摘要:

SummaryHistorical records of black lechwe numbers in the Bangweulu Swamps in northern Zambia indicate a major population decline during the first half of this century followed by a minor recovery during the years 1970‐83. Aerial censuses conducted during October 1988‐91 suggest that the population has ceased to increase and the lechwe are now being maintained at approximately 30,000 by the illegal hunting of at least 3000 individuals per annum. Poaching may also be implicated in the apparent large‐scale changes in distribution of lechwe throughout the swamps. The conservation importance of high‐density concentrations of lechwe, which occur during the wet season on shallow‐water ftoodplains in certain localities on the periphery of the swamp, is highlighted.RésuméDes rapports anciens sur le nombre de cobes lechwes noirs dans les marais de Bangweulu au nord de la Zambie indiquent une diminution importante de la population pendant la première moitié de ce siècle, suivie d'une reprise mineure entre 1970 et 1983. Des recensements aériens effectués en octobre, de 1988 à 1991, montreraient que la population a cessé d'augmenter et que les lechwes sont maintenus aux environs de 30000 à cause de la chasse illégale d'au moins 3000 animaux par an. Le braconnage est peutêtre aussi responsable des changements apparemment à grande échelle de la distribution des lechwes dans les marais. On met en évidence l'importance de la conservation des fortes concentrations de lechwes, qui se rassemblent en saison des pluies dans les eaux basses des plaines inondables, dans certainés localités situees

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1994.tb00549.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1994

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryIt is important to base yield regulations on recruitment of trees and their rates of growth to merchantable sizes. The present study investigated rates of growth ofBrachylaena huillensisunder its natural growing conditions.The rate of diameter growth ofB. huillensisis slow under natural conditions, ranging from 0–13 to 0‐44cmy‐1with a mean of 0–32 cm y‐1. Various possible factors contributing to the low rates of growth are suggested. The estimated growth rates over various diameter classes led to the construction of an age‐diameter curve which indicated that, under natural conditions, a mean diameter of 40 cm dbh may be expected after 100 years, 45 cm after 130 years and 60 cm after about 175 years since regeneration.RésuméII est important de baser les réglementations sur le terrain sur la repousse des arbres et leur de croissance avant d'atteindre une taille commercialisable. Cette etude a recherché le taux de croissance deBrachylaena huillensis, dans ses conditions de croissance naturelles.Le taux d'accroissement du diaètre deB. huillensisest lent dans des conditions naturelles, il varie de 0,13 à 0,44 cm/an, avec une moyenne de 0,32 cm/an. On suggère différents facteurs qui pourraient contribuer à ce faible taux. Les estimations des taux de croissance pour des classes de différents diamétres ont permis d'établir une courbe ãTge‐diamètre qui montre que, dans des conditions naturelles, un diamètre moyen de 40 cm à hauteur de la poitrine peut éTtre atteint apres 100 ans, 45 cm après 130 ans et 60 cm enviro

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1994.tb00550.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1994

