摘要:

SUMMARYIn chronic unanaesthetized unrestrained cats, with cobalt‐induced amygdaloid or hippocampal epileptogenic focus, the relationship between the focus and caudate nucleus activity was studied. The results obtained justify the following considerations.1 The stimulation both of the caudate nucleus and the internal capsule was shown to have an excitatory effect upon the cobalt rhinencephalic focus. The threshold stimulation capable of eliciting a hippocampal or amygdaloid seizure discharge was clearly lower for the internal capsule than for the caudate nucleus. It has been thought, therefore, that the source of the excitatory influence was the internal capsule and that, consequently, the effects of the caudate stimulation were due to a capsular fibre excitation by current spread.2 The spread to the caudate nucleus of the interictal and ictal activity of the cobalt amygdaloid or hippocampal focus, was accompanied by the appearance of high‐voltage slow caudate activity. Since this activity was provoked also by the direct caudate stimulation, it appeared likely that this is the non‐specific and monotonous bioelectric expression of the reaction of the caudate nucleus to stimuli of a certain intensity reaching it.3 The fact that, during the high‐voltage slow caudate activity, there was a clear decrease in the cobalt amygdaloid or hippocampal focus excitability, seems to indicate an inhibitory influence of the slow caudate activity on the rhinencephalic focus. In the light of these facts some speculations are put forward on the probable existence and significance of an inhibitory feed‐back system related to the caudate nucleus and controlling the cobalt rhinencephalic focus activity.RÉSUMÉChez des chats chroniques, non anesthéAsiéAs et libres, porteurs d'un foyer éApileptogene amygdalien ou hippocampique, induit par le cobalt, on a éAtudiéA la relation existant entre l'activitéA du foyer et celléA du noyau caudéA. Les réAsultats obtenus ont permis d'en tirer les considéArations suivantes:1 La stimulation du noyau caudéA et de la capsule interne a un effet activant sur le foyer rhinencéAphalique. Le seuil de stimulation capable de provoquer une déAcharge critique hippocampique ou amygdalienne est nettement plus bas pour la capsule interne que pour le noyau caudéA. On en a déAduit que l'origine de l'effet activant éAtait dans la capsule interne et que, par conséAquent, les effets de la stimulation du noyau caudéA éAtait dus áG l'excitation des fibres capsulaires par diffusion du courant.2 La diffusion au noyau caudéA de l';activitéA intercritique et critique du foyer amygdalien et hippocampique s'accompagnait de l'apparition d'une activitéA lente de grande amplitude dans le caudéA. Puisque cette activitéA etait aussi provoquéAe par la stimulation directe du caudéA, il a semble qu'elle éAtait l'expression bioelectrique non spéAcifique et monotone de la réAaction du noyau caudéA aux stimuli d'une certaine intensitéA qui l'atteignent.3 Le fait que, pendant l'activitéA lente et de grande amplitude du noyau caudéA, il y avait une diminution de l'excitabilitéA du foyer amygdalien ou hippocampique, semble indiquer que l'activitéA lente du caudéA exerce une influence inhibitrice sur le foyer rhinencephalique. A la lueur de ces faits des hypothéGses sont avancees sur l'existence probable et la signification d'un systéGme de feedback inhibiteur en relation avec le noyau caudéA et controla

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1969.tb03851.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1969

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARYIn chronic unanaesthetized and unrestrained cats with a cobalt‐induced amygdaloid or hippocampal epileptogenic focus, the effects of paleocerebellar stimulation on the cobalt focus activity and excitability were studied. The results obtained justify the following conclusions.1 The paleocerebellar stimulation produced a clear decrease of the excitability of the rhinencephalic structures, the sites of the cobalt lesion. Furthermore, this stimulation was capable of temporarily reducing the interictal activity of the epileptogenic focus and stopping the amygdaloid and hippocampal seizure discharge. This gave rise to the conclusion that the paleocerebellar stimulation produced inhibitory effects on the cobalt rhinencephalic focus.2 Control experiments were made so as to examine thoroughly the possibility that the paleocerebellar effects were due to a spreading of the stimulus from the cerebellum to the brain‐stem structures. It was concluded that the effects of the paleocerebellar stimulation had a purely cerebellar origin.3 The stimulation of the ascending reticular formation produced no effects on the excitability and activity of the cobalt amygdaloid or hippocampal focus. It was therefore thought likely that if the EEG flattening and desynchronization following the paleocerebellar stimulation could be ascribed to the excitation of the reticular formation, then this excitation was not the likely mediator of the paleocerebellar inhibitory influence on the cobalt rhinencephalic focus in the present experimental conditions.4 The results obtained appeared insufficient for postulating the inclusion of the paleocerebellum in a feed‐back system inhibiting the cobalt rhinencephalic focus.RÉSUMÉChez des chats chroniques, non anesthéAsiéAs et libres, porteurs d'un foyer épileptogèGne amygdalien ou hippocampique, induit par le cobalt, on a éAtudiéA les effets de la stimulation paléAo‐céAréAbelleuse sur l'activitéA et l'excitabilitéA de ce foyer. Les réAsultats obtenus ont permis d'en tirer les considéArations suivantes:1 La stimulation paléAo‐céAréAbelleuse diminuait nettement l'excitabilitéA des structures rhinencéAphaliques, sièGge de la léAsion. De plus, cette stimulation pouvait réAduire temporairement l'activitéA intercritique du foyer et arréCter les déAcharges critiques amygdaliennes ou hippocampiques. On a conclu que la stimulation paléAo‐céAréAbelleuse avait un effet inhibiteur sur le foyer rhinencéAphalique.2 Des centrôles ont éAtéA pratiquéAs pour savoir si les effets de la stimulation paléAo‐céAréAbelleuse ne pouvaient pas éCtre dus áG une diffusion des stimuli du cervelet aux structures du tronc céAréAbral, lis ont montréA que ces effets avaient une origine unique‐ment céAréAbelleuse.3 La stimulation de la formation réAticuléAe ascendante n'avait aucun effet sur l'excitabilitéA et l'activitéA du foyer amygdalien ou hippocampique. On a done penséA que, si l'aplatissement E.E.G. et la déAsynchronisation suivant la stimulation paléAo‐céAréAbelleuse pouvait éCtre attribuéAs à l'excitation de la formation réticulée, celle‐ci ne pouvait pas être le médiateur de l'influence inhibitrice paléo‐cérébelleuse sur le foyer rhinencéphalique dans les conditions de cette expérience.4 Les résultats obtenus sont apparus insuffisants pour permettre de postuler l'inclusi

