摘要:

RÉSUMÉEn dépit de l'importance que l'île du Cap‐Breton et sa forteresse, Louisbourg, pouvaient représenter vis‐à‐vis des intérêts stratégiques et commerciaux de la France en Amérique du Nord; en dépit également des ressources assez substantielles en bois, en charbon et en terre arable que l'île pouvait offrir; en dépit enfin d'une déficience locale marquée et persistante dans le marché des aliments et du bois, déficience qui a souvent mis la colonie, et plus particulièrement Louisbourg, en péril, le demi‐siècle d'occupation française, qui s'est terminé en 1758, n'a affecté que faiblement le paysage géographique de l'île. Cet article tente un explication de ce phénomène.L'auteur souligne d'abord Pabsence d'immigration substantiate. De France, de la vallée du St‐Laurent ou d'Acadie, très peu de colons furent attirés vers l‘île. On fit même un effort, mais sans grand succès, pour y intéresser certains membres du groupe des “protestants étrangers” qui allérent éventuellement se fixer à Lunenburg.L'agriculture demeura en souffrance principalement à cause de la concurrence que lui faisait la pêche, mais aussi parce que les bonnes terres étaient situées à l'ouest du Lac Brasd'Or, done à distance des anses et havres de pêche des côtes est et sud, qui étaient mieux connues. Il faut également souligner l'importance exagérée accordée aux tentatives de production de blé et de pois, au détriment de possibilités de culture et d'élevage beaucoup plus prometteuses.Par sa situation, l'île du Cap‐Breton était toute désignée pour faire fonction d'entrepôt commercial de première importance. La France n'a pas su tirer plein parti de cette avantageuse position et, contrairement à la Grande‐Bretagne, elle n'a pas réussi à asseoir cette activité commerciale sur la base d'une économie variée.L'auteur met l'accent sur l'importance du rôle qu'ont joué les marchands de la Nouvelle‐Angleterre et y voit la raison principale de la faiblesse économique de l'île du Cap‐Breton. Ce furent eux surtout qui assurèrent les approvisionnements de l'île et de sa forteresse; ils y apportaient des merchandises recueillies en Acadie, en Nouvelle‐Angleterre et dans certaines des colonies britanniques du sud et en rapportaient des denrées provenant de France ou des Antilles françaises. En ravitaillant ainsi à bon compte la forteresse et la population de l'île, les marchands de Nouvell

ISSN:0008-3658    

DOI:10.1111/j.1541-0064.1965.tb01328.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1965

数据来源: WILEY

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RÉSUMÉVu que la formule empirique de Thornthwaite pour évaluer l'évapotranspiration potentielle se manipule bien, elle semble avoir une base théorique latente. Ce concept se rapporte à un état d'équilibre dans le mouvement vertical de vapeur d'eau atmosphérique et, ainsi, le transport par mètre de hauteur est invariable dans les couches inférieures. Puisque les mouvements de chaleur sensible et de vapeur d'eau sont analogues, on se sert de la moyenne mensuelle de l'instabilité due à, ou plutôt coincidant avec divers gradients thermiques pour obtenir une mesure de l'évapotranspiration potentielle. On obtient ainsi un indice des gradients thermiques par l'équation de la température moyenne et des conditions aux niveaux inférieurs d'une part et, d'autre part, par celle des variations de température et des conditions existantes aux niveaux supérieurs. La moyenne reflète les conditions locales, done les fluctuations près du sol plutôt que les températures réelles; les sources des courants d'air influent beaucoup sur celles‐ci et elles reflètent done les conditions dans les couches supérieures. Comme les variations de température sous abri ont une forte corrélation négative avec les températures moyennes, on peut utiliser une fonction de celles‐ci.L'auteur démontre que ce raisonnement est en accord avec les formules quantitatives de Thornthwaite et qu'on peut ainsi donner

ISSN:0008-3658    

DOI:10.1111/j.1541-0064.1965.tb01329.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1965

数据来源: WILEY

摘要:

RÉSUMÉEntre 1940 et 1961, 1'Union SoViCtique Ctait divide entrek grandes rigions tconomiques de Gosplan D (planification du Comitt d'Ctat). Cette division na&re eu dimportance par rapport a la planification, parce que toute I'kconomie soviktique etait centralide autour des dtpartements ministkriels. Dans ces conditions, aucune planification temtoriale n'ttait possible et cet encadrement Cconomique servait surtout B des fins statistiques et B des fins de comptabi li ti5.En avril 1961, le gouvernement a dkcrktt une nouvelle structure de dix‐sept grandes rtgions hnomiques (on la porta B dix‐huit en 1963). Le rapport entre la plus petite et la plus grande rtgion Cconomique quant B la superficie et B la population a considkrablement diminu6. Le nombre de divisions 5 l'extkneur de la fCdCration ruse a augment6 beaucoup plus qu'i I'inttrieur de la Russie, ce qui signifie une concession pour les autres nationalit. Ces nouvelles aires comprennent plusieurs rCgions konomico‐administratives (le plus souvent de deux B quatre) qui constituent le niveau intermidiaire de la rCgionalisation Cconomique soviCtique. L'attribution aux grandes rigions konomiques d'organismes spkiaux, composks de plusieurs membres, en vue d'une planification B long terme, constitue le changement le plus important apportC par la rkforme de 1961. Cependant, jusqu'i maintenant, ces organismes n'ont pas jou6 le r6le qu'on attendait d'eux. Comme rbultat de la politique erratique et inconsistante de Krushchev, de fortes tendances vers un retour B la centralisation apparurent en 1963. Cetb politique fut la cause du manque d'efficacitk du travail des organismes de planification dam les grandes rCgions konomiques.L'auteur insiste cependant sur le fait que cette nouvelle tendance vers une planification territoriale ne peut pas itre un retour vers une centralisation stal

ISSN:0008-3658    

DOI:10.1111/j.1541-0064.1965.tb01330.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1965

数据来源: WILEY

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RÉSUMÉA partir de plans préparés par de petites entreprises privées vers la fin du dix‐neuvième siècle, certains organismes des gouvernements fédéral et provincial jouèrent un rôle actif de plus en plus important dans l'élaboration, la révision et la gestion de projets d'irrigation en Alberta. L'histoire de ces initiatives à la fois publiques et privées révèle que ces investissements de capitaux furent sujets à des erreurs nombreuses résultant d'une compréhension inadéquate des facteurs sociaux, économiques et physiques qui étaient en cause. La période d'après‐guerre témoigne malheureusement de tendances semblables.Pour mettre l'accent sur certains points qui font controverse, l'auteur a réparti ces projets en quatre groupes: ceux qui environnent la ville de Lethbridge, ceux du cours inférieur de la Bow, ceux du secteur ouest et, enfin, deux initiatives demeurées à l'état latent (celle de Redcliffe‐Ronalane et celle du détournement de la Red Deer). Il souligne la faiblesse des méthodes appliquées à l'aménagement de la St. Mary et du secteur occidental du B.R.D. (Bow River Development). Il fait également l'examen du succès relatif enregistré dans les secteurs de l'E.I.D. (Eastern Irrigation District) et de Taber.En un rapide coup‐d'œil sur l'avenir de l'irrigation en Alberta, l'auteur suggère qu'il y aura probablement opposition à l'expansion des initiatives sur une grande échelle; il déplore la multiplicité de projets secondaires; il préconise enfin l'étude des formes alternatives d'utilisation des ressources. Il désirerait surtout que les objectifs motivant l'action dans le domaine de l'aménagement des ressources fussent mieux définis; il suggère enfin que la politique gouvernementale devrait considérer la croi

ISSN:0008-3658    

DOI:10.1111/j.1541-0064.1965.tb01331.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1965

数据来源: WILEY

ISSN:0008-3658    

DOI:10.1111/j.1541-0064.1965.tb01332.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1965

数据来源: WILEY

摘要:

ABSTRACTSince the establishment of the Commission on Periglacial Geomorphology in 1949 and of theBiuletyn Peryglacjalny(Lodz, Poland) five years later, periglacial research has made considerable progress in many countries. Unfortunately, nobody has the data needed to prepare a complete statement of all that has occurred in the fields of teaching, individual research, joint undertakings, and the general organization of periglaciology. However, the present note summarizes various preceding reports which were similarly intended to spread the knowledge of activities in periglaciology.In 1964, the International Commission of Periglacial Morphology held several meetings in Hungary, Austria, and Great Britain. Both thematic and regional periglacial morphology were discussed. In Hungary‐Austria, the topics studied dealt with loess accumulation, gelivation valleys, thermokarst, injection‐ice deposits, frost wedges (ice or sand), cryoturbation solifluction sheets, and lobes. In Great Britain, two symposiums brought the participants in the field to study tors, heads, steps, vegetation patterns, earth hummocks, and Quaternary chronology. During the meetings in London, more than fifty papers were presented, and many kinds of periglacial phenomena from several countries were discussed.Poland has published number 14 of theBiuletyn Peryglacjalnythat contains nine national periglacial reports; one comes from Canada (Frank A. Cook's text). Two other papers deal with general periglacial terminology.The next meeting of the commission will be in the United States during 1

ISSN:0008-3658    

DOI:10.1111/j.1541-0064.1965.tb01333.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1965

数据来源: WILEY

摘要:

Book reviewed in this article:Mapping, by DavidGreenhoodAtlas of Florida, by ErwinRaiszand Associates, with text by J. R. Dunkle

ISSN:0008-3658    

DOI:10.1111/j.1541-0064.1965.tb01334.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1965

数据来源: WILEY