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryA study of habitat selection by oribi (Ourebia ourebi, Zimmermann 1783), a small antelope in northern Serengeti National Park, Tanzania, addressed two questions: (1) what were the most preferred habitat features? and (2) did oribi associate with or avoid other ungulates? These questions were pertinent to three hypotheses on the function of habitat selection in antelopes: (i) habitats are chosen to minimize the cost of obtaining resources, (ii) habitat selection results from niche partitioning due to interspecific competition, or (iii) habitat selection functions to avoid predation by using escape terrain and by associating with other species for protection. Results from transects designed to examine preferences for open grassland,Acaciawoodlands,Combretum‐Terminaliawoodland, forests, thickets and rocky habitat types suggested that oribi preferred habitats with rocky outcrops andCombretum‐Terminaliawoodland. These habitats supported preferred food plant species consistent with hypothesis (i). However, oribi occurred close to rocks in the dry season, and in areas with long grass during the wet season, both of which are used for cover against predators. The significant association of oribi with larger resident ungulates [impala(Aepyceros melampus)and kongoni(Alcelaphus buselaphus)]also suggested that oribi were avoiding predators, consistent with hypothesis (iii). Oribi avoided wildebeest, possibly because of interference, but were randomly associated with topi, zebra and Thomson's gazelle. Preference for plateaux or gentle slopes and green flush agree with studies elsewhere. Major contrasts were shown in the avoidance of open grasslands andThemeda triandrawhich are reported to be favoured by most oribi populations in South Africa.RésuméUne étude de la sélection de ľhabitat par ľoribi,Qurebia ourebi, Zimmermann 1783, une petite antilope du nord du Pare National du Serengeti, en Tanzanie, cherchait à répondre à deux questions: (1) Quels sont les éléments préférés de ľhabitat? et (2) Est‐ce que ľoribi s'associe ou évite les autres ongulés? Ces questions se rapportaient à trois hypotheses sur la fonction de la sélection de ľhabitat par ľoribi: (i) Ľanimal choisit ľhabitat pour réduire le coût de ľobtention de nourriture. (ii) La sélection de ľhabitat résulte du partage des niches, suite aux compétitions interspécifiques. (iii) La sélection de ľhabitat sert àéviter les prédateurs grâce a ľexistence de terrains de secours ou àľassociation avec ?autres espèces dont ils obtiennent la protection. Des circuits furent choisis pour examiner les préférences entre les herbages ouverts, les zones boisées ?AcaciadeCombretum‐Terminalia, les forêts, les buissons ou les endroits rocheux. Les résultats suggérent que ľoribi préfere les habitats avec des surplombs rocheux et ceux peupleés deCombretum‐Terminalia.Dans ces habitats poussent les espèces végétales préférées, ce qui répond àľhypothèse (i). Cependant, on rencontre des oribis prés des rochers en saison séche et dans les zones couvertes ?herbes hautes en saison des pluies, les deux milieux servant de protection contre les prédateurs. Ľassociation significative des oribis aves des ongulés plus grands comme ľimpala,Aepyceros melampus, ou le bubale,Alcelaphus buselaphus, suggère aussi que les oribis évitent les prédateurs, ce qui repond àľhypothèse (iii). Les oribis évitent les gnous, peut‐être en raison ?interférences, mais sont parfois associés aux topis, aux zèbres et aux gazelles de Thomson. La préférence pour les plateaux, les pentes douces et les îlots de verdure concorde avec ?autres recherches. Les plus grandes différences concernent le fait qu'ils évitent les pâturages ouverts etThemeda tr

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1994.tb00551.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1994

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryWe conducted nine road surveys for birds of prey from 12 January to 17 March 1990 in Nairobi National Park and in an adjacent area dominated by subsistence agriculture and livestock grazing in southern Kenya. We observed an average of 4–27 raptors/km inside the park and 040 raptors/km outside the park (P<0–005). Excluding very abundant species [lesser kestrels (Falco naumanni) and vultures; 72‐6% of all observations] and species associated with human settlements [black kites (Milvus migrans); 8.9% of all observations], raptors were observed more frequently in the park (0–47 raptors/km) than outside the park (0–23 raptors/km) (P<001). Although species richness was similar inside (18 species) and outside (22 species) the park, eagles, vultures, and lesser kestrels were seen more frequently inside the park and some infrequently observed species were only seen either inside or outside the park. These results reflect the differences in land‐use practices inside and outside of the park, and suggest significant changes in raptor community structure (species richness, density, and species identity) related to human land use.RésuméNous avons mené par la route neuf comptages des oiseaux de proie, du 12 Janvier au 17 mars 1990, dans le Parc National de Nairobi et dans une zone adjacente où l'on pratique une agriculture de subsistance et l'élevage de bétail, dans le sud du Kenya. Nous avons observé une moyenne de 4,27 rapaces/km à l'intérieur du pare et 0,40 rapaces/km à l'extérieur du pare (P<0,005). En excluant les espèces très abondantes (le faucon crécerellette,Falco naumanni, et les vautours, 72,6% de toutes les observations) et les espéces associées aux installations humaines (le milan noir,Milvus migrans, 8,9% de toutes les observations), on a observé les oiseaux de proie plus souvent dans le pare (0,47 rapaces/km) qu'en dehors (0,23 rapaces/km) (P<0,01). Bien que la richesse en espèces soit comparable dans (18 espèces) et en dehors du pare (22 espèces), les aigles, les vautours et les faucons crécerellettes se rencontrent plus souvent dans le pare, et quelques espèces rarement observées ne se trouvaient que soit dans, soit hors du pare. Ces résultats refletent les différences entre les pratiques d'utilisation du sol dans et en dehors du pare et suggèrent des changements significatifs dans la structure de la communauté des rapaces (richesse en espèces, densité et identité des esp

