Résumé.LES RAPPORTS DES APTITUDES SCOLAIRES.Le but de l'enquête actuelle était de décider si les rapports entre les aptitudes scolaires pouvaient s'expliquer uniquement par un seul facteur central ou si (comme l'on suggéra dans une recherche antérieure) ils impliquent aussi l'existence de facteurs collectifs. 613 enfants de dix ans ont été examinés au moyen des tests établis dans les domaines de l'instruction les plus répandues, et les corrélations soumises à l'analyse en facteurs par chacune des méthodes bien‐connues. En particulier la “méthode des facteurs collectifs,” employée d'abord en 1913, a été rappliquée, et l'on a découvert qu'elle fournit des résultats qui concordent avec ceux donnés par des méthodes plus récentes; à vrai dire, elle semble offrir un moyen beaucoup plus facile et plus exact de déterminer “les aptitudes intellectuelles primaires” qui ceux qui obligent à dresser d'abord une série de facteurs indépendants au moyen de quelque “méthode de facteurs centraux,” pour faire “tourner” ces axes de facteurs jusqu‘à ce qu'on obtienne une “structure simple.” Les mesures des facteurs fournies par les méthodes de facteurs centraux expriment, comme on le démontre, les différences entre les mesures des facteurs fournies par les méthodes des facteurs collectifs.Les facteurs découvertes à la fin sont presque identiques avec ceux de la recherche originale, à savoir, (i) un facteur central, (ii) un verbal, (iii) un arithmétique et (iv) un manuel. Le “critère de la symétrie” démontre que les facteurs restent à peu près constants chez les différents groupes d‘élèves; ils semblent donc expliquer les formes principales de l'aptitude et de l'inaptitude, générale et spécialisée, qu'on peut remarquer chez les élèves.Zusammenfassung.DIE VERHÄLTNISSE ZWISCHEN ERZIEHERISCHEN FÄHIGKEITEN.Die vorliegende Untersuchung sollte feststellen, ob die Verhältnisse zwischen erzieherischen Fähigkeiten allein durch einen einzelnen allgemeinen Faktor erklärt werden können, oder ob (wie anfangs in einer früheren Untersuchung angedeutet wurde) sie auch auf das Vorhandensein von Gruppenfaktoren hinwiesen. 613 10‐jährige Kinder wurden durch Standardtests der üblicheren Schulfächer geprüft und die Korrelationen wurden der Faktorenanalyse durch jede bekannte Methode unterworfen. Insbesondere hat man die ursprünglich 1913 gebrauchte “Gruppen‐aktorenmethode” von neuem angewendet. Diese hat Resultate ergeben, die mit den Resultaten neuerer Methoden übereinstimmen: sie scheint in der Tat ein viel leichteres und zuverlässigeres Mittel zu sein, um geistige Grundfähigkeiten zu bestimmen als jene bei denen zuerst eine Gruppe unabhängiger Faktoren durch eine “allgemeine Faktorenmethode” hergeleitet werden muss, sodass man diese Faktorenachse “rotieren” lässt, bis “ein einfacher Bau” erzielt wird. Die von den allgemeinen Faktorenmethoden gelieferten Faktorenmassen weisen Unterschiede gegenüber den von Gruppenfaktorenmethoden gelieferten Faktorenmassen auf.Die schliesslich entdeckten Faktoren sind mehr oder minder identisch mit denen, die man bei der ursprünglichen Untersuchung entdeckt, nämlich:(1) Ein allgemeiner(2) Ein Wort‐(3) Ein Rechen‐, und(4) Ein Fingerfertigkeitsfaktor