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1. |
SIR JOHN ADAMS |
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British Journal of Educational Psychology,
Volume 5,
Issue 1,
1935,
Page 1-9
P. B. BALLARD,
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摘要:
Résumé.SIR JOHN ADAMS.Sir John Adams exerça pour la première fois une influence sur l'enseignement en Grande Bretagne par la publication, en 1897, d'un livre intitulé “La Psychologic de Herbart appliquée à l'Éducation.” Comme il fut, peu de temps après, nommé directeur d'une école normale, considérée ensuite la plus importante en Angleterre, ce fut par les écoles normales que cette influence se répandit d'abord. Son œuvre la plus considérable fut de transformer l'opinion des membres de l'enseignement sur la doctrine de la discipline formelle, doctrine qui maintient que la valeur de la discipline intellectuelle est indépendante de la matière de cette discipline. Il écrivit beaucoup de livres excellents qui exposèrent d'une façon bien claire, et avec beaucoup d'humour, les efforts qui se faisaient dans le monde entier pour résoudre les problèmes de l'éducation. Il publia aussi un livre populaire sur la psychologie. C'était un conférencier bien renseigné, stimulateur et spirituel. C'était un homme, qui possédait un charme personnel considérable, qui était prêt à tout moment à aider les autres et chez qui, chose rare, on ne trouvait aucune trace ni de vanité ni d'importance.Zusammenfassung.SIR JOHN ADAMS.Sir John Adams beinflusste das Erziehungswesen in Grossbritannien erst im Jahre 1897 durch die Veröffentlichung eines Buches betitelt “The Herbartian Psychology Applied to Education.” Da er bald darauf zum Leiter des Institutes für Pädagogik, welches später als führendes in England galt, ernannt wurde, geschah es durch diese Institute, dass sein Einfluss sich zuerst geltend machte. Seine grösste Leistung lag darin, dass er die Stellungnahme der Lehrerschaft gegenüber der Lehre von der formalen Wissenschaft änderte, der Lehre, dass der Wert geistiger Bildung vom Stoff der Bildung unabhängig sei. Er verfasste viele ausgezeichnete Bücher, die mit grosser Klarheit und viel Humor die Versuche auslegten, die man überall in der Welt machte, um erzieherische Probleme zu lösen. Er schrieb auch ein populäres Buch über Psychologie. Als Vortragender war er belehrend, anspornend und witzig. Als Mensch hatte er grosse persönliche Reize, er war immer bereit, anderen zu helfen und i
ISSN:0007-0998
DOI:10.1111/j.2044-8279.1935.tb03025.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1935
数据来源: WILEY
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2. |
SPEECH TRAINING: A SYMPOSIUM: GENERAL SURVEY.1 |
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British Journal of Educational Psychology,
Volume 5,
Issue 1,
1935,
Page 10-21
ELSIE FOGERTY,
J. CLIFFORD TURNER,
DANIEL JONES,
E. C. MacLEOD,
T. H. PEAR,
Elsie Fogerty,
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PDF (530KB)
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ISSN:0007-0998
DOI:10.1111/j.2044-8279.1935.tb03026.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1935
数据来源: WILEY
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3. |
ÆSTHETIC ASPECT |
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British Journal of Educational Psychology,
Volume 5,
Issue 1,
1935,
Page 21-26
J. Clifford Turner,
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PDF (308KB)
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ISSN:0007-0998
DOI:10.1111/j.2044-8279.1935.tb03027.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1935
数据来源: WILEY
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4. |
THE PHONETIC ASPECT |
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British Journal of Educational Psychology,