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1969.tb03852.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1969

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARYA controlled investigation comparing a population of 50 temporal lobe epileptics with psychotic episodes with 50 randomly selected temporal lobe epileptics who had never experienced psychotic disturbances, showed that:1 temporal lobe epilepsy of the dominant hemisphere predisposes to psychotic manifestations;2 epilepsy of the non‐dominant temporal lobe is associated with manic‐depressive, of the dominant temporal lobe with schizophrenic disturbances;3 the presence of psychomotor seizures and frequent temporal fits are inversely correlated with psychosis, suggesting that such seizures and psychosis are antithetical manifestations of the same underlying disturbance of cerebral function:4 epileptic psychoses are fundamentally related to the epileptic process rather than non‐specific psychoses resulting from structural brain damage;5 in epileptic psychoses periodicity is correlated with minimal chronicity with maximal brain damage.RÉSUMÉUne étude contrôlée comparant 50 épileptiques présentant une épilepsie du lobe temporal avec épisodes psychotiques et 50 épileptiques pris au hasard présentant une épilepsie du lobe temporal mais n'ayant jamais présenté de troubles psychotiques, a montré que:1 l'épilepsie du lobe temporal de l'hémisphère dominant prédispose aux manifestations psychotiques.2 l'épilepsie du lobe temporal de l'hémisphère non dominant s'associe à des troubles maniaco‐dépressifs, celle du lobe temporal de l'hémisphère dominant à des troubles schizophréniques.3 La présence de crises psycho‐motrices et celle de crises temporales fréquentes sont en corrélation inverse avec les phénomènes psychotiques suggérant que les crises et les psychoses sont des manifestations antithésiques d'un même dysfonctionnement cérébral.4 Les psychoses épileptiques sont fondamentalement liées au processus épileptique alors que les psychoses non spécifiques résultent d'une lésion organique cérébrale.5 Les psychoses épileptiques périodiques sont en relation avec une atteinte cérébrale minime, alors que les psycho

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1969.tb03853.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1969

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARYA case was presented which demonstrated clearly a relationship between abnormal cerebral activity and impairment of higher mental functions. Routine tasks were unaffected, but the ability to perform more complex activities varied in accordance with the presence or absence of prolonged repetitive spike bursts in the EEG on a given day. Although cases of this type have been described previously as petit mal status or “spike‐wave status”, this particular patient differed from the ones reported in the literature by the very unusual nature of his EEG abnormality, which was not of the spike‐and‐wave variety, but consisted only of prolonged bursts of spike activity.RÉSUMÉLes auteurs rapportent un cas démontrant de façon évidente la relation étroite existant entre l'activité cérébrale anormale et l'atteinte des fonctions mentales. Le sujet pouvait effectuer des tâches simples, mais la réussite de performances plus complexes, variait, dans un même jour, en fonction de la présence ou de l'absence de longues bouffées de pointes répétitives sur l'E.E.G. Des cas semblables ont été décrit sous le terme “d'état de petit mal” ou “spike‐wave status”; ce cas diffère toutefois de ceux rapportes dans la littérature par la particularité des anomalies E.E.G. qui etaient représentées non par une variété de pointes‐ondes mais uniquement par une a

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1969.tb03854.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1969

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SUMMARYA rare case is described of a patient suffering from sporadic attacks of petit mal status with myoclonus lasting from several hours up to one day. The occurrence of the attacks is prevented by anti‐epileptic medication and provoked by its interruption. Its relation to similar cases described by others is discussed.RÉSUMÉUn cas exceptionnel est présenté d'un homme souffrant des attaques sporadiques de petit mal accompagné de myoclonie. Cet état se prolongea de plusieures heures jusqu'à un jour. l'occurrence des attaques peut être prévenue par des médicaments anti‐épileptiques et provoquée par leur retranchement. Comparaison est faite avec des cas pareils rapportes dans

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1969.tb03855.x

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年代:1969

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ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1969.tb03856.x

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年代:1969

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ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1969.tb03857.x

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年代:1969

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ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1969.tb03858.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1969

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