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1. |
The quaternary history of African forests: its relevance to conservation |
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African Journal of Ecology,
Volume 19,
Issue 1‐2,
1981,
Page 1-6
A. C. HAMILTON,
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PDF (428KB)
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摘要:
SummaryThe distributions of forest species in tropical Africa have partly been determined by Quaternary climatic change. Forest was restricted to a number of relatively small refugia during a pre‐12,000 B.P. arid phase. A great increase in forest since that time has resulted in gradients of decreasing species diversity away from former refuge areas. From the point of view of species conservation, it is particularly important to conserve forests lying within those areas which retained a forest cover during the pre‐12,000 B.P. arid period.RésuméLa distribution des espèces forestières en a été partiellement déterminée par le changement climatique de 1′ére quaternaire. La forêt a été restreinte à un nombre relativement faible de refuges durant la phase aride antérieure à 12000 B.P. L'importante augmentation de la forêt depuis cette époque s'est traduit en des gradients de diversité décroissante d'espèces quittant les zones de refuge antérieures. D'un point de vue de conservation des espèces, il est particulièrement important de conserver les forê situèes dans ces régions qui ont abrité une couverture forestière durant la pé
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00647.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1981
数据来源: WILEY
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2. |
The future of the savannah ecosystems: ecological islands or faunal enclaves? |
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African Journal of Ecology,
Volume 19,
Issue 1‐2,
1981,
Page 7-19
DAVID WESTERN,
JAMES SSEMAKULA,
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PDF (805KB)
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摘要:
SummaryVarious savannah reserves are examined to determine whether they are likely to lose substantial numbers of large herbivores if they become isolated. The relationship between the number of ungulate species and the size of each reserve is examined and compared to predictions established from existing island biogeographic studies. In the case of the savannah reserves, no significant relationship was found. However, when the data were re‐analysed for reserves of similar habitat, significant though lowz‐values of 0.04 and 0.08 were established. For discrete ecosystems rather than reserves a steeperz‐value of 0.14 was found.It is suggested that thez‐value for the savannah ecosystems is lower than the typical value of 0.22 for other land mass islands because of the ubiquitous distribution of most large herbivore species and their long history of co‐evolution.The significance of island biogeographic theory to the design of nature reserves is limited, at least in the savannahs. Most of the variation in the number of species in areas which can be practically established as reserves can be explained by habitat and landscape diversity. Whether the savannah reserves became faunal islands will be decided by political and economic policies and practices rather than the principles of ecological design. The design of reserves in the past is considered to have been based on sound ecological principles in most cases, even though these were not recognized at the time.RésuméDiverses réserves à savane sont examinées afin de déterminer si elles sont susceptibles de perdre un nombre important de grands herbivores si elles deviennent isolkes. La relation entre le nombre d'espèces d'ongulés et la taille de chaque réserve est examinée et comparée aux prédictions établies à partir d'études sur des ilots biogéographiques isolés. Dans le cas des réserves è savane, aucun type de relation significative n'a été trouvé. Cependant, lorsque les données furent analysées à nouveau pour des réserves à habitat similaire, des valeurs significatives bien que faibles dez= 0.04 à 0.08 ont étéétablies. Pour des écosystèmes discrets au lieu de réserves, une valeur plus raide dez= 0.14 fut trouvée. Il est suggéré que la valeur dezpour les écosystèmes de savane est plus faible que la valeur typique de 0.22 pour les autres ilots de massifs terrestres à cause de la distribution uniquiste de la plupart des espèces de grands herbivores et la longue histoire de leur co‐évolution. L'application de la théorie des îlots biogéographiques au cas de réserves naturelles est limitée, du moins en ce qui concerne les savanes. La plupart des variations du nombre des espèces dans les zones qui pourraient être érigées en réserve peuvent être expliquées par la diversité des habitats. Les réserves à savane deviendront des ilots faunistiques davantage selon les decisions politiques et économiques que les principes écologiques. On considère que la gestion des réserves fut basé dans le passé sur les principes écolog
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00648.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1981
数据来源: WILEY
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3. |
Reserves as oceanic islands: lessons for conserving some East African montane forests |
