit à la prison. Il y avait cependant une relation entre le nombre de récidives d'actes violents et à la fois la gravité de l'alcoolisme et l'existence antérieure d'actes illégaux commis en état d'ivresse.Ces données peuvent être en faveur de l'hypothèse connue qu'il y a une disproportion entre la probabilité pour un alcoolique d'être arrêté pour des actes violents et la gravité de ces actes.Rien ne permet d'avancer que la prévalence élevée de l'épilepsie dans les prisons an

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1972.tb04386.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1972

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARYFour hundred and fifty epileptic patients were classified into seven groups on the basis of the clinical manifestation of seizures and into eight groups on the basis of the interictal electroencephalographic findings.It was found that 70% of the patients suffered solely from one major type of epilepsy. Generalized seizures were found in 55%, partial seizures in 6% and predominantly unilateral seizures in 10%. Combinations of the three major types of epilepsy were noted in 30% of patients.Abnormal EEG records were found in 341 patients (76%). Lateralized EEG disturbances appeared in 32%, generalized paroxysmal disturbances in 21% and diffuse changes in 10%. The remaining cases showed more than one type of EEG disturbance. No clear association was found between the clinical manifestation of the epileptic attacks and the type of EEG finding. Lateralized EEG changes were found in less than one third of patients suffering from partial seizures.Only 55% of patients with predominantly unilateral seizures had lateralized EEG disturbances, and only 36% of those with a clinical history of generalized seizures had a generalized paroxysmal disturbance on EEG.The difficulties encountered in classifying epileptic patients according to the type of seizure and interictal EEG abnormalities are discussed.RESUME450 épileptiques ont été classés dans 7 groupes suivant l'aspect clinique des crises et en 8 groupes en fonction des données électroencéphalographiques intercritiques.On a vu ainsi que 70,4 % de patients présentaient seulement un des types principaux d'épilepsie. Les crises généralisées ont été retrouvées dans 54,9%, les crises partielles dans 5,5% et les crises unilatérales dans 10% des cas. Chez 29,6% des patients, il y avait combinaison des trois formes majeures d'épilepsie.Les tracés EEG étaient anormaux chez 341 sujets (75,8%).II y avait des anomalies EEG latéralisées dans 32%, des anomalies paroxystiques généralisées dans 20,9%, et des anomalies diffuses dans 10% des cas. Les autres cas avaient plus d'un type d'anomalies EEG.On n'a pas trouvé de corrélations évidentes entre l'aspect clinique des crises et les données EEG.On a trouvé des anomalies EEG latéralisées chez moins d'un tiers des sujets ayant des crises partielles. Seulement 55% des sujets ayant des crises essentiellement unilatérales avaient des anomalies EEG latéralisées, et seulement 36% de ceux qui avaient une histoire clinique des crises généralisées avaient des anomalies paroxystiques généralisées sur l'EEG.On discute ces difficultés rencontrées dans la classification des épileptiques selon le type des crises et selo

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1972.tb04387.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1972

数据来源: WILEY

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1972.tb04388.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1972

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARYThe intestinal absorption of radioactive cholecalciferol was studied in patients who had been treated for years with anticonvulsant drugs and in pheno‐barbital‐treated rats. The aim of the study was to elucidate whether or not the bone changes in patients could be caused by a decreased uptake of vitamin D. The data obtained in humans and animals demonstrate that epileptic drugs do not interfere with the intestinal uptake of the vitamin. Previously reported alterations in the metabolism of cholecalciferol during anticonvulsant therapy were therefore probably due to enhanced hydroxylation of vitamin D in the liver rather than to a diminished body pool of vitamin D.RESUMEChez les malades traités pendant plusieurs années par des médicaments anti‐épileptiques et chez des rats traités par phénobarbital, on a étudié l'absorption intestinale de cholecacilférol radioactif.Ce travail avait pour but de savoir si les altérations osseuses des patients pouvaient être causées par une diminution d'absorption de la vitamine D.Les résultats observés chez l'homme et chez l'animal démontrent que les drogues anti‐épileptiques n'interfèrent pas avec l'absorption intestinale de la vitamine.Les modifications du métabolisme du cholécalciférol qui ont été rapportées dans la littérature, au cours du traitement anti‐épileptique, étaient donc probablement dues à une augmentation de l'hydroxylation de la vitamine D dans le foie plutôt qu'à une diminution de l

