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1. |
Editorial |
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Journal of Research in Reading,
Volume 9,
Issue 1,
1986,
Page 1-1
GREG BROOKS,
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ISSN:0141-0423
DOI:10.1111/j.1467-9817.1986.tb00105.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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2. |
Contributers |
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Journal of Research in Reading,
Volume 9,
Issue 1,
1986,
Page 2-2
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ISSN:0141-0423
DOI:10.1111/j.1467-9817.1986.tb00106.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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3. |
First vs second language comprehension: some evidence from text summarizing |
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Journal of Research in Reading,
Volume 9,
Issue 1,
1986,
Page 3-21
Ely Kozminsky,
Naomi Graetz,
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摘要:
ABSTRACTAn experiment was designed to test the hypothesis that second language (L2) students’approach to text reflects a top‐down processing strategy in contrast to first language (Ll) students’approach which is more text‐driven. Forty students in two Advanced Level English as a Foreign Language classes were asked to read authentic academic texts either in L2 (between words) or translated into their L1, and to write short (150–200 words) summaries of the texts in L1. To identify the reading process involved, the activities of underlining, marking, and note‐taking were analysed. The summaries were analysed according to eight categories of information grouped into four classes of operations: Selection, Abstraction, Cohesion, and Addition.As expected, L2 subjects studied the texts less efficiently than L1 subjects. Contrary to the hypothesis, L2 study activities focused more on the word level than did the L1 activities which related more to the paragraph structure. L2 subjects used fewer of their text‐generated activities in the summaries when compared with L1 subjects However, L2 summaries contained more abstraction operations when compared with L1 summaries which contained more copy operations. It has been suggested that the L2 reading process is fragmented or knowledge‐based rather than interactive. The instructional implications are that L2 students will be directed to extract the maximum amount of information at the paragraph level rather than to do so on the global level of the entire article.RÉSUMÉCompréhension de langue primaire vs. langue secondaire: quelque évidence dérivée de résumé de texteDeux stratégies contrastantes d'étude de texte, des stratégies de processus de haut enbas (actionné conceptuellement) et de bas en haut (actionné par le texte), étaient employées afin de comparer l'approche d'étudiants de langue secondaire (L2) et de langue primaire (Ll) à la lecture et àla faculté de résumer un texte académique. L'hypothèséétait que des étudiants L2 seraient plus actionnés conceptuellement quedes étudiants L1 budiant les mémes textes et, comme les premiers ont moins deresources de langue dans la langue secondaire comparée àleur langue natale, ceciserait reflété dans leurs activités de lecture et dans leurs modéles de résumé.Un essai était créé pour tester ces hypothéses. Quarante étudiants dans deux classes d'Anglais comme Langue Etrangére de Niveau Avancé ont été priés de lire des textes académiques authentiques, soit dans L2 (des textes anglais originaux d'entre 3345 mots), soit traduits dans leur L1 (hébreu), et d'écrire de courts résumés (150–200 mots) de ces textes en L1. Afin d'identifier le processus de lecture impliqué, les activitiés de souligner, les marques, et la prise de notes étaient analysées. Les résumés étaient analysés selon quatre catégories d'information principales, chaque catégorie étant encore divisée en deux sous‐catégories:SélectionAbstractionCohéionAdditionCopieGénéralisationOrganisationSpécificationParaphraseCombinaisonCoürdinationEvaluation.Pris ensembles, les résultats confirmaient les différences supposées entre l'étude de L1 et de L2 et le fonctionnement de résumé. Comme attendu, L2 sujets étudiaent les textes moins efficacement que des sujets L1. Les activités d'étude L2 se concentraient plus sur le niveau des mots dans les textes, tandis que les activités L1 se rapportaient plus à la structure des paragraphes. Bien que ce résultat peut être vu comme étant inconsistent avec l'hypothèse mentionnée, séparant les issues d'une approche stratégique