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African Journal of Ecology,
Volume 19,
Issue 1‐2,
1981,
Page 21-25
A. W. DIAMOND,
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PDF (371KB)
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摘要:
SummaryCurrent models, applying equilibrium theory to reserve planning, all treat reserves as land‐bridge islands. Recent evidence suggests that most forests in East Africa, especially montane ones, are more accurately regarded as oceanic‐island analogues. Differences between the biotas of the two types of island are reviewed, with particular emphasis on species turnover and niche width, and their conservation implications discussed. Proximity to nearby areas of similar habitat, to provide sources of immigrants essential to maintain the positive component of the species turnover characteristic of oceanic islands, may prove to be the most important feature of such reserves.RésuméTous les modeles classiques appliquant la théorie de l'équilibre à la conduite d'une réserve, traitent les réserves comme des îlots. Des résultats récents suggèrent que la plupart des forêts en Afrique de l'Est, et plus particulièrement celles de montagne, sont plus judicieusement comparées à leurs analogues des îles océaniques. Les différences entre les biomes des deux types d'isolement sont passées en revue en mettant I'accent sur le ‘turnover’ des espèces et sur l'importance des niches et les implications pour leur conservation sont discutées. La proximité de zones&habitat similaire—qui fournissent des sources d'immigration essentielles au maintien des composantes positives du turnover des espèces caractéristiques des îles océaniques—pourrait s'avére
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00649.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1981
数据来源: WILEY
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4. |
The conservation of forest islands in areas of high human density |
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African Journal of Ecology,
Volume 19,
Issue 1‐2,
1981,
Page 27-32
L. H. BROWN,
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PDF (450KB)
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摘要:
SummaryEcological islands in East Africa include small relic areas of lowland forest and montane forest. Both types are becoming increasingly isolated by recent human encroachment. Such encroachment includes land utilized for food production by increased population densities and land required for estate agriculture and forestry. The scale of such threats to forest existence may be reduced by increasing agricultural productivity on land already under cultivation and by the careful planning of large scale development projects to protect remaining forest islands.RésuméLes îlots écologiques d'Afrique de 1'Est comprennent de petits reliquats de forêts de basse et de haute altitude. Ces deux types deviennent de plus en plus isolés par le récent empiétement humain. Un tel empiètement inclut les terres utilisées pour la production de nourriture par la population croissante et les terres requises par les services agricoles et forestiers de 1'Etat. La dimension de telles menaces pour l'existence de la forêt peut être réduite par une augmentation de la production agricole sur les terres déjà en culture et par un planning prudent de projets de développement a grande échelle pour protéger les derniers
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00650.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1981
数据来源: WILEY
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5. |
The history of the Afromontane archipelago and the scientific need for its conservation |
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African Journal of Ecology,
Volume 19,
Issue 1‐2,
1981,
Page 33-54
F. WHITE,
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摘要:
SummaryThe Afromontane floristic région is briefly described and examples of its complex biogeographical and evolutionary relationships are given. The origin of disjunctions of the Afromontane flora remains a matter of controversy but current hypotheses based on biogeographic and stratigraphic evidence are examined; the former are found to require some modification while the latter tend to be discordant with the facts. Evidence is presented which indicates a relatively recent southern migratory track between the mountains of East and West Africa, at least for forest trees. The implications for conservation and research arising from the complexity of the Afromontane flora and its outstanding scientific interest are discussed.RésuméLa région floristique d'Afromontagne est brièvement décrite et des exemples de ses relations biogéographiques et évolutives sont données. L'origine de disjonction dans la flore d'Afromontagne reste une matière controversée mais des hypothèeses basées sur des données biogéographiques et stratigraphiques sont examinées; les premières requièrent quelques modifications alors que les secondes semblent discordantes avec les faits. Certaines évidences indiquent une voie de migration vers le Sud relativement récente entre les montagnes d'Afrique de 1'Est et de I'Ouest, tout au moins pour les arbres forestiers. Les implications pour la conservation et la recherche dues è la complexité de la flore d'Afromontagne et l'intérêt scientifique qui e
