摘要:

SummaryA study on the black rhinoceros population in Ngorongoro Crater, Tanzania, was carried out from December 1980 to May 1982 and, later, for three weeks in September 1982. The total population size, determined by recognition of individual rhinos, was twenty‐five and the density was 008 km‐2.Although the population size has declined by 77% since 1966, the population structure has not changed significantly. The sex ratio was 1:1–2 for all age classes combined and 1:1–8 for adults. The former value did not differ significantly from those often other studies in Tanzania and Kenya. In addition, a cow: calf ratio of 100:45 showed no difference from four other studies in Tanzania and Kenya. The birth rate was 13‐6% and the mortality rate was 8%.RésuméOn a mené une étude sur la population de rhinocéros noirs du cratère du Ngorongoro, Tanzanie, de décembre 1980 à mai 1982, plus encore trois semaines en septembre 1982. La population totale s'élève à vingt‐cinque individus dénombrés individuellement, et la densité de population s'élève à 0–08 km‐2. Bien que la population ait baissé de 77% depuis 1966, sa structure n'a pas changé signiflcativement. Le sex‐ratio était de 1:1 ‐2, toutes classes d'âge confondues et de 1:1–8 pour les adultes. La premiere valeur ne diffère pas significativement de celle de dix autres études en Tanzanie et au Kenya. De plus, le rapport femelles: jeunes de 100:45 ne montrait pas de différence avec quatre autres études en Tanzanie et au Kenya. Le taux de nata

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1989.tb00923.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1989

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryThe progressive abandonment and desiccation of the lower Nqoga River system and its associated vegetation‐covered peat deposits, has resulted in the development of subsurface peat fires. These appear to have been burning within the study area for decades and consist of a mosaic of burning fronts, the first of which burns to a depth of up to 15 cm. This relatively shallow fire destroys the bases of stems and plant rhizomes, thereby preventing re‐establishment of the former plant community by vegetative growth. Deeper fires are initiated where cracks develop in the peat during drying and desiccation. The depths to which these burn are limited by peat moisture content or by the presence of an incombustible inorganic substrate. The initial collapse is some 30–40 vol. %. Further compaction is brought about by rainfall and animal trampling which may cause volume reductions of as much as 98%.The short‐term consequences of subsurface peat fires include the release of plant nutrients, enhancement of soil texture and soil water retention properties, and temporary transformation of the area into a terrestrial habitat. However, physiographic changes induced by the peat fire result in its eventual reflooding. It is proposed that the time delay between burning and reflooding, and the rate and depth of reflooding, determine the nature of the habitats which form after re‐inundation. These processes are important in maintaining the overall structure and functioning of the Okavango Delta ecosystem.RésuméL'abandon progressif et le dessèchement de la basse Nqoga et des dépôts de tourbe qui y sont associés ont abouti au développement de feux de tourbe sous la surface. II semble que ceux‐ci brûlaient depuis des décennies à l'endroit des recherches et qu'ils se composent d'une mosaique de petits feux dont le premier brûle jusqu'à une profondeur de 15 cm. Ce feu assez superficiel détruit les bases des tiges et les rhizomes des plantes, empêchant de ce fait le rétablissement de la plante originelle par simple croissance végétative. Des feux plus profonds surviennent lorsque des fissures se développent dans la tourbe en voie de dessication. La profondeur à laquelle ils brûlent est limitée par l'humidité de la tourbe ou par la présence d'un substrat inorganique incombustible. l'effondrement initial correspond à quelque 30 à 40% en volume. Les chutes de pluies et le pietinement des animaux peuvent tasser encore plus et causer des réductions de volume atteignant 98%. Les conséquences à court terme des feux de tourbe souterrains comprennent la libération de nutriments végétaux, une amélioration de la texture du sol et de ses propriétés de rétention d'eau, et la transformation temporaire de la région en un habitat terrestre. Cependant les modifications physiographiques induites par les feux de tourbe résultent ultérieurement en de nouvelles inodations. On pense que le délai entre le feu et l'inondation ainsi que l'importance et la prondeur de Pinondation déterminent la nature des habitats qui se forment après inondation. Ces processus sont importants pour le maintien de la structure générate et du

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1989.tb00924.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1989

数据来源: WILEY

摘要:

SummaryBlue‐green algae dominated the open waters of Lake Victoria during an algal bloom between February and August 1986.Microcystissp. accounted for more than 90% of the bloom organisms with algal counts reaching a high density of 34,000 colonies per ml and chlorophyllaconcentration at 77‐6 μg 1‐1. Secchi disc visibilities and the 1 % light penetration were reduced to 0–2 m and 1 m, respectively. The release of nutrients from river inflows, from upwelling and from sediments into the euphotic zone, coupled with high temperatures, produced the observed blooms. The blooms subsequently declined as a result of physical flushing, temperature reduction associated with the rainy season and nutrient exhaustion.RésuméLes algues bleues et vertes ont prédominé dans les eaux libres du Lac Victoria durant une éclosion massive d'algues, de février à août 1986.Microcystisreprésentait plus de 90% des organismes éclos, avec des chiffres atteignant plus de 34,000 colonies par ml et une concentration en chlorophylle de 77‐6 mug 1‐1. La visibilité du disque de Secchi et la pénétration d'un pour cent de la lumière étaient réduits à 0–2 m et 1 m respectivement. l'apport de nutriments par les rivières, par les sources et par les sédiments vers la zone exposée à la lumière, combiné avec de hautes températures a causé le phénomène observé. Cette explosion diminua ensuite à cause de phénomènes physiques: une réduction de température associée à la s

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1989.tb00925.x

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年代:1989

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摘要:

SummaryThe species composition of grasslands in southern Tsavo National Park (West), Kenya, was investigated using detrended correspondence analysis (DCA) and two‐way indicator species analysis (TWINSPAN). Both techniques indicated that, except for one site along a lake edge, all grasslands were relatively similar. Species abundances varied along topographic gradients but all sites were dominated by the same species, regardless of location in the study area or topographic position. The vegetational homogeneity in southern Tsavo West suggests that the grasslands are more strongly influenced by rainfall and soil, which are relatively uniform over the study area, than by fire, topography or other factors found to create vegetational heterogeneity in other parts of East Africa.RésuméOn a recherché la composition spécifique des savanes du sud du Pare National du Tsavo (Ouest) au Kenya en utilisant le detrended correspondence analysis (DCA) et l'analyse de l'espèce indicatrice à deux voies (Twinspan). Les deux techniques montraient que, sauf pour un site au bord d'un lac, toutes les savanes sont relative‐ment semblables. Les abondances des espèces varient selon un gradient topographique, mais tous les sites sont dominés par la même espèce, quel que soit le site dans la zone d'etude et la topographic l'homogénéité végétale du sud du Tsavo Ouest suggère que les savanes sont davantage influenceées par le sol et les pluies qui sont assez uniformes dans la zone d'étude, que par le feu, la topographie ou d'autres facteurs comme pour créer une diversité végétale dans d'autres r

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1989.tb00926.x

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年代:1989

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摘要:

SummaryThe goal of this vegetation classification is to facilitate consistent field description of Kenyan vegetation communities and to convey in simple terms an impression of the site. It employs clearly defined rules of usage and easily measured vegetation characteristics. A hierarchical approach to classification was chosen to reflect the varying detail of information available from both remote sensing and ground survey methods.Four levels of classification are proposed. Level 1 names are descriptive of the primary vegetation lifeform found at the site. A modifier is included to indicate the canopy cover of that primary lifeform. Level 2 names provide a description of lifeforms of secondary importance. Level 3 names are descriptive of the height of the primary lifeform while Level 4 names indicate characteristic plant species found in the vegetation communityRésuméLe but de cette classification végétale est de faciliter une description de terrain logique des communautés végétales au Kenya et de donner, en termes simples, une premiere description du site. Elle met en oeuvre des règies claires d'utilisation et des caractéristiques végétales facilement relevées. On a choisi une approche de classification hiérarchique pour illustrer la variation de détails disponible aussi bien pour une évaluation à distance que pour des méthodes d'investigation au sol.On propoe quatre niveaux de classification. Le niveau 1: des noms décrivent les formes de végétation primaire de l'endroirt. Un modificateur indique ce qui compose la canop ée de cette végétation primaire. Les noms du niveau 2 décrivent les formes d'importance secondaire. Au niveau 3, les noms indiquent la hauteur des formes d'importance primaire, tandis que le niveau 4 donne les especès végétales caractéristiques

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1989.tb00927.x

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年代:1989

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SummaryThis contribution to our knowledge of the plant ecology of Kenyan drought‐deciduous woodland continues a study undertaken in 1983.(i) A detailed report on the woodland floor is presented, partitioning the litter types into undisturbed, game trails and bare soil, so that the importance of plants and animals in maintaining litter can be better envisaged.(ii) TheAcacia‐Commiphorawoodland on the basement‐derived soils, which may be considered a typical facies of such woodland types, is further analysed floristically.(iii) Some data of establishment and growth are used to suggest insights into the demography of many species.(iv) Finally, the stability and status of the woodland is discussed.RésuméCette contribution à la connaissance de l'écologie végétale d'une forêt sclérophylle décidue au Kenya prolonge une étude entreprise en 1983.(i) On présente un rapport détaillé sur l'étage du sol en distinguant les types de litiéres: non dearangée, piste d'animal, sol nu, de façon a mettre en évidence Pimportance des plantes et des animaux sur le maintien du sol.(ii) La forêt aAcacia‐Commiphorasur les sols primitifs, qui peut être considérée comme l'exemple type de ce genre de forêt, est davantage analysée au point de vue floristique.(iii) Quelques données concernant la genèse et la croissance servent à suggérer un apercu de la démographie de nombreuses espèces.(iv) La

