SummaryWe conducted nine road surveys for birds of prey from 12 January to 17 March 1990 in Nairobi National Park and in an adjacent area dominated by subsistence agriculture and livestock grazing in southern Kenya. We observed an average of 4–27 raptors/km inside the park and 040 raptors/km outside the park (P<0–005). Excluding very abundant species [lesser kestrels (Falco naumanni) and vultures; 72‐6% of all observations] and species associated with human settlements [black kites (Milvus migrans); 8.9% of all observations], raptors were observed more frequently in the park (0–47 raptors/km) than outside the park (0–23 raptors/km) (P<001). Although species richness was similar inside (18 species) and outside (22 species) the park, eagles, vultures, and lesser kestrels were seen more frequently inside the park and some infrequently observed species were only seen either inside or outside the park. These results reflect the differences in land‐use practices inside and outside of the park, and suggest significant changes in raptor community structure (species richness, density, and species identity) related to human land use.RésuméNous avons mené par la route neuf comptages des oiseaux de proie, du 12 Janvier au 17 mars 1990, dans le Parc National de Nairobi et dans une zone adjacente où l'on pratique une agriculture de subsistance et l'élevage de bétail, dans le sud du Kenya. Nous avons observé une moyenne de 4,27 rapaces/km à l'intérieur du pare et 0,40 rapaces/km à l'extérieur du pare (P<0,005). En excluant les espèces très abondantes (le faucon crécerellette,Falco naumanni, et les vautours, 72,6% de toutes les observations) et les espéces associées aux installations humaines (le milan noir,Milvus migrans, 8,9% de toutes les observations), on a observé les oiseaux de proie plus souvent dans le pare (0,47 rapaces/km) qu'en dehors (0,23 rapaces/km) (P<0,01). Bien que la richesse en espèces soit comparable dans (18 espèces) et en dehors du pare (22 espèces), les aigles, les vautours et les faucons crécerellettes se rencontrent plus souvent dans le pare, et quelques espèces rarement observées ne se trouvaient que soit dans, soit hors du pare. Ces résultats refletent les différences entre les pratiques d'utilisation du sol dans et en dehors du pare et suggèrent des changements significatifs dans la structure de la communauté des rapaces (richesse en espèces, densité et identité des esp