Volume 5,
Issue 1,
1935,
Page 27-30
Daniel Jones,
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PDF (230KB)
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ISSN:0007-0998
DOI:10.1111/j.2044-8279.1935.tb03028.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1935
数据来源: WILEY
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5. |
THE REMEDIAL ASPECT |
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British Journal of Educational Psychology,
Volume 5,
Issue 1,
1935,
Page 30-31
Eileen MacLeod,
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PDF (122KB)
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ISSN:0007-0998
DOI:10.1111/j.2044-8279.1935.tb03029.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1935
数据来源: WILEY
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6. |
SUMMARY: PSYCHOLOGICAL ASPECTS |
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British Journal of Educational Psychology,
Volume 5,
Issue 1,
1935,
Page 32-40
T. H. Pear,
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摘要:
Résumé.L'ENSEIGNEMENT DE LA DICTION: UN RECUEIL D'ARTICLES COURTS.RevueGénérale.La faculté de la parole chez l'homme consiste en une série d'échanges qui servent en quelque sorte de bureau de liquidation à toutes les autres facultés, et qui arrivent à recréer presque sa vie intellectuelle et morale entière. La Code du Langage enrégistre nos conceptions de la vérité, de la justice et du progrès et remplace ainsi jusqu'à un certain degré l'instinct chez les animaux.(Diagramme.) Les cours afférent et efférent d'une impulsion à la parole, sans toutefois vouloir indiquer les faits physiologiques de l'activité cérébrale, suggère les possibilités multiples d'erreur et d'obstacles qui peuvent causer des défauts de la parole.L'homme parlait lorsqu'il avait quelque chose à dire. Il se servait de son mieux de l'appareil qu'il possédait en l'opposant souvent à une fonction plus vitale, comme dans l'opposition entre l'acte d'avaler et cette d'articuler, entre la respiration pour parler et la respiration normale pour le repos ou l'activité. L'histoire du développement organique et fonctionnel du langage depuis l'aurore de la civilisation jusqu'au perfectionnement de l'expression dans l'âge classique des Grecs, démontre l'importance, du point de vue de la survivance, du développement d'une telle fonction. L'histoire de l'individu montre le besoin de la perfection physiologique, phonétique et esthétique dans l'expression.L'AspectEsthétique.Un critère esthétique de la diction est celui destiné à servir les quatre arts, le chant, la répétition des vers. le théâtre et l'éloquence, qui emploient comme instrument la parole. La voix est réglée à ses deux extrémités: en bas, là où les côtes inférieures étendent le lond des poumons, la force de la respiration, ainsi contrôlée, détermine le ton et favorise l'expansion générale du résonateur, qui donne à ce ton, sur son passage, sa pleine sonorité; et en haut là où l'articulation se fait remarquer sur les lèvres et sur la langue dans la partie antérieure de la bouche. En développant la voix de cette façon on peut former de nouvelles habitudes vocales, basées sur les lois de la physiologie et de l'anatomie, à moyen d'actes eonsciemment exécutées et réglées directement ou indirectement. De telles actes deviennent finalement, au cours des exercices inconscients, ce qui met l'exécutant à même d'arriver, sans efforts, aux plus beaux résultats, en employant comme instrument sa voix, tandisque son esprit est tout rempli des pensées et des sentiments de l'auteur qu'il interprètc.L'AspectPhonétique.Toute prononciation peut s'unir à une bonne diction, ou à une mauvaise. Bien des choses qu'on appelle “belles” ou “laides” dans la diction ne sont que de pures conventions.La beauté, ou la laideur, s'associe