à I'étude des textes L2 et àla qualité des données disponibles du texte (l'interprétation du texte L2 au niveau du mot), il peut expliquer l'attention au niveau du mot comme des essais de déodage non réssis. compensés par des conjectures dépendantes du contexte. Des sujets L2 utilisaient moins d'activités produites par le texte dans les résumés comparés aux sujets L1. Cependant, les résumés L2 contenaient plus d'operations d'abstraction comparés aux résumés L1 qui contenaient plus d'opérations de copies.Basé sur ces trouvailles il a été suggéré que le processus de lecture L2 est fragmenté ou basé sur la logique plutüt que d' être interactif et que les résumés L2 étaient prédisposés en représentant la signification du texte. Aussi, il est possible que les étudiants sont incapables de faire face àdes demandes augmentées de mémoire lorsqu'ils étudient des textes L2.Les implications pédagogiques sont de diriger des étudiants L2
ISSN:0141-0423
DOI:10.1111/j.1467-9817.1986.tb00107.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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4. |
Context and the spelling‐to‐sound regularity effect in pronunciation |
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Journal of Research in Reading,
Volume 9,
Issue 1,
1986,
Page 22-30
Alan J. Parkin,
Alison Llett,
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摘要:
ABSTRACTIn this experiment subjects read aloud an incomplete sentence and then pronounced a target word that completed the sentence. Target words were either irregular in their spelling‐to‐sound correspondence (e.g. PINT, DEAF) or regular (e.g. PILL, DUCK). The incomplete sentences were either specific, in that the sentence predicted the final word with a high degree of probability (e.g. ‘he ordered a medium rare …') or general (e.g. ‘her favourite meat was …’). Pronunciation latencies were strongly affected by the type of preceding sentence, with the specific sentences producing shorter latencies than the general sentences. A regularity effect was also found but only in the general sentence condition. Provision of a specific sentence produced similar pronunciation latencies for regular and irregular words. The data show that the regularity effect occurs in a reading task that has more in common with normal reading than previous paradigms that have explored this effect. Explanations of the interaction between context and regularity are briefly considered.RÉSUMÉLe contexte et I'effet de régularité d'orthographe‐au‐son dans la prononciationUn nobre d'études ont montré que des mots anglais avec une correspondance irréguliére d'orthographe‐au‐son (e.g. PINT, DEAF) produisent une période de latence plus longs que des mots réguliers (e.g. PILL, DUCK). Un cwactéristique de toutes ces études est le fait que les mots ont été présentés isolément. Ce paradigme manque de validité externe puisque des mots sont rencontrés d'habitude dans un contexte de phrase. Afin d'établir si ces effets de régularité d'orthographe‐au‐son ont une signification plus large, l ‘étude présente mesurait la période de latence de prononciation pour des mots réguliers et irréguliers lorsqu’;ils sont présentés dans une phrase. L'expériment utilisait la technique rapportée par Stanovich et West (1983): à chaque essai le sujet voyait un cadre de phrase incompléte dans lequel le dernier mot était omis. Le sujet devait lire la phrase à haute voix et lorsque le mot avant‐dernier avait été lu, le dernier mot était exposé. La variable dépendante était la période de latence de prononciation pour ce mot final. I1 y avait deux types de cadre de phrase, ‘spécifique’dans lequel la phrase prédisait le mot final avec un grand degré de probabilité (e.g. ‘he ordered a medium rare …’) ou ‘général’dans lequel le mot final ne pouvait être prédit (e.g. ‘her favourite meat was …’).Dans le contexte général les péiodes de latence de prononciation de condition envers des mots irréguliers était, de maniére significative, plus longs que ceux pour des mots réguliers (607 versus 591 msec.). Avec des contextes spéifiques les périodes de latence étaient plus rapides et il n'y avait aucun effet d'irrégularité d'orthographe‐au‐son (518 versus 525 msec.).La démonstration d'un effet de régularité dans la condition du contexte général mais non dans la condition spécifique suggére que l'effet de régularité dans la prononciation persiste dans une tâiche expérimentale qui se rapproche plus de notre expérience normale de lecture. Dans un texte normal il est peu commun de trouver beaucoup de phrases qui fournissent des contextes si prophétiques