ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1944.tb00420.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1961

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARYBasing themselves on the views expressed by William Lennox in his latest book (11) and on a simultaneous electro‐encephalographic and electromyographic investigation, the authors have demonstrated the existence of a petit mal epilepsy manifested by brief amyotonic episodes and answering to the clinical and electro‐clinical description given by Ramsay‐Hunt in 1922 (16) and by W. Lennox in 1945 (12). During the amyotonia, one or two bilaterally synchronized slow waves are seen in the EEG, often preceded by the multiple peaks of myoclonia, thus forming the typical picture of a multiple‐peak myoclono‐amyotonic wave.After a few physiopathogenic and therapeutic remarks, the authors confirm the conceptions of William Lennox but emphasize the rarity of this amyotonic or myoclono‐amyotonic petit mal (they prefer these qualifications to the designations “akinetic” and “astatic” proposed by Lennox) and the fact that the majority of attacks described by these names are in fact attacks of myoclonia sufficiently violent to cause the subject to fall down.RÉSUMÉRépondant aux vœux exprimés par William Lennox dans son dernier livre (11) et grǎce à une étude électroencéphalographique et électromyographique simultanées, les auteurs sont parvenus à démontrer l'existence d'une épilepsie petit mal exprimée par de brefs épisodes amyotoniques et répondant ainsi au tableau clinique et électroclinique brossé par Ramsay‐Hunt en 1922 (16) et par W. Lennox en 1945 (12). Pendant l'amyotonie ils observent sur l'EEG une ou deux ondes lentes bisynchrones qui sont souvent précédées par le polypointe d'une myoclonie, réalisant ainsi l'image typique d'un polypointe‐onde myoclono‐amyotonique.Après quelques remarques physiopathogéniques et thérapeutiques les auteurs s'estiment heureux de reconnaǐtre le bien‐fondé des conceptions de William Lennox, tout en insistant sur la grande rareté de ce petit mal amyotonique ou myoclono‐amyotonique (ils préfèrent ces qualificatifs à ceux d'akinétique ou astatique proposés par Lennox), et sur le fait que la majorité des crises décrites sous ces noms représentent en fait des

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1944.tb00421.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1961

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARY1. Eight cases of petit mal epilepsy refractory to drugs were studied and recorded.2. Petit mal attacks were clinically observed concomitant with 3/sec spike‐and‐wave activity recorded on the electroencephalogram.3. Transient mental changes also occurred that were unrelated to surface electrical activity. These changes have been referred to as “episodes of bewilderment”.4. It appeared that during episodes of bewilderment objects could be perceived although their meaning in context could not be understood. Individual reactions to this episodic phenomenon varied with education and intelligence.5. The effect of this finding on the validity of drug trials and particularly on scholastic performance as it is affected by petit mal attacks is discussed.RÉSUMÉ1. L'auteur a étudié et enregistré huit cas de petit mal épileptique réfractaires aux médicaments.2. Des attaques de petit mal ont été observées cliniquement; elles étaient accompagnées d'une activité de pointes‐ondes de 3/sec, enregistrée par l'électroencéphalogramme.3. II s'est produit aussi des changements mentaux passagers qui ne se rapportent point à une activité électrique superficielle. Ces changements ont été considérés comme des “épisodes d'égarement”.4. II a été constaté que, durant ces épisodes d'égarement, le malade pouvait percevoir des objets, mais lors de l'appréciation de leur corrélation son opinion n'était pas compréhensible. Les réactions individuelles à ce phénomène épisodique variaient selon l'éducation et l'intelligence du sujet.5. Discussion du résultat de cette découverte sur la validité de l'essai d'un médicament et particuli

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1944.tb00422.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1961

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARYParoxysmal EEG response to photic stimulation was found in 25.8% of 120 children, mainly at school age, although less than 6% presented deviations from normality in the EEG before visual stimulation had been performed. It is warned against precipitated diagnostic conclusions from such responses in children before the age of 15. The results support the view that paroxysmal response on visual stimulation is largely dependent on constitutional factors and factors in relation to brain immaturity causing biological lability.RÉSUMÉOn a constaté une réaction E.E.G. paroxysmique à la stimulation lumineuse dans une proportion de 25.8% sur 120 enfants observés, la plupart en ǎge d'école, bien que moins que 6% de ces enfants présentaient des déviations de la normalité dans l'E.E.G. avant que la stimulation lumineuse ait été pratiquée. On doit se garder de tirer, à la lumiére de ces réactions, des conclusions diagnostiques précipitées pour les enfants avant l'ǎge de 15 ans. Les résultats confirment l'idée que la réaction paroxysmique à la stimulation lumineuse dépend en grande partie de facteurs constitutionnels et de facteurs en rapport avec l'immaturité du cerveau causant

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1944.tb00423.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1961

数据来源: WILEY

摘要:

RÉSUMÉPlusieurs études ont démontré que la myanésine possède une action dépressive centrale, s'opposant aussi à l'effet convulsif du métrazol.Les auteurs ont comparé chez 55 épileptiques l'effet clinique et électroencéphalographique de l'injection i. v. lente de métrazol (effectué selon la technique de Jasper et de Courtois) et l'effet du měme procédé d'activation après prémédication avec myanésine. Ils sont arrivés à ces conclusions:1. La quantité de métrazol nécessaire pour provoquer l'apparition ou l'activation des rythmes épileptiques sur le tracé après myanésine n'est pas modifiée pratiquement.2. Au contraire augmente d'une façon extrěmement nette la dose de métrazol nécessaire pour provoquer la crise.3. Il en résulte que la période d'activation précritique du tracé est beaucoup plus prolongée.4. Dans plusieurs cas, měme avec des doses très élevées de métrazol on n'a pu obtenir une crise de grand mal; dans plusieurs cas avec des crises psychomotrices ou jacksoniennes, chez lesquels le métrazol avait provoqué une crise à évolution vers le grand mal très rapide, on a pu reproduire seulement la crise partielle.Ces résultats démontrent que la myanésine empěche la diffusion et la propagation de l'activité convulsive par son action dépressive sur la transmission des influx nerveux à travers les systèmes polysynaptiques, et suggèrent une méthode très utile pour obtenir une phase prolongée d'activation précritique dans les tracés électroencéphalographiques et électrocorticographiques sans provoquer une crise convulsive généralisée brutale.SUMMARYSeveral investigations have shown that myanesine has a depressant effect on the CNS, counteracting the convulsive effect of metrazole.The effect of metrazole was studied from a clinical and EEG point of view in 55 epileptics submitted to an injection of myanesine a few minutes before activation. The results obtained by the two methods were compared, and the following conclusions were formed.1. The quantity of metrazole required to provoke the occurrence or activation of epileptic rhythms in the EEG following myanesine is hardly changed.2. The dose of metrazole required to provoke a seizure, however, is considerably increased.3. The period of pre‐ictal activation of the EEG is consequently considerably prolonged.4. In several cases it was impossible to provoke a grand mal attack even with very large doses of metrazole; in several cases of psychomotor or Jacksonian attacks in which metrazole used to provoke rapid development towards grand mal, only the partial attack could be reproduced.These results show that myanesine impedes the diffusion and propagation of convulsive activity by its depressant effect on the transmission of nerve impulses via the polysynaptic systems, and they indicate a very useful method of obtaining a prolonged phase of pre‐

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1944.tb00424.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1961

数据来源: WILEY

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1944.tb00425.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1961

数据来源: WILEY

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1944.tb00426.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1961

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARY AND CONCLUSIONSACTH and adrenocortical hormones have an unquestionable, and usually favorable, effect on the epilepsies of patients having not reached their full maturity. At the doses of 40–80 units, ACTH appears to be particularly effective in petit mal epilepsy and, to a lesser degree, in other types of epilepsy. Although our experience is more limited in that respect and posology complicates the comparison, corticosteroids appear to give also satisfactory results. Electro‐clinical, anti‐epileptic and behavioral changes incident to hormonal therapy have been outlined. Although none of these drugs can be proposed as the ideal treatment of chronic froms of infantile epilepsy, they, especially ACTH, may be resorted to either in resistant cases, as a precursor to an otherwise ineffective routine treatment, or in cases of petit mal status, where sufficiently high doses are indicated. The findings reported here should inspire new approaches to the problem of centrencephalic epilepsy and indirectly lead to better understanding of its physiopathology.RÉSUMÉ ET CONCLUSIONSL'A.C.T.H. et les hormones adrénocorticals ont un effet indiscutable, et généralement favorable, sur les épilepsies de malades n'ayant pas atteint leur pleine maturité. En doses de 40–80 unités, l'A.C.T.H. se montre particuliérement efficace dans le petit mal et, à un moindre degré, dans d'autres types d'épilepsie. Bien que notre expérience soit plus restreinte à cet endroit et que la posologie complique la comparaison, les corti‐costéroldes peuvent, eux aussi, donner des résultats satisfaisants. Des changements électro‐cliniques, anti‐épileptiques et du comportement survenant au cours d'une thérapie hormonale ont été constatés. Bien qu'aucun de ces médicaments ne puisse ětre présenté comme le traitement idéal de formes chroniques d'épilepsie infantile, ils peuvent, et l'A.C.T.H. tout particuliérement, ětre secourables soit dans des cas résistants en tant que précurseurs de traitement de routine autrement inefficace, soit encore en des cas d'état de petit mal dans lesquels sont indiquées des doses assez élevées. Les constatations rapportées dans cet article incitent à considérer de plus près le problème de l'epilepsie centroencéphalique pour obtenir indirecte

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1944.tb00427.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1961