à certains milieux et nous sommes portés à attribuer la beauté, ou la laideur, à des sons qui rappellent ces milieux.L'étude de la phonétique révèle souvent que, nous‐mêmes, nous employons des prononciations qu'à première vue nous serions tentés de condamner. Nous apprenons ainsi la tolérance envers la prononciation d'autrui. Cette tolérance chez un professeur de diction ajoute à son efficacité.LaCorrection desDéfauts.Beaucoup de défauts de la parole peu graves pourraient être corrigés par des professeurs ayant une connaissance de la phonétique. Les défauts, dont la cause est plus profonde, demandent pourtant le traitement par quelqu'un avant une préparation spécialiste à cette tâcte et possédant des connaissances scientifiques de l'anatomie, la physiologie, la neurologie, la psychologie, etc.DesAspectsPsychologiques.Enseigner aux élèves à bien parler devrait aussi les préparer à la discussion constructrice, et leur apprendre plus spécialement la technique nécessaire pour influencer différents types d'intelligence, pour exposer leurs idées, suggérer, discuter, raisonner et convaincre.La tâche du professeur de diction est rendue encore plus compliquée, bien qu'il y ait là aussi des possibilités compensatoires, par l'emploi du microphone pour renforcer la voix dans des salles publiques, pour le radio, et par le style ecrit. Le problême de la conversation sous ses formes diverses a été plutôt négligé jusqu'ici par la psychologie sociale.La fonction de maître de conférences dans les universités anglais est peut‐étre le seul métier spécialiste pour lequel on ne demande pas de préparation. L'acte de parler sous tous ses aspects n'occupe que peu l'attention des psychologues, en comparaison avec les autres branches de l'étude.Zusammenfassung.SPRECHUNTERRICHT: EIN SYMPOSION.AllgemeinerÜberblick.Das menschliche Sprechvermögen besteht aus einer Reihe von Austauschungen, die die Rolle eines Abrechnungshauses für alle anderen Fähigkeiten spielen, und fast zu einer Neuschöpfung seines ganzen Geistes‐und Gefühlslebens werden. Die Sprache verzeichnet unsere Begriffe der Wahrheit, der Gerechtigkeit und des Fortschrittes und ersetzt also gleichsam die Instinkte in der Tierwelt. (Entwurf.) Der diagrammatisch dargestellte zuführende und wegführende Lauf eines Sprechtriebs‐ohne dass aug die physiologischen Tatsachen der Gehirntätigkeit hingedeutet wird‐liefert einen Begriff der vielfältigen Möglichkeiten des Fehlgehens und des Hemmens, die Sprechschwächen zu Grunde liegen.Der Mensch sprach, als er etwas Sagenswertes hatte. Er machte den möglichst besten Gebrauch von den Vorrichtungen, die er besass, oft in Gegensätzlichkeit zu einer vitaleren Funktion, wie z.B. im Gegensatz zwischen Schlucken und Lautbildung, zwischen Atmen für Hörbarmachen der Stimme und dem normalen Atmen für Ruhe oder Tätigkeit. Die Geschichte der Sprechentwicklung, organisch und funktionell, von den Uranfängen der Zivilisation bis zur Vervollkommnung der Sprechweise im klassischen Zeitalter Griechenlands, zeigt den Überrestwert einer solchen funktionellen Entwicklung. Die Geschichte des Einzelmenschen zeigt die Notwendigkeit physiologischer, phonetischer und ästhetischer Vervollkommnung der Sprache.DieÄsthetischeSeite.Eine ästhetische Sprechnorm sollte den vier Künsten des Singens, des Hersagens von Gedichten, des Dramas und der Redekunst dienen, die die Sprach als ihr Mittel benutzen. Die Stimme wird an seinen äussersten Enden kontrolliert. Unten, wo die niederen Rippen die untersten Enden der Lungen halten, beherrscht die auf diese Weise kontrollierte Kraft des Atems den Ton und hilft der allgemeinen Spannung des Resonators, was dem Ton, wenn er herauskommt, vollen Wohlklang verleiht, und oben, wo die Artikulation der Wörter von den Lippen und der im Munde nach vorne gestreckten Zunge geführt