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00651.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1981
数据来源: WILEY
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6. |
Ecological islands in south‐eastern Nigeria |
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African Journal of Ecology,
Volume 19,
Issue 1‐2,
1981,
Page 55-72
J. B. HALL,
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摘要:
SummaryThe floras of the Oban lowland forests and the Obudu plateau areas on the Nigeria/ Cameroon border are discussed and are considered to be ecological islands of phytogeographical interest. For the Oban area, floristic affinities, geographical limits in Nigeria and possible conservation action are examined and comparisons made with similar forest in mid‐west Nigeria. On the basis of the high proportion of endemic plants and species distribution patterns in the area, it is concluded that the Oban forest was the only major forest refuge in Nigeria during the Pleistocene, the possibility of a Niger Delta refuge being discounted. The forest flora of the Obudu Plateau area is interpreted as an impoverished variant of the Oban flora, with the addition of an Afromontane element.The minimal size of a viable conservation area is discussed. From an appraisal of large forest trees size class frequencies and densities, it is concluded that any strict natural reserve established for the Oban forest type would require an area greater than 10 km2in order to be self‐sustaining. The need for such a reserve to protect the floristic richness of the Oban forest is stressed. The Obudu Plateau is being increasingly utilized for ranching and it is argued that the existence of an ecotone over a 2000 m altitudinal range between Obudu and Oban, coupled with the presence of unique faunal and floral features, could justify national park status.RésuméLa flore de la forêt de basse altitude d'Oban et du plateau d'Obudu, sur la frontière Nigéria/Cameroun est passée en revue et ces zones sont considérées comme îlots écologiques d'intérêt phytogéographique. Pour la zone d'Oban, les affinités floristiques, les limites géographiques au Nigéria et la possibilité d'action de conservation sont examinées et des comparaisons avec une forêt similaire dans le centre‐ouest Nigérian sont faites. Sur base de la proportion importante de plantes endémiques et du mode de distribution des espèces dans la région, on a conclu que la forêt d'Oban était le seul important refuge forestier an Nigéria durant le Pléistocène, la possibilité d'un refuge dans le Delta Nigérian étant écartée. La flore forestière de la région du Plateau d'Obudu est interprétée comme une variante apauvrie de la flore d'Oban, avec en plus des éléments d'Afromontagne. La taille minimale d'une zone de conservation viable est discutée. Il a étés conclu d'après une évaluation des fréquences et densités des classes de tailles des grands arbres forestiers qu'une reserve naturelle établie dans une forêt du type d'Oban devrait avoir une surface supérieure à 10 km2 pour être viable. Le besoin d'une telle reserve pour protéger la richesse floristique de la forêt d'Oban est souligné. Le Plateau d'Obudu est utilisé de plus en plus pour I'élevage et il est clair que I'existence d'un écotone à 2000 m d'altitude abritant une faun
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00652.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1981
数据来源: WILEY
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7. |
Pugu Forest Reserve: biological values and development |
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African Journal of Ecology,
Volume 19,
Issue 1‐2,
1981,
Page 73-81
K. M. HOWELL,
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摘要:
SummaryThe Pugu Forest Reserve, a small 22 km2reserve near Dar es Salaam, is one of the last remaining vestiges of lowland coastal forest in Tanzania and contains a unique flora with twelve endemic species and one endemic genus. The Pugu Forest Reserve is the type locality for several species of invertebrates. The herpetofauna of the forest is unusual and recent collections have yielded two species not previously recorded for coastal Tanzania. The forest is the southernmost point in the range of an endemic East African coastal bird, the Sokoke pipit, and a number of bird species with unusual or restricted distributions are found in the forest. The mammals of the forest have not yet been studied in detail but many of the larger species formerly occupying the area are no longer present. It is suggested that the small portions of natural vegetation remaining within the Pugu Forest Reserve should be given total protection under a Nature Reserve conservation status and that this status be extended to a number of natural habitats, not only forests, which are in danger of destruction in Tanzania.RésuméLa Réserve Forestière de Pugu, une petite réserve de 22 km2pres de Dar es Salaam, est un des derniers vestiges de la forêtst côtière de Tanzanie et contient une flore unique dont douze espèces endémiques et un genre endémique. La Réserve Forestière de Pugu est un habitat adaptéà différentes espèces d'invertébrés. L'herpétofaune de la forêt est peu commune et de récentes récoltes ont révélé deux espèces non encore rapportées de Tanzanie côtiere. La forêt est le point le plus méridional de la distribution d'un oiseau côtier est‐africain, le pipit de Sokoke, et un certain nombre d'espèces d'oiseaux peu communs ou a répartition restreinte est trouvé dans cette forêt. Les mammifères de la forêt n'ont pas encore étéétudiés en détail mais de nombreux grands mammifères ayant occupé la région ont disparu. Il est suggéré que les petites portions de végétation naturelle restant dans la Réserve Forestière de Pugu devraient être totalement protégées sous un statut de conservation et que ce statut devrait ětre étendu à un certain nombre d'habitats naturels, non seulem
