Abstract:This essay puts forward a reformulation of the federal government's aging policy and is intended to bring out the diversity of policy processes that operate in this field of political action. Four policy arenas are identified: the large‐new, large‐old, small‐new, and small‐old. Applying this typology, it becomes apparent that the existing Canadian age‐policy literature has been mostly concerned with just one of these four categories, namely the large‐new, while tending to neglect the other three. Since the roles of senior citizen organizations and the federal bureaucracy, although acknowledged in previous writing, have not been specified precisely nor fully analysed, special attention is devoted to them. While both of these forces are shown to exercise some considerable influence over aging policy in Ottawa, the relative extent of their influence is seen to vary among the various arenas, with the senior citizen groups tending to have their greatest influence in advancing “new” policy proposals ‐ both large and small ‐ while the bureacracy is found to exert its impact more with respect to existing (“old”) programs, both large and small. The results make it possible to identify with some precision the particular functions fulfilled by each of these forces in the policy process.Sommaire: Cet article présente une reformulation de la politique du gouvernement fédéral concernant le vieillissement et vise á mettre en lumiére la diversité des processus politiques à l'oeuvre dans ce domaine. Quatre arénes de politiques sont identifyées: les majeures‐nouvelles, les majeures‐anciennes, les mineures‐nouvelles et les mineures‐anciennes. L'application de cette typologie fait apparaître clairement que la littérature existante sur la politique du vieillissement au Canada s'est surtout in‐teressée à une seule de ces quatre catégories, celle des majeures‐nouvelles, et qu'elle à eu tendance à négliger les trois autres. Étant donné le peu de cas qu'ont fait les ouvrages antérieurs du rôle joué par les organismes de personnes âgées et par la bureaucratie fédérate, l'auteur lui accorde ici une attention particuliére. Bien qu'il ressort que l'une et l'autre de ces forces exercent une influence considérable sur la politique du vieillissement à Ottawa, on voit que l'ampleur relative de leur influence varie suivant les diverses arénes. Les organismes de personnes âgées tendent àêtre les plus influents dans la mise de 1'avant de “nouvelles” propositions de politique‐ qu'elles soient majeures ou mineures ‐ alors que la bureaucratie a davantage d'im‐pact sur les programmes actuels (“anciens”), qu'ils soient majeurs ou mineurs. Les résultats permettent ainsi d'identifier avec