werden kann. Wenn die Stimme auf diese Weise geschult wird, gelangt man durch bewusst durchgeführte Tätigkeiten, die direkt oder indirekt kontrolliert werden, zu neuen, auf den Gesetzen der Physik und der Anatomie beruhenden Sprechgewohnheiten. Solche Tätigkeiten werden zuletzt während der Schulungsperiode unbewusst und machen es deshalb dem Sprecher möglich, ohne Anstrengung die allerbesten Resultate aus seiner Stimme als Instrument zu erzeilen; denn sein Geist gibt sich nur mit den Gedanken und Gefühlen des Dichters ab, dem er dient.DiePhonetischeSeite.Jede Aussprache kann mit guter oder schlechter Stimme verbunden sein. Viel von dem, was man im Sprechen zuweilen “schon” oder “hässlich” nennt, ist bloss Gewohnheit.Das Schöne oder das Hässliche bezieht sich auf gewisse Umgebungen, und wir sind geneigt, Lauten, die uns an diese Umgebungen erinnern, Schönheit oder Hässlichkeit zuzuschreiben.Das Studium der Phonetik zeigt oft, dass wir selber Aussprachen benutzen. die wir auf den ersten Blick leicht zu verurteilen versucht sind.So lernen wir, der Aussprache anderer gegenüber tolerant zu sein; diese Nachsicht seitens des Sprechlehrers macht ihn tüchtiger.Mittel zurAbhilfe.Lehrer mit kurzer phonetischer Ausbildung könnten sich mit vielen Sprechfehlern unbedeutender Art betassen. Zu tiet eingewurzelten Fehlern ist Behandlung durch einen Spezialisten für abhelfende Mittel mit wisse umfassen, besonders im Können, das nötig ist, um auf die verschiedenen Typen des Geistes zu wirken, auseinanderzulegen, vorzuschlagen, zu besprechen, zu disputerien und zu überreden. Eine Schwierigkeit für das Problem des Sprechlehrers, mit ausgleichenden Möglichkeiten, ist durch den Gebrauch des Mikrophons zur Verstärkung einer Rede in einem öffentlichen Saal, im Rundfunk und vom Manuskript. Das Problem der Konversation in ihren vielen Formen wird von sozialen Psychologen noch verhältnismässig vemachlässigt. Vortragen an engl. Universitäten ist vielleicht der einzige gelernte Beruf, wofür keine vorherige Schulung erwartet wird. Im Vergleich mit anderen Fächern widmen die Psychologen dem Akt des Sprechens in all seinen Aspekten wenig Au
ISSN:0007-0998
DOI:10.1111/j.2044-8279.1935.tb03030.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1935
数据来源: WILEY
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7. |
A COMPARATIVE STUDY OF CHILDREN WHO ARE BACKWARD IN READING AND BEGINNERS IN THE INFANT SCHOOL |
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British Journal of Educational Psychology,
Volume 5,
Issue 1,
1935,
Page 41-58
HELENE FRANK,
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摘要:
Résumé.UNE ÉTUDE COMPARATIVE ENTRE DES ENFANTS ARRIÉRÉS EN LECTURE ET DES COMMENCANTS À LA MATERNELLE.Par des recherches antérieures, faites dans des écoles allemandes, l'auteur était parvenu à l'opinion que la difficulté qu'éprouvent certains enfants en apprenant à lire est fondée sur la nature spécifique de la perception chez l'enfant et que dans sa perception l'arriéré en lecture est resté sur le niveau d'un enfant plus jeune.Des tests appliqués en Angleterre à 35 enfants arriérés, et à 350 élèves de la Maternelle, ont démontré que les difficultés éprouvées dans la lecteur par les enfants arriérés étaient dues aux mêmes erreurs que celles commises par les commençants normaux.Les enfants se trompaient, par exemple, en confondant des lettres qui ont la même forme mais dont l'une est l'image retournée de l'autre; en confondant des lettres et des mots dont les formes se ressemblent, ils trouvent de la difficulté à construire on à analyser le mot.L'auteur suggère que cette diversité d'erreurs se réduit à deux principes psychologiques qui sont des traits essentiels de l'attitude psychologique de l'enfant, qui concentre son attention sur la “structure” sur la “forme générale,” et