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00653.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1981
数据来源: WILEY
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8. |
The Virunga gorillas: decline of an ‘island’ population |
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African Journal of Ecology,
Volume 19,
Issue 1‐2,
1981,
Page 83-97
A. H. HARCOURT,
D. FOSSEY,
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PDF (788KB)
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摘要:
SummaryOver the last 20 years the population of gorillas in the Virunga Volcanoes has halved from about 450 to around 225 animals. Its density and biomass have also dropped, as has the size of breeding units and the number of females per male within those units. The reproductive rates of the females appear to have remained fairly constant, however, although they are not as high as they would have been if the population had been totally protected. The decline in the population has been associated with a reduction in conservation area from roughly 500 km2to about 375 km2. Differences between the eastern and western sections of the Virunga Volcanoes, in the structure of the gorilla population and its breeding units, indicate that disturbance of the gorillas and their habitat by the local people and their domestic stock is a secondary cause of the decline. Also, in 1976 gorillas started to be killed to supply a demand in a tourist trade in their heads. The available evidence indicates that any genetic problems associated with the small population size are likely to be minimal compared to environmental and demographic ones. Conservation measures should thus be directed at increasing protection of the habitat and conservation education of the local people, politicians and the international community. The long‐term conservation management of the area requires a far more broadly based research programme than has been operating up to now.RésuméAu cours des 20 dernières annèes, la population de gorilles des Monts Virunga a été réduite de 450 à environ 225 animaux. Leur densité et biomasse ont aussi chuté, tout comme la taille des unités reproductrices et le nombre de femelles par mâle à I'intérieur de ces unités. Les taux de reproduction des femelles paraissent être restés constants; cependant, ces taux ne sont pas aussi élevés qu'ils ne l'auraient étés si la population avait étés totalement protégée. Le déclin de la population a étés associée avec une réduction de la zone protégée de 500 km2à environ 375 km2. Les différences dans les structures de population de gorilles et leurs unités de reproduction entre les parties occidentales et orientales des Volcans Virunga sont une cause secondaire du dèclin due aux perturbations sur les gorilles et leur habitat par les habitants indigènes et leur bétail domestique. De même, en 1976, on a commencéà tuer les gorilles pour répondre à une demande du commerce touristique intéressé par le trophée. 11 apparaît que tout probéme génétique lièà la faible taille de la population est minime en comparaison avec les problèmes de conservation du milieu et démographique. Les mesures de conservation devraient donc être dirigées vers une protection accrue de I'habitat et une éducation des populations locales, des politiciens et de la communauté internationale à la conservation. Une stratégie de conservation à long terme de la région suppose un programme de recherche
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00654.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1981
数据来源: WILEY
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9. |
Forest and primate conservation in East Africa |
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African Journal of Ecology,
Volume 19,
Issue 1‐2,
1981,
Page 99-114
T. T. STRUHSAKER,
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PDF (1052KB)
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摘要:
SummaryThe small ecological islands of rain forest remaining in East Africa and the monkeys and apes living in them are discussed. In Uganda, the number of monkey and ape species in any particular low to medium altitude rain forest seems to depend on three major factors: floral diversity, proximity to upper Pleistocene forest refugia and the size of the forest. Selected examples of forest and primate Conservation in Uganda, Tanzania and Kenya are described. From this description emerges a variegated picture of potential conservation successes and failures. Suggestions are made concerning the salvage of the remaining forest islands. More and larger areas of forest should be protected against exploitation. Detailed biological surveys must be completed in many of these forests. Long‐term monitoring research is vital to determine the effectiveness of forest conservation. Of paramount importance is the need to up‐date policies related to forest management, forestry laws and codes, and the educational curriculum in primary and secondary schools as it relates to the value of, and need for, forest conservation.RésuméLe petit îlot écologique de forêt humide restant en Afrique de 1'Est et les primates y habitant sont présentés. En Ouganda, le nombre d'espices de petits et de grands singes dans quelque forêt de basse ou moyenne altitude semble dêpendre de trois facteurs essentiels: la diversité florale, la proximité de refuges forestiers du Pléistocène supérieur et la taille de la forêt. Des exemples choisis parmi des types de conservation de forêt et de primates en Ouganda, Tanzanie et Kenya sont décrits. Il émerge de cette description une image variée de succès ou d'échecs potentiels de types de conservation. On avance des suggestions concernant le sauvetage des derniers îlots de forêt. Des zones plus nombreuses et plus étendues devraient être protégées de I'exploitation. Des relevés biologiques détaillés doivent être réalisCs dans beaucoup des ces forêts. Une recherche d'information à long terme est vitale pour déterminer I'efficacité de la conservation des forêts. Le besoin d'une politique moderne de gestion de la forêts de codes et de lois forestières et de programmes d'éducation dans les écoles primaires et secondaires sont d'une importance
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00655.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1981
数据来源: WILEY
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10. |
Where have the colonists come from? A zoogeographical examination of some mammalian isolates in eastern Africa |
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African Journal of Ecology,
Volume 19,
Issue 1‐2,
1981,
Page 115-124
J. KINGDON,
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PDF (661KB)
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摘要:
SummaryEvidence is presented to suggest that the isolation of some mammals endemic to the montane and forest ‘islands’ of eastern Africa may be partly due to a long series of climatic changes and partly to competitive exclusion and replacement in the intervening country.Variable degrees of resemblance in the morphology, ecology and status of East African mammals with related populations in southern and central Africa imply that there are considerable differences in the time‐scales and routing of past connections. Both forest and non‐forest adapted mammals that were formerly widespread may have been subject to replacement by closely related but more advanced competitors. Competition may have played a decisive role in the isolation and subsequent ecological specialization of species.Relatively recent expansions of forest have brought formerly separate and distinct populations into contact with one another leading to ‘hybridization’ between related species or subspecies. Examples are cited and a case of replacement of one tree‐hyrax species by another which is in progress at the moment. Climatic degradation of forest in eastern Africa has provided an important mechanism for adaptation by forest fauna to drier conditions through the isolation of populations and it is suggested that this process may have operated over many millions of years.Alpine habitats are specialized and impoverished in their fauna and flora and there are some significant contrasts from one massif to another. Some species appear to have local origins.RésuméCes données sont présentées pour suggérer que I'isolation de certains mammifères endémiques aux îlots forestiers et montagnards d'Afrique orientale peut être par‐tiellement due à une longue série de changements climatiques et à une exclusion compétitive suivie de remplacement dans cette région. Les différents degrés de ressemblances dans la morphologie, l'écologie et la situation des mammifères d'Afrique de I'Est avec les populations correspondantes en Afrique du Sud et Centrale impliquent qu'il y a des différences considérables dans les échelles de temps et les voies de connections passées. Aussi bien les mammifères forestiers que les non‐forestiers qui étaient auparavant largeinent répartis peuvent avoir été remplacés par des compétiteurs proches mieux adaptés. La compétition peut avoir joué un rôle décisif dans I'isolation et la spécialisation écologique postérieure des espèces. Des expansions relativement récentes des forêts ont mis en contact des populations auparavant sépa‐rées et distinctes, provoquant une ‘hybridation’ entre espèces et sous‐espèces proches. L'exemple du remplaccment actuel d'une espèce de daman arboricole par une autrc est cité. La dégradation climatique d'une forêt en Afrique orientale a imposé la mise en ocuvre d'un important mécanisme d'adaptation de la faune forestière à des conditions de sécheresse au travers de l'isolation des populations et il est suggéré que ce processus peut avoir opéré depuis des millions d'années. Les habitats alpins sont spécialisés et appauvris dans Ieur faune et leur flore et il existe quelques contrastes sig
ISSN:0141-6707
DOI:10.1111/j.1365-2028.1981.tb00656.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1981
数据来源: WILEY
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