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1972.tb04389.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1972

数据来源: WILEY

摘要:

RESUMECe travail démontre que les troubles bioélectriques peuvent être traités comme des variables dépendantes ou indépendantes.On a observé que des changements systématiques dans la difficulté du test pouvaient modifier de façon significative l'activité bioélectrique paroxystique de l'EEG; inversement, l'activité bioélectrique était susceptible de modifier les performances.En changeant systématiquement les paramètres de chaque test, on devrait donc arriver à réaliser un ensemble de conditions dans lesquelles les troubles bioélectriques seraient minimes et les performances optimales.Les effets des troubles bioélectriques peuvent être exactement formulés en termes de théorie d'information.Les crises ← mineures → semblent réduire la capacité de l'enfant à utiliser les informations.Ainsi, pour mettre en évidence les conséquences d'une anomalie bioélectrique lorsque les manifestations comportementales sont minimes, on doit faire réaliser à l'enfant un test dont la difficulté se rapproche de ses capacités maximum. Le matériel présenté est tiré de l'étude d'un petit nombre de cas et de procédés qui sont encore, en grande partie, à l'état expérimental. Les résultats, leur interprétation et leur implication doivent en conséquence être considérés avec prudence. On souhaite cependant que le matériel donne lieu à

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1972.tb04390.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1972

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARYA computer‐based system is described for both the convenient storage and retrieval of data obtained from a large epileptic seizure patient population.Several examples of displays of data recall in three‐dimensional histograms forms are presented. With a large number of stored patient records, more varied relationships should be possible, with a correponding increase in significance.RESUMEOn décrit un systéme utilisant un computer et permettant à la fois le stockage convenable et le répérage des données obtenues à partir d'une vaste population d'épileptiques.Plusieurs exemples de représentation des données par des histogrammes tridimensionnels sont présentés.Si les dossiers stockés sont très nombreux, on doit pouvoir établir des relations entre des paramètres plus variés, et rendre ainsi les résulta

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1972.tb04391.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1972

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARYThe RNA and protein metabolism of epileptogenic tissue has been studied in rats with cobalt lesions in the motor cortex. At no stage in the development of the primary and secondary epileptic foci were changes in the rate of incorporation of (14C) orotic acid into RNA or (3H) L‐leucine into protein noted. The endogenous levels of RNA and DNA in the epileptogenic lesions were not significantly different from those in control tissue.RESUMEOn a étudié, chez des rats porteurs de lésions par cobalt dans le cortex moteur, le métabolisme du RNA et des protéïnes dans le tissu épileptogène.A aucun moment du développement des foyers primaire et secondaire, on n'a observé de modifications de la vitesse d'incorporation de l'acide (14C) orotique dans le RNA ou de la (3H) L‐leucine dans les protéines.Les taux endogènes du RNA et du DNA dans les lésions épileptogènes étaient analogues à ceux de

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1972.tb04392.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1972