néglige certains détails, par exemple, la position dans l'espace et la “solidité” de la structure. Il y a une analogie avec le comportement psychologique des hommes primitifs.Une méthode qui part de “l'ensemble” aura plus de chances de réussir chez les commençants normaux, et les efforts de redressement devraient adopter une méthode analogue.Zusammenfassung.EINE VERGLEICHENDE UNTERSUCHUNG VON KINDERN, DIE LESESCHWACH SIND UND ANFÄNGERN IN DER KLEINKINDERSCHULE.Durch frühere Untersuchungen an deutschen Schulen gelangte Verfasserin zu der Vermutung, dass Leseschwäche bei normal intelligenten Kindern in der spezifischen Eigenart frühen kindlichen Wahrnehmens begründet ist, und dass das leseschwache Kind sich hinsichtlich seiner Wahrnehmungsfunktion auf jüngerer Stufe befindetIn England angestellte vergleichende Prüfungen an 35 lesegestörten Kindern und 350 Leseanfängern ergaben völlige Uebereinstimmung in der Art der Fehlleistungen. Diese bestanden in: Verwechseln von Buchstaben gleicher Struktur, die eine Art Spiegelbild darstellen, im Verwechseln von Buchstaben und Worten ähnlicher Struktur, in der Schwierigkeit der Wortsynthese und der Wortanalyse.Diese Fehlleistungen erklärt die Verfasserin aus zwei für das kindliche Wahrnehmen charakteristischen Eigenschaften: I. aus der für das Kind bestehenden Bedeutung der “Gesamtform,” der Struktur “neben der Nichtbeachtung gewisser Einzelheiten, u.a. der Raumlage, und 2. in der “Strukturfestigkeit.” Hierbei finden sich Analogien mit primitiven Völkern.Eine Leselehrmethode, die mit dem ganzen Wort oder Satz beginnt, scheint dieser psychischen Gegebenheit am
ISSN:0007-0998
DOI:10.1111/j.2044-8279.1935.tb03031.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1935
数据来源: WILEY
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8. |
THE USE OF MENTAL TESTS WITH UNIVERSITY WOMEN STUDENTS |
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British Journal of Educational Psychology,
Volume 5,
Issue 1,
1935,
Page 59-75
A. BARBARA DALE,
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PDF (855KB)
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摘要:
Résumé.L'EMPLOI DES TESTS D'INTELLIGENCE CHEZ DES ÉTUDIANTES D'UNIVERSITÉ.On appliqua à chaque étudiante entrée à Newnham College, Cambridge, pendant une époque de huit ans, des tests d'intelligence et l'on compara les résultats de ces tests avec ceux des examens universitaires, passés en y entrant, et pour obtenir le diplôme final de l'Université. Les résultats des tests indiquèrent un I.Q. moyen élevé; leur correlation avec les examens d'admissibilité était en général bas mais variable. Une contradiction marquée entre le résultat des tests et celui de l'examen d'admissibilité se manifesta chez un quart environ des sujets, mais ce ne fut que chez la moitié de ceux‐ci que le résultat des tests fournit un pronostic plus exact du succès universitaire. On en recueillit le témoignage indiscutable que le succès dans le travail supérieur et spécialisé de l'université dépend autant de facteurs intellectuels spécifiques que d'un facteur général, et que les tests d'intelligence ont peu de valeur dans le choix des étudiants aptes à faire des études spécialisées d'université.Zusammenfassung.DIE ANWENDUNG VON INTELLIGENZPRUFÜNGEN BEI UNIVERSITÄTS‐STUDENTINNEN.Seit acht Jahren wurde jede Studentin, die in das Newnham College, Cambridge, eintrat, Intelligenzprüfungen unterworfen, und die Testergebnisse wurden verglichen mit denen der Universitätsprüfungen, die bei der Aufnahme und für die Erlangung des akademischen Grades abgehalten wurden. Die Testergebnisse deuteten einen hohen Durchschnitt des Intelligenzquotienten an; ihre Korrelationen mit den Eintrittsprüfungen waren meistens niedrig oder veränderlich. Deutliche Widersprüche zwischen dem Testergebnis und dem Ergebnis der Eintrittsprüfung waren bei ungefähr einem Viertel der Fàlle vorhanden; aber nur bei der Hälfte von diesen galt das Testergebnis als die bessere Voraussage für den Erfolg des Studiums. Es bestand zweifelloser Beweis für die Tatsache, dass der Erfolg bei höherer und fachmännischer Arbeit an einer Universität ebenso sehr auf spezifischen geistigen Faktoren als auf einem allgemeinen Faktor beruht, und dass Intelligenzprüfungen von geringem Wert für die Auswahl