que ceux utilisés dans la condition spécifique. La plus grande partie de texte a plus en commun avec la condition générale et c'est ici que des effets d'irrégularitéétaient trouvés.Pourquoi l'effet de régularité se produirait‐il seulement dans des contextes généraux? Le modéle de prononciation ‘deux routes’affirme qu'un mot peut être prononcé, soit en rendant son entrée lexicale accessible, soit par l'application de régles d'orthographe‐au‐son non‐lexicales. On assume que ces deux routes opérent parallélement. On pense que l'effet d'irrégularité se produit à cause d'un faux‐assortissement entre les débits des deux routes. L'effet de contexte spécifique serait d'accélérer la prononciation par moyen de la route lexicale parce que le seuil de l'entrée lexicale de but serait temporairement baissé. Cette augmentation de vitesse peut être si grande qu'elle empêhe n'importe quel débit de la route non‐lexicale qui est impliquée dans le processus de prononciation. Pour cette raison la base de l'effet de régularité est enlevée.Un modéle alternatif de prononciation est ‘activation‐synthése’. Ici, toute prononciation est dérivée de savoir lexical. Des effets de régularité surgissent lorsqu'il y a un conflit entre des entrées lexicales concernant la prononciation d'un fil de lettres. Bien que toutes sources lexicales contribuent à l'assemblée de prononciation, il est supposé que l'entrée lexicale particuliére au but est la plus saillante. L'interaction de contexte‐par‐régularité, observée ici, pourrait être expliquée par I'argumentation qu'elle servait à rendre l'entrée lexicale de b
ISSN:0141-0423
DOI:10.1111/j.1467-9817.1986.tb00108.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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5. |
Proofreading: visual, phonological, syntactic or all of these? |
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Journal of Research in Reading,
Volume 9,
Issue 1,
1986,
Page 31-38
Pekka Niemi,
Markku Virjamo,
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PDF (447KB)
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摘要:
ABSTRACTA proofreading task was employed to investigate whether function and content words are processed differently in a text. Both categories included misprints created by substituting one letter in the middle of the word for another letter. The frequency and length of the words were controlled by utilizing the Finnish language which has appropriate material among its 100 most frequent words.Misprints were hardest to detect in words which retained the original visual shape. Short words prevented detection of misprints more than long words. However, there was an interaction between word type and length such that short function words and long content words prevented detection of misprints most. An ex post facto analysis showed that the effect of visual shape was confounded with phonological/orthographic legality. The strongest effects were obtained with illegal strings irrespective of the visual shape of the misprint.RÉSUMÉCorrection sur épreuves: visuel, phonologique, syntactique ou toutes ces qualiébs ensemble?Une tâche de correction sur épreuves était employée afin d'investiguer si des mots de fonction et de contenu sont traités de maniére différente dans un texte. Le point de départ était l'ktude rapportée par Haber et Schindler (1981), qui trouvaient que des mots de fonction courts cachent plus largement leurs erreurs typographiques que des mots de contenu courts. L'effet était particuliérement fort, si le mot avec une erreur typographique retenait la forme visuelle originale. Cependant, il est difficile de faire des comparaisons entre des mots de fonction et des mots de contenu dans la langue anglaise parce qu'il y a une nette fréquence plus grande de mots de fonction. Par conséquence, il est presque impossible de trouver des mots de contenu équivalents. Cependant, ces possibilités sont offertes par la langue finlandaise qui exhibe une distribution de fréquence raisonablement balancée entre des mots de fonction et des mots de contenu parmi ses 100 mots les plus habituels.49 sujets participaient sous dew conditions. L'expériment original de Haber et Schindler (1981) était reproduit d'abord et, deuxiémement, la fréquence de mots était balancée entre des mots de fonction et des mots de contenu. Des erreurs typographiques étaient créées par moyen de substitution d'une lettre au milieu d'un mot. La moitié des mots avec des erreurs typographiques retenaient la forme visuelle originale (descendant/ascendant) tandis que l'autre moitié ne la faisait pas. L'expériment