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARYThe unitary activities in acute and chronic epileptic foci, their surround and their mirror foci were studied by means of extracellular recording.1) Not all neurons in the focus, particularly in the chronic one, participate in the sporadic surface paroxysmal activity. The number of participating neurons depends in part on the analeptic agent.2) The “negative” response neurons in these areas presumably are related to inhibitory mechanisms in the cortex.3) Transcallosal impulses from the focus activate mainly non‐PT‐cells and inhibit PT‐cells in the mirror focus.4) The inhibitory mechanism in the surround or in the mirror focus may prevent epileptic activity from spreading in the brain. However, an excess bombardment of impulses from the focus during the seizure may break down or “exhaust” the inhibitory mechanism so that the normal neurons respond positively and act as new epileptic foci to spread seizure activity over the brain by a chain reaction.5) The degree of recruitment of individual neurons into a seizure depends upon the intensity of the seizure activity at the focus and the susceptibility of those neurons to the bombardment of impulses from the focus.RESUMEOn a étudié par des enregistrements extra‐cellulaires les activités unitaires dans les foyers épileptiques aigus et chroniques, les régions avoisinantes et leurs foyers en miroir.1) Dans les foyers, et en particulier dans les foyers chroniques, tous les neurones ne participent pas à l'activité paroxystique sporadique de surface. Le nombre de neurones qui y participent dépend en partie du produit analeptique.2) Les neurones à réponse ← négative → dans ces régions sont vraissemblablement reliés à des mécanismes d'inhibition dans le cortex.3) Les impulsions transcallosales du foyer activent surtout les cellules non‐PT et inhibent les cellules‐PT dans le foyer en miroir.4) Le mécanisme inhibiteur dans le cortex avoisinant ou dans les foyers en miroir peut empêcher la diffusion de l'activitéépileptique dans le cerveau. Cependant, un excès de volées afférentielles provenant du foyer pendant la crise peut vaincre ou ←épuiser → le mécanisme inhibiteur de façon telle que les neurones normaux répondent positivement et se comportent comme de nouveaux foyers épileptiques qui font diffuser la décharge dans le cerveau par une réaction en chaîne.5) Le nombre de neurones participant à une crise, dépend à la fois de l'intensité de l'activité paroxystique au niveau du foyer et de l

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1972.tb04393.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1972

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARYSubpial isolation of slabs of cerebral cortex was performed in cats and rabbits under Nembutal® anaesthesia, care being taken not to interfere with the vascular supply of the isolated cortex. During the same experimental session both the isolated and the surrounding cortex were treated with topical application of strychnine and with electrical stimulation. Electrical activity was recorded with silver‐tipped electrodes placed on the cortical surface.Isolated cortex showed spontaneous activity, which did not change after undercutting surrounding cortex in spite of marked decrease in the amplitude of the record from the latter. Strychnine and electrical stimulation of the isolated cortex produced spikes and electrical after‐discharges respectively, which remained localized to the isolated slab. When similar stimulation was applied to the surrounding cortex, discharges were recorded from the isolated cortex, but the discharge was synchronous with that of the surrounding area and terminated when the latter stopped discharging. Other characteristics of the epileptiform discharge in the isolated slab further suggested that it propagated across the neural gap from the surrounding cortex by volume conduction.In five rabbits epileptogenic lesions were made by freezing a small cortical area with ethyl chloride under aseptic conditions. Forty‐eight hours later both hemispheres were exposed, ECoGs were recorded from the area of the lesion and from homotopic area of the opposite hemisphere, and these areas were then isolated. Isolated and surrounding cortex were then electrically stimulated and recording was performed in the same way as in the non‐epileptic animals.Recording from contralateral cortex homotopic to the epileptogenic lesion made 48 hours earlier showed the presence of an actively firing spike focus, which persisted after isolation of the primary epileptogenic cortex. When the cortex containing the mirror focus was isolated, firing stopped. In this instance, however, when an after‐discharge was initiated in the surrounding cortex, it propagated to the slab but was not synchronous with the originating discharge and the after‐discharge in the isolated area outlasted that from the surrounding cortex.It is concluded that propagation of epileptiform activity across a neural gap into isolated cortex probably constitutes a manifestation of volume conduction. However, if the isolated slab is previously sensitized by epileptigonic bombardment, and even when it itself no longer produces spontaneous spikes, electrical after‐discharges propagated from surrounding cortex generate an independent, self‐sustained after‐discharge in the sensitized isolated cortex. Epileptic sensitization has thus made possible the production of self‐sustained epileptiform discharge triggered by a volume‐conducted after‐discharge.RESUMEChez des chats et des lapins sous anesthésie au Nembutal, on a isolé par section sous‐piale des ilôts de cortex cérébral en prenant soin de respecter la vascularisation du cortex isolé.Pendant la même séance expérimentale, on a fait des applications locales de strychnine et des stimulations électriques à la fois au niveau du cortex isolé et au niveau du cortex avoisinant.L'activitéélectrique a été enregistrée avec des électrodes en argent placées sur le cortex.Le cortex isolé avait une activité spontanée qui n'était pas modifiée après section en dessous du cortex avoisinant, bien que l'on observât â ce niveau une nette diminution d'amplitude de l'activitéélectrique.L'application de strychnine et la stimulation électrique du cortex isolé provoquaient respectivement des pointes et des post‐décharges électriques qui restaient localisées dans le cortex isolé.Lorsque des stimulations analogues étaient appliquées sur le cortex avoisinant, on enregistrait des décharges dans le cortex isolé, mais ces décharges étaient synchrones de celles des régions avoisinantes et s'arrêtaient avec la fin des décharges dans ces régions avoisinantes.D'autres caractéristiques de la décharge épileptique dans le cortex isolé suggéraient aussi qu'il s'agissait d'une décharge du cortex avoisinant transmise par ← volume conduction →.Chez cinq lapins, on a créé aseptiquement des lésions épileptiques par congélation d'une aire corticale limitée, par l'éthylchloride.48 h après, les deux hémisphères ont été exposés et, après enregistrement de la région lésée et de la région homologue sur l'hémisphère opposé, on a isolé ces régions.La région isolée et le cortex avoisinant ont été ensuite stimulés électriquement et l'enregistrement a été fait de la même manière que chez les animaux non épileptiques.L'enregistrement du cortex homologue contro‐latéral à la lésion épileptique (pratiquée 48 h avant) mettait en évidence la présence d'un foyer de pointes très actif qui persistait après isolement du cortex épileptogène primaire. Lorsque le cortex contenant le foyer en miroir était isolé, les pointes s'arrêtaient.Dans cette éventualité, lorsque une post‐décharge commençait dans le cortex avoisinant, elle se propageait au cortex isolé mais n'était pas synchrone et y persistait plus longtemps que la décharge dans le cortex avoisinant.On conclut que la propagation de l'activitéépileptique dans le cortex isolé est probablement un phénomène de ← volume conduction →. Cependant, si le cortex isolé est d'abord sensibilisé par des volées afférentielles épileptogènes, et même quand il ne produit plus lui même de pointes spontanées après l'isolement, les post‐décharges électriques propagées du cortex avoisinant font naître une post‐décharge indépendante, auto‐entretenue, dans le cortex isolé sensibilisé.La sen