ISSN:0007-0998
DOI:10.1111/j.2044-8279.1935.tb03032.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1935
数据来源: WILEY
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9. |
ON THE MEASUREMENT OF “PERSEVERATION.” |
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British Journal of Educational Psychology,
Volume 5,
Issue 1,
1935,
Page 76-92
RAYMOND B. CATTELL,
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PDF (779KB)
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摘要:
Résumé.DE LA MESURE DE LA “PERSEVERATION.”On appliqua à 52 adultes une série de tests de “perseveration” diversement construits, et une série plus courte à 53 enfants, garçons et filles, de dix ans, 50 garçons de quatorze ans et 50 filles du même âge, dans le but général d'obtenir des améliorations dans la technique des tests “P.” On trouva chez les adultes des entre‐corrélations soutenant l'hypothèse d'un facteur général “P,” mais chez les entants les résultats étaient douteux.On fit une distinction entre des tests d' “alternance” et d'autres d' “effort créateur.” Dans les premiers on mesure la “perseveration” par le retard qui survient lorsque deux simples activités motrices alternent rapidement, dans les derniers par celui quand une activité familière est exécutée d'une façon absolument nouvelle. On trouva une saturation “P” plus grande avec le second type qu'avec le premier, mais les tests qui unissaient les deux principes étaient les meillieurs de tous.En prenant certaines précautions on réussit à réduire à un chiffre négligeable la corrélation (négative) des résultats “P” avec les résultats “G,” même chez les enfants.On découvrit que le résultat “P” diminue légèrement pendant l'enfance, pour augmenter après l'adolescence, rester constant pendant la vie adulte et augmenter un peu dans l'extrême vieillesse.La pratique diminue le résultat “P” dans tout test mais d'une façon plus importante dans les tests d' “effort créateur” que dans ceux d' “alternance.” Une étude intensive de trois garçons démontra que la “perseveration” augmente avec la fatigue pendant la journée.Zusammenfassung.MESSUNG DER PERSEVERATION.Eine Gruppe von neun verschiedentlich aufgestellten Perseverationstests wurden 52 Erwachsenen gegeben; eine kleinere Gruppe 53 zehn Jahre alten Knaben und Màdchen, 50 vierzehn Jahre alten Knaben und 50 Mädchen von vierzehn Jahren. Man beabsichtigte im allgemeinen Verbesserungen in Methoden der Perseverationstests zu erlangen. Bel den Erwachsenen entdeckte man bedeutungsvolle Interkorrelationen, die mit den Voraussetzungen eines allgemeinen P‐Faktors übereinstimmten, bei den Kindern liessen die Resultate Zweifel.Man unterschied zwischen Abwechslungstests und Tests schöpferischer Anstrengung. Bei jenen misst man Perseveration durch die hervorgebrachte Verzögerung wenn zwei einfache motorische Tâtigkeiten rasch abwechseln; bei diesen durch die Verzögerung wenn eine alte Betätigung auf eine ganz neue Weise aufgeführt wird. Grössere Perseverationssättigung wurde bei der zweiten als bei der ersten Sorte vorgefunden, aber die Tests, die beide Prinzipien vereinigten, waren die besten.Wenn man gewisse Vorsichtsmassregeln beobachtete, fand man, dass es möglich war, die (negative) Korrelation der Perseverationsergebnisse mit “g” auf eine nicht zu beachtende Zahl, auch bei Kindern herabzusetzen.Es wurde entdeckt, dass das Perseverationsergebnis während der Kindheit etwas abmimmt; nach der Adoleszenz nimmt es zu, und während des ganzen Lebens des Erwachsenen bleibt es stetig; im hohen Alter steigt es etwas.Ubung verringert das Perseverationsresultat bei irgend einem gegebenen Test, aber mehr bei Abwechslungstests als bei Tests schöp