total consistait d'un type en‐dedans‐de‐sujets de 2×2×2×2, comportant les variables suivantes: fréquence de mots, mot fonction/contenu, longueur de mot, et forme visuelle de l'erreur typographique.L'analyse de variance montrait que des erreurs typograpiques étaient le plus difficile à découvrir dans des mots qui retenaient la forme visuelle originale. D'ailleurs, des mots courts empêhaient plus la découverte d'erreurs typographiques que des mots longs. Ces résultats confirment ceux rapportés par Haber et Schindler (1981). Cependant, une inspection plus profonde des données suggérait que quelques erreurs typographiques étaient exceptionnellement difficiles à découvrir bien que leur forme visuelle différa de l'original. Une analyse ex post facto montrait qu'il y avait plusieurs de mots de ce genre. Un caractéristique commun partagé par ces mots était que leurs erreurs typographiques étaient légales au niveau phonologique, c'est à dire ils conformaient aw régles de prononciation de la langue finlandaise. Parce qu'il y a une correspondance proche à un‐à‐un entre I'orthographe et la prononciation finlandaise, la légalité phonologique détermine naturellement la légalité orthographique. En somme, l'effet de Iégalité phonologique/orthographique apparaissait d'outrepasser l'effet de forme visuelle.Un résultat additionnel était une forte action réciproque entre longueur de mot et type de mot, à ce point où des erreurs typographiques étaient surtout difficiles à découvrir dans des mots de fonction courts et des mots de contenu longs. Cette action réciproque suggére l ‘opération de deux processus différents lorsqu'on corrige un texte sur épreuves. Lire des mots de fonction ressemble à la vérification d'une conjecture et est simplement un processus attentionel qui manque d'aspects élaboratifs. Des mots de fonction courts sont sautés parce que leur message est rendu évident par le texte précédant. La correction sur épreuves de mots de contenu peut être un processus élaboratif ainsi qu'étant attentionel. Une erreur typographique au milieu de mots de contenu courts endommage des structures de signification essentielles, par exemple radical d'un mot, inflexions, et suffixes de cas. Dans des mots de contenu longs ces parties c
ISSN:0141-0423
DOI:10.1111/j.1467-9817.1986.tb00109.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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6. |
Remediating specific reading disabilities: a review of approaches |
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Journal of Research in Reading,
Volume 9,
Issue 1,
1986,
Page 39-55
Carolyn Hicks,
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摘要:
ABSTRACTThere are vast numbers of remedial methods and techniques available to the teacher of Specific Reading Disabled children. This article is an attempt to present the empirical evidence for and against each of the major approaches, in order to guide the educator in the selection of appropriate remediation. The aproaches are divided into the following categories: 1. The Process Approaches, which train visual and auditory perceptual skills with the aim of producing overall literacy gains; 2. The Specialist Methods, which focus on a single, global teaching strategy for all SRD children; and 3. The Modality/Treatment Interaction Methods which attempt to identify individual profiles of skills and deficits and then tailor the remediation to these, by concentrating on the strengths or the weaknesses, or both. The evidence for each approach is presented with a view to dispelling the intuitive processes sometimes involved in the choice of remedial programmes.RÉSUMÉRemédiant des handicaps spécifques de lecture: une révision d'approchesII y a un nombre de méthodes d'enseignement disponibles pour l'utilisation avec des enfants possédant des handicaps de lecture spéifiques (SRD), bien qu'il y ait peu d'évidence empirique pour guider le choix de I'éducateur envers une technique appropriée. Cet exposé tente de réviser et d'évaluer les stratégies d'enseignement principales.Essentiellement des approches réparatrices pour des enfants SRD peuvent être classifiées sous trois en‐têes principales: a) des approches de processus, qui exercent les habilités néessaires au préalable, visuelles et auditoires, pour la lecture, supposant qu'exercer des sous‐habilités menera á une amélioration globale de la lecture; b) des approches de spécialistes qui ont été dévelopées pour usage particulier avec tous les enfants SRD, sans tenir compte du profile des habilités et des déficits des individuels; et c) des Méthodes d'Interaction