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1972.tb04394.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1972

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARYIn the cat the activity of two asymmetrical foci created by bilateral cortical application of conjugated estrogens (Premarin®) was compared with that of identical foci individually induced. The activity of each focus was greatly enhanced in the presence of the contralateral focus. This indicated that a facilitatory reciprocal interaction occurred between the two foci. Investigations of the pathways followed in this interaction by callosal split or cortical‐callosal isolation showed that in cats with both foci the procedures were followed by a marked increase or decrease in epileptic activity respectively. By contrast both procedures were without effect in cats affected with only one focus.Discussion of the results led to the conclusion that the facilitatory interaction between the two asymmetrical foci was the resultant of two opposing mechanisms, namely an inhibitory mechanism via transcallosal pathways and a predominant facilitatory mechanism using cortical‐subcortical‐cortical pathways.RESUMEOn a comparé chez le chat l'activité de 2 foyers asymétriques créés par l'application sur le cortex, des 2 côtés, d'oestrogènes conjugués (Premarin®) avec celle de foyers identiques induits individuellment. L'activité de chaque foyer était fortement augmentée en présence du foyer contro‐latéral, ce qui indiquait l'existence d'une interaction réciproque facilitatrice entre les 2 foyers. Les voies empruntées pour cette interaction ont étéétudiées par la section calleuse ou l'isolement cortico‐calleux et l'on a ainsi montré que chez, les chats porteurs de 2 foyers, ces expériences étaient suivies respectivement d'une augmentation ou d'une diminution marquée de l'activitéépileptique. Au contraire, elles étaient sans effet chez les chats porteurs d'un seul foyer.On a conclu, de ces résultats, que l'interaction facilitatrice entre les 2 foyers asymétriques était la résultante de 2 mécanisme opposés, un mécanisme inhibiteur empruntant la voie transcallosale et un mécanisme facilitateur, prédominant, utilis

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1972.tb04395.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1972

数据来源: WILEY