ISSN:0007-0998
DOI:10.1111/j.2044-8279.1935.tb03033.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1935
数据来源: WILEY
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10. |
THE TETRAD CRITERION AND SCHOLASTIC EXAMINATIONS |
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British Journal of Educational Psychology,
Volume 5,
Issue 1,
1935,
Page 93-100
W. G. EMMETT,
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PDF (432KB)
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摘要:
Résumé.LE CRITÉRE “TETRAD” ET LES EXAMENS SCOLAIRES.La corrélation entre différentes branches des examens scolaires est due probablement à plusieurs facteurs généraux indépendants et d'autres facteurs groupés. et par conséquent on doit s'attendre à ce que les intercorrélations de telles branches ne satisfassent point le critère “tetrad” de la divisibilité en un facteur général et des facteurs spécifiques sans reste.J. H. Wilson a découvert qu'une série d'intercorrélations entre certaines branches d'un examen du “School Certificate” semblaient satisfaire le critère “tetrad,” et l'enquête actuelle s'occupe des raisons de cette contradiction.On trouva que l'influence de l'atténuation sur la proportion signifiante des différences “tetrad” était minime.Le procédé que l'on suit ordinairement dans l'analyse “tetrad” s'expose à la critique. Une difference “tetrad” ayant une proportion signifiante basse ne doit pas être considérée comme le témoignage du non‐départ du zéro, car si les premières corrélations sont basses et peu valables, l'augmentation dans la quantité de l'échantillon de population augmentera généralement la proportion signifiante. En plus le critère “tetrad” est en général un indicateur moins sensible des facteurs généraux indépendants que des facteurs groupés. Enfin, il est faux de conclure qu'une différence “tetrad” soit zéro lorsqu'elle est moins de cinq et même trois fois l'erreur probable.Zusammenfassung.DAS TETRADKRITERIUM UND SCHULPRÜFUNGEN.Die Korrelation zwischen verschiedenen Gegenständen von Schulprüfungen hängt wohl von mehreren unabhängigen allgemeinen und Gruppeneinflüssen ab und infolgedessen darf man erwarten, dass die Interkorrelation solcher Lehrfächer dem Tetradkriterium der Teilbarkeit in einen allgemeinen Faktor und spezifische Faktoren nicht ohne Rest entspricht.J. H. Wilson fand, dass eine Reihe von Interkorrelationen zwischen gewissen Fächern in einer englischen School Certificate (Zeugnis)—Prüiung dem Tetradkriterium scheinbar entsprachen, und die vorliegende Untersuchung beschäftigt sich mit den Gründen für diesen Widerspruch.Der Einfluss der Verminderung auf das Bedeutungsverhältnis der Tetraddifferenzen ergab sich als recht klein.Das gewöhnlich befolgte Verfahren betreffs Tetradanalyse kann kritisiert werden. Eine Tetraddifferenz mit einem geringen Bedeutungsverhältnis darf nicht ohne weiteres als Beweis für Abweichung von Null genommen werden, denn wenn die ursprünglichen Korrelationen gering und unzuverlässig sind, so wird eine Vermehrung der Zahl der Vp. das Bedeutungsverhältnis in der Regel vergrössern. Ferner, das Tetradkriterium ist im allgemeinen ein weniger empfindlicher Indikator von unabhängigen allgemeinen als von Gruppenfaktoren. Und schliesslich ist es nicht zuverlässig, wenn man den Schluss zieht, dass eine Te
ISSN:0007-0998
DOI:10.1111/j.2044-8279.1935.tb03034.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1935
数据来源: WILEY
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