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARY AND CONCLUSIONSEach of our subjects responded to deltacortisone and dexamethasone treatment in his own way and no criterion could be isolated by which therapeutic results could be predicted.Nevertheless, there seemed to be a definite correlation between the transient clinical improvement obtained during the first month of treatment and the better organisation of basic rhythms seen on the EEG records.The decrease in the effectiveness of steroid therapy, during the second month of its administration, and the clinical and electrical rebound seen in many of our patients during the weeks following treatment, would favor a discontinuous therapeutic schedule.Finally, our results do not support the classically‐accepted contra‐indication of cortisteroids in cases as ours and show that indicated steroid treatment of intercurrent diseases should not be avoided on account of epilepsy, at least for hospitalized patients. Cortisone treatment, effective in certain cases, should however be restricted to severe cases that are resistant to usual anti‐epileptic medication, at least at this stage of our knowledge.RÉSUMÉ ET CONCLUSIONSNous n'avons point constaté de différences biologiques lors de l'emploi de la dexa‐méthasone ou celui de la deltacortisone. Notre matériel n'autorise point à établir une corrélation entre les découvertes biologiques et les phénomènes cliniques ou électriques. Chacun de nos malades a répondu de sa propre façon au traitement par la deltacortisone ou à celui par la dexaméthasone et l'on n'a pu isoler aucun critère sur la base duquel des résultats thérapeutiques auraient pu ětre prédits.Toutefois il semble y avoir une corrélation définie entre l'amélioration passagère obtenue durant le premier mois de traitement et celle du rythme de base remarqué dans les enregistrements de l'E.E.G.La diminution de l'efficacité de la thérapie stéroide au cours du second mois de son administration et le rebondissement clinique et électrique observé chez beaucoup de nos malades pendant les semaines qui ont suivi le traitement, pourraient témoigner en faveur d'une réglementation thérapeutique discontinue.Enfin, nos résultats ne permettent pas la contre‐indication classiquement admise des corticostéroïdes dans des cas comme les nǒtres et montrent que le traitement stéroïde indiqué lors de maladies intercurrentes ne saurait ětre évité pour cause d'épilepsie, du moins chez des malades hospitalisés. Le traitement par la cortisone, efficace en certains cas, devra toutefois ětre réservé à des cas graves résistant à la médication antiépileptique habituelle, du moins dans le stade actuel de nos connaissances.SUMMARY1. Correlations between the electro‐clinical evolution of 43 patients suffering from centrencephalic epilepsy

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1944.tb00428.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1961

数据来源: WILEY

摘要:

SUMMARY1. Correlations between the electro‐clinical evolution of 43 patients suffering from centrencephalic epilepsy and their daily urinary electrolyte excretions have been presented.2. The various phases of the disease showed a statistically evident relationship to water and sodium excretions, their retention coinciding with exacerbation and their increased excretion with improvement.3. In a great number of cases, clinical evolution appeared also influenced in one way or another, by variations in potassium, and to a lesser degree, in calcium output.4. Sodium and water retention apparently take place chiefly at an intracellular level, thereby resulting in sodium overload and relative depolarization of nerve cells, capable of giving rise, in centrencephalic epileptics, to spontaneous electro‐clinical discharges.5. Such important variations in electrolyte exchanges could result from disturbances in energetic cellular metabolism or from dysfunctions of diencephalic centers concerned with their adequate distribution throughout the body.6. Anti‐convulsivant drugs and ACTH — when effective — seem to favor a more harmonious distribution or electrolytes across the cellular membrane and tend in some way to correct the ionic intra and extra‐cellular disturbances inherent to centrencephalic epilepsy.RÉSUMÉ1. Entre le comportement électro‐clinique et les mouvements électrolytiques de l'épileptique centrencéphalique petit mal (ou grand mal en dehors de l'accès convulsivant) semblent exister des relations constantes mises en évidence à l'échelon terminal par la détermination quotidienne des électrolytes urinaires.2. Ces relations sont surtout évidentes pour le sodium; une diminution de l'excrétion sodique urinaire va habituellement de pair avec une aggravation électro‐clinique; l'augmentation des sorties sodiques correspond le plus souvent à une phase d'amélio‐ration.3. Dans un grand nombre de cas, les effets électro‐cliniques correspondant aux mouvements sodiques paraissent dans une certaine mesure, ětre modulés, nuancés, renforcés ou au contraire diminués par le comportement potassique et calcique.4. Les “rétentions hydro‐sodiques” des périodes d'aggravation semblent avoir une physiologie beaucoup plus intra‐cellulaire qu'extra‐cellulaire; elles donnent lieu à des dépolarisations relatives, liées probablement à une surcharge sodique de la cellule nerveuse et susceptibles de favoriser, chez l'épileptique centrencéphalique, l'apparition de décharges électro‐cliniques spontanées.5. Chez ces épileptiques les mouvements électrolytiques urinaires correspondant aux périodes d'amélioration et d'aggravation électro‐cliniques sont supposées ětre l'expression finale de perturbations du métabolisme énergétique cellulaire ou d'un dérèglement des centres diencéphalo‐hypophysaires connus pour contrǒler les mouvements hydro‐électrolytiques de l'organisme tout entier.6. Les anti‐convulsivants et l'ACTH semblent favoriser une répartition plus harmonieuse des électrolytes normalement présents de part et d'a

ISSN:0013-9580    

DOI:10.1111/j.1528-1157.1944.tb00429.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1961

数据来源: WILEY