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1994.tb00552.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1994

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryThe factors that influence drift transport and concentration in the Naro Moru River are recapitulated. The most important variables accounting for the highest proportions of drift transport variance are volume sampled by nets per 2 h (r=0–72, P<0–05;a± 95%CL= 1658.3 ± 1388.1,b±95%CL=2.2 ± 1.0) and water velocity at net mouth (r=0.71,PTMP.RésuméOn récapitule les facteurs qui influencent le transport dérivant et sa concentration dans la rivière Naro Moru. Les variables les plus importantes intervenant dans la variance des plus fortes proportions de transport dérivant sont mesurées par filets par deux heures (r=0,72,P<0,05; a ±95%, CL=1658, 3 ±1388,1,b±0,95% CL=2,2± 1,0), et la vitesse de l'eau à l'entrée du filet (r=0,71,PV

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1994.tb00553.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1994

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryA survey forRhynchocyonelephant‐shrews, based on the abundance of nests along strip transects, was developed and calibrated using data from a detailed study of the ecology of the Golden‐rumped Elephant‐shrewRhynchocyon chrysopygus.Using this method, the density of Golden‐rumped Elephant‐shrews in three different habitats within Arabuko‐Sokoke Forest, Kenya was determined, and was found to range from 23 to 75 animals per square kilometre.RésumèOn a réalisé une étude des rats à trompe(Rhinchocyori)basée sur l'abondance de nids le long de bandes transects et on l'a calibrée en se servant de données provenant d'une étude détaillée de l'ecologie du rat à trompe à croupe dorée,Rhynchocyon chrysopygus.Grâce è cette méthode, on a déterminé la densité de cette musaraigne dans trois habitats différents de la forêt Arabuko‐Sokoke, au Kenya, et elle est é

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1994.tb00554.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1994

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryThe fish assemblage of the lower Bonny river of the Niger delta with its adjoining creeks was studied. Local fishing gear was used in the collection of samples, which yielded 25 families made up of 57 species. Of these 25 families, some were residents of the main river (Cynoglossus senegalensis, Arius heudoloti, Pentane‐mus quinquariusandTrichurus lepturus) whilst others were creek residents (e.g.Tilapia guineensis, Sarotherodon melanotheron, Citharichthys stamfiiandEleotris vittata). Higher catches were made in the dry season than in the wet season for most of the gear types employed in both the creek and the main river channel. A comparison between the creek and the main channel fish (using Sorenson's index; 0–34) suggests that the creek assemblage is separate from that of the main river channel.RésuméOn a étudie la population piscicole du bas de la rivière Bonny, dans le delta du Niger et dans les criques voisines. On a utilisé le matériel de pêche local pour récolter des échantillons. Ceux‐ci ont réuni 57 espèces appartenant a 25 families. Sur ces 25 families, on a observé que certaines étaient résidentes de la rivière principale (Cynoglossus senegalensis, Arius heudoloti, Pentanemus quinquariusetTrichurus lepturus) alors que les autres sont des résidents de la critique (e.aTilapia guinensis, Sarotherodon melanotheron, Citharichthys stamfiietEleotris vittata).Les prises effectuées en saison séche etaient plus importantes qu'en saison des pluies pour la plupart des types d'équipement utilisés, que ce soit dans les criques ou dans le lit principal de la rivière. La comparaison des poissons de la crique avec ceux du lit principal (en utilisant l'index de Sorensen: 0,34) laisse entendre que la population piscicole de la crique est isolée de celle du

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1994.tb00555.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1994

数据来源: WILEY

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1994.tb00556.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1994

数据来源: WILEY

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1994.tb00557.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1994

数据来源: WILEY

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1994.tb00558.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1994

数据来源: WILEY