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1989.tb00928.x

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年代:1989

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SummaryThe activity patterns of six species of captive elephant shrews{Elephantulus(four species),MacroscelidesandPetrodromus)were monitored electronically for periods of 48 h. Individual animals showed some significant differences in activity from one day to the next but generally followed the same pattern of diel activity. Intraspecific differences were observed in eightElephantulus edwardiiand sevenElephantulus myurusbut all had a similar overall pattern of activity apart from a possibly diseasedE. edwardiiand twoE. myurus, which had previously been exposed to a high level of human disturbance, and which showed increased nocturnal activity. All species were active, to varying degrees, both day and night. Interspecific differences in activity exhibited a continuum, with different species showing differing periods of peak activity. Differences in the nocturnal/diurnal ratio may be related to the amount of cover in the habitat and the degree of aridity experienced by each species. Significant seasonal differences in activity were noted in two species where sample sizes were adequate to permit their detection.RésuméOn a surveilléélectroniquement le schéma d'activité de six espéces de rats à trompe en captivité par tranche de 48 h. Individuellement, les animaux présentent quelques différences significatives d'un jour à l'autre mais suivent généralement le même schéma d'activité. Des différences intraspécifiques furent observées chez huitElephantulus edwardiiet septE. myurusmais tous avaient un schéma d'activités globalement similaire, aF l'exception d'unE. edwardii, peut‐être malade, et de deuxE. myurusqui avaient ete auparavant soumis à de grands dérangements, et qui montraient un accroissement de l'activité nocturne. Toutes les espèces étaient actives, à des degrés divers, jour et nuit. Les différences interspécifiques étaient permanentes, les espèces présentant des périodes d'activité maximales diffeareés. Les différences du rapport diurne/nocturne peuvent être mises en relation avec le degré de couvertre de l'habitat et le degré d'aridité aux quels est soumise chaque espèce. On a noté des différences d'activité saisonnières significatives chez deux espèces dont la

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1989.tb00929.x

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年代:1989

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摘要:

SummaryThe reproductive season of pukuKobus vardoniis closely tied to seasonality of their habitat in Luangwa Valley, Zambia. Rain falls in a single wet season and varies in amount between years. Forage is most abundant in terms of biomass and protein percentage during the wet season, though food availability is reduced when floods occur. The majority of calves recorded in the study (67%) were born from January to April, during the wet season. Hence, female puku appear to take advantage of greatest food availability to ensure maximum calf survival. At this time the herb layer also provides cover for the calves which lie hidden to avoid predation.RésuméLa saison de reproduction du cobe de Vardon(Kobus vardoni)est étroitement liée au cycle saisonnier de leur habitat, dans la Luangwa Valley en Zambie. II n'y a qu'une saison des pluies dont l'importance varie selon les années. Le fourrage est le plus abondant en termes de biomasse et de contenu protéinique, en saison des pluies, bien qu'il soit moins disponible durant les inondations. La plupart des jeunes observés au cours de cette étude (67%) sont nés entre Janvier et avril, en saison des pluies. Dès lors, il semble que la femelle profile d'une plus grande disponibilité en nourriture pour assurer au mieux la survie des jeunes. A ce moment lá la couche herbeuse fournit aussi au jeune un couvert végétal qui les cache à le

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1989.tb00930.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1989

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摘要:

Book reviewed in this article:The Shamba Raiders: Memories of a Game Warden by Bruce Kinloch.Cynthia Moss 1988Elephant Memories: Thirteen Years in the Life of an Elephant Family. Elm Tree Books, London.G. M. O. Malony&P. A. Jewell (Eds) in press. Large African Mammals in their Environment. Symp. Zool. Soc. Lond.The Penitent Butchers, the Fauna Preservation Society, 1903–1978. Published by the FPS and Collins, London, 1978.Now the Fauna and Flora Preservation Society.La Pollution des Eaux Continentales Africaines–Experience Acquise, Situation Actuelle et Perspectives. By Claude DejouxLegumes of Africa: a check list by J. M. Lock, Royal Botanic Gar

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1989.tb00931.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1989

数据来源: WILEY

ISSN:0141-6707    

DOI:10.1111/j.1365-2028.1989.tb00932.x

出版商:Blackwell Publishing Ltd    

年代:1989

数据来源: WILEY