Modalité/Traitement qui idenifient le modéle des forces et des faiblesses de l'individuel et ensuite inventent un programme réparateur façonné selon ce profile.Des approches de processus ont trouvé peu de support empirique, pour trois raisons. Premiérement, beaucoup de ces études sont imparfaites au niveau méthodologique: de celles qui satisfont les demandes fondamentales d'une expérience, seulement une minorité démontrent une relation entre instruction perceptuelle et gain du savoir de lire et d'écrire. En plus, en dépit de ces gains, il n'y avait pas d'amélioration significative dans l'instruction de l'habilité perceptuelle, de ce fait corrompant le lien causatif quelconque entre les deux. Deuxiémement, il y a une évidence considérable que des habilités perceptuelles fondamentales ne peuvent être formées du tout. Troisitmèment, un nombre de tests perceptuels utilisés dans l'évaluation sont d'une valeur psychométrique douteuse.L'approche des spéialistesassume que des enfants SRD sont relativement homogénes en ce qui concerne leurs problémes, et par conséquent emploient une technique réparatrice globale. Ces méthodes peuvent être critiquées de plusieurs façons; premiérement, il y a une évidence considérable qui suggére que pas tous les retardés de lecture font défaut pour la meme raison et donc employer une seule méthode pour tous les enfants égale à nier la complexité de l'habilité et du probléme. Deuxiémement, par définition, les approches sont spécialisées dans leur techniques, matériaux et demandes, ce qui necessairement restreint leur disponibilité. Troisiémement, beaucoup de ces approches sont assez rigides et de là limitent le potentiel pour l'instruction individualisante. Quatriémement, ils manquent d'un support empirique adéquat.Les techniques d'Interaction Modalité/Traitementassument que parmi des retardés de lecture il est possible d'identifier des sous‐types possédant des modèles de forces et de faiblesses caractéristiques. Sur cette base, alors, des programmes d'éducation peuvent être dévelopés qui servent les besoins spécifiques de chaque enfant. Cependant, cette approche présente trois difficultés principales: premiérement, il y a un argument considérable si oui ou non des modèles de fonctionnement peuvent être identifiés de manière adéquate; deuxiémement, même s'il existe la possibilité de montrer que des sous‐types de difficultés de lecture existent, il y a peu d'évidence objective si oui ou non la méthode réparatrice devrait se concentrer sur le développement des forces, des faiblesses ou d'une combinaison des deux; troisièmement, les hypothtses profondes de l'évaluation psychométrique utiliseés pour identifier des sous‐types d'handicaps de lecture sont en question, spécialement en termes de leur validit
ISSN:0141-0423
DOI:10.1111/j.1467-9817.1986.tb00110.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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7. |
Cues used by two groups of remedial readers in identifying words in isolation |
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Journal of Research in Reading,
Volume 9,
Issue 1,
1986,
Page 56-68
William T. Fagan,
Ruth L. Eagan,
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PDF (653KB)
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摘要:
ABSTRACTWord identification constitutes one of the main tasks that children must become proficient in if they are to become competent in reading. In this study 275 responses to test words in isolation were analysed to determine which word cues were being used. The responses came from seven students who made gains of at least two years in a remedial reading programme, and from six students who made zero gains. The words came from pretest and posttest situations and included real and pseudoword responses to the test words.Results indicated that the gain group were more analytical of the test words and tended to use more units of varying sizes. Such units were accessed more frequently from words for which real word responses were not available. More ascending, descending, medial and final cues were also used in producing such responses, thus suggesting the tendency of this group of readers to become more analytical of a word in producing responses.RÉSUMÉDes ‘cues’ utilisés par dews groupes de lecteurs remnédiables dans I'identifcation de mots isoltésLa lecture est un processus interactif dans lequel le savoir du lecteur et du texte sont utilisés afin de produire une signification. L'identification de mots est néessaire pour le commencement de ce processus interactif. Il y a eu un grand