首页   按字顺浏览 期刊浏览 卷期浏览 Proofreading: visual, phonological, syntactic or all of these?
Proofreading: visual, phonological, syntactic or all of these?

 

作者: Pekka Niemi,   Markku Virjamo,  

 

期刊: Journal of Research in Reading  (WILEY Available online 1986)
卷期: Volume 9, issue 1  

页码: 31-38

 

ISSN:0141-0423

 

年代: 1986

 

DOI:10.1111/j.1467-9817.1986.tb00109.x

 

出版商: Blackwell Publishing Ltd

 

数据来源: WILEY

 

摘要:

ABSTRACTA proofreading task was employed to investigate whether function and content words are processed differently in a text. Both categories included misprints created by substituting one letter in the middle of the word for another letter. The frequency and length of the words were controlled by utilizing the Finnish language which has appropriate material among its 100 most frequent words.Misprints were hardest to detect in words which retained the original visual shape. Short words prevented detection of misprints more than long words. However, there was an interaction between word type and length such that short function words and long content words prevented detection of misprints most. An ex post facto analysis showed that the effect of visual shape was confounded with phonological/orthographic legality. The strongest effects were obtained with illegal strings irrespective of the visual shape of the misprint.RÉSUMÉCorrection sur épreuves: visuel, phonologique, syntactique ou toutes ces qualiébs ensemble?Une tâche de correction sur épreuves était employée afin d'investiguer si des mots de fonction et de contenu sont traités de maniére différente dans un texte. Le point de départ était l'ktude rapportée par Haber et Schindler (1981), qui trouvaient que des mots de fonction courts cachent plus largement leurs erreurs typographiques que des mots de contenu courts. L'effet était particuliérement fort, si le mot avec une erreur typographique retenait la forme visuelle originale. Cependant, il est difficile de faire des comparaisons entre des mots de fonction et des mots de contenu dans la langue anglaise parce qu'il y a une nette fréquence plus grande de mots de fonction. Par conséquence, il est presque impossible de trouver des mots de contenu équivalents. Cependant, ces possibilités sont offertes par la langue finlandaise qui exhibe une distribution de fréquence raisonablement balancée entre des mots de fonction et des mots de contenu parmi ses 100 mots les plus habituels.49 sujets participaient sous dew conditions. L'expériment original de Haber et Schindler (1981) était reproduit d'abord et, deuxiémement, la fréquence de mots était balancée entre des mots de fonction et des mots de contenu. Des erreurs typographiques étaient créées par moyen de substitution d'une lettre au milieu d'un mot. La moitié des mots avec des erreurs typographiques retenaient la forme visuelle originale (descendant/ascendant) tandis que l'autre moitié ne la faisait pas. L'expériment total consistait d'un type en‐dedans‐de‐sujets de 2×2×2×2, comportant les variables suivantes: fréquence de mots, mot fonction/contenu, longueur de mot, et forme visuelle de l'erreur typographique.L'analyse de variance montrait que des erreurs typograpiques étaient le plus difficile à découvrir dans des mots qui retenaient la forme visuelle originale. D'ailleurs, des mots courts empêhaient plus la découverte d'erreurs typographiques que des mots longs. Ces résultats confirment ceux rapportés par Haber et Schindler (1981). Cependant, une inspection plus profonde des données suggérait que quelques erreurs typographiques étaient exceptionnellement difficiles à découvrir bien que leur forme visuelle différa de l'original. Une analyse ex post facto montrait qu'il y avait plusieurs de mots de ce genre. Un caractéristique commun partagé par ces mots était que leurs erreurs typographiques étaient légales au niveau phonologique, c'est à dire ils conformaient aw régles de prononciation de la langue finlandaise. Parce qu'il y a une correspondance proche à un‐à‐un entre I'orthographe et la prononciation finlandaise, la légalité phonologique détermine naturellement la légalité orthographique. En somme, l'effet de Iégalité phonologique/orthographique apparaissait d'outrepasser l'effet de forme visuelle.Un résultat additionnel était une forte action réciproque entre longueur de mot et type de mot, à ce point où des erreurs typographiques étaient surtout difficiles à découvrir dans des mots de fonction courts et des mots de contenu longs. Cette action réciproque suggére l ‘opération de deux processus différents lorsqu'on corrige un texte sur épreuves. Lire des mots de fonction ressemble à la vérification d'une conjecture et est simplement un processus attentionel qui manque d'aspects élaboratifs. Des mots de fonction courts sont sautés parce que leur message est rendu évident par le texte précédant. La correction sur épreuves de mots de contenu peut être un processus élaboratif ainsi qu'étant attentionel. Une erreur typographique au milieu de mots de contenu courts endommage des structures de signification essentielles, par exemple radical d'un mot, inflexions, et suffixes de cas. Dans des mots de contenu longs ces parties c

 

点击下载:  PDF (447KB)



返 回