nombre de polémiques dans la littérature au sujet de la nature de l'unité perceptuelle dans l'identification de mot. Anderson (1977) fait remarquer que l'identification de mot n'est pas purement une tâche perceptuelle mais qu'elle implique I'information disponible dans la mémoire de longue durée. Adams (1978) croît que la lettre est l'unité d'analyse perceptuelle, mais la lettre n'est pas indépendante de son environnement. Ainsi, aussitôt qu'on prête attention à une lettre, les lettres adjacentes sont également traitées. Quelles lettres sont traitées dépendra de la relation établie par expérience et disponible à la mémoire de longue durée.Un but de cette étude était d'analyser les réponses d'identification de mots de deux groupes de lecteurs remédiables en fonction de I'unité de dimension de lettre rendue accessible par moyen de mots de test en ‘cuant’ une réponse. La dimension de l'unité rendue accessible avait rapport a la fréquence du mot comme détermint par Carroll, Davies et Richman (1971). On notait aussi d'autres ‘cues’ comme des lettres ascendantes et descendantes et la position de lettres.L'échantillon pour cette étude consistait de sept lecteurs remédiables qui gagnaient de deux ans d'un programme de lecture remédiable, et de six lecteurs (groupe sans gains) qui ne montraient aucun gain. Les âges chronologiques moyens des ces groupes étaient, respectivement, 11 ans et 9 mois, et 12 ans et 2 mois. 275 réponses à des mots de test en isolation étaient analysées. Les réponses venaient de listes de mots administerées dans des conditions pré‐et post‐test et consistaient de mots rées et de pseudo‐mots.Les résultats indiquaient que le groupe qui obtenait des gains utilisait, de manière significative, plus d ‘unités et d'unités de plus grandes dimensions en rendant accessible une réponse et augmentait cet usage du pré‐test au post‐test. Ces lecteurs utilisaient plus de ‘cues’ de lettres descendants et, également, ils augmentaient leurs usages de ‘cues’ des lettres descendantes et ascendantes au post‐test. La position initiale d'un mot était un ‘cue’ saillant pour les deux groupes et chaque groupe augmentait leur usage de ‘cues’ de positions de mot médiaes et finales. La fréquence de mots n'avait aucune relation la nature du ‘cue’ de dimension de mot rendu accessible.La nature des ‘cues’ utilisés semblait dépendre de, si oui ou non, une vraie réponse au mot était disponible. Si une réponse à un mot réel n'était pas disponible et un pseudo‐mot devait être donné, le groupe montrant des gains avait la tendance d'être plus analytique en ce qui concerne le mot de test; en celà qu'ils utilisaient un plus grand nombre de ‘cues’ en produisant une réponse. Ces lecteurs semblaient plus sensibles à la nature des demandes de tàche.En général, les résultats supportent le débat d'Adams (1978) que des réponses de lecteurs meilleurs sont influenckés, pas seulement par une seule lettre, mais par une lettre en relation à son environnement. Les résultats ont des implications pour la provision de mots rkels dans la mémoire de longue durée, et le besoin des lecteurs de prendre connais
ISSN:0141-0423
DOI:10.1111/j.1467-9817.1986.tb00111.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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8. |
Book reviews |
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Journal of Research in Reading,
Volume 9,
Issue 1,
1986,
Page 69-70
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PDF (481KB)
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摘要:
Book reviewed in this article:EWING, J. (ed.) (1985)Reading and the New TechnologiesMILLER, J. (ed.) (1984)Eccentric Propositions: essays on literature and the curriculumEVANS, MARTHA M. (1982)Dyslexia: an annotated bibliographyBRITTON, B.K. and BLACK, J.B. (eds) (1985)Understanding Expository Text: a theoretical and practical handbookTOPPING, K. and WOLFENDALE, s. (eds) (1985)Parental Involvement in Children's ReadingD.R. ROGERS and J.A. SLOBODA (eds) (1983)The Acquisition of Symbolic Skiffs
ISSN:0141-0423
DOI:10.1111/j.1467-9817.1986.tb00112.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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9. |
Notices |
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Journal of Research in Reading,
Volume 9,
Issue 1,
1986,
Page 76-78
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PDF (143KB)
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ISSN:0141-0423
DOI:10.1111/j.1467-9817.1986.tb00113.x
出版商:Blackwell Publishing Ltd
年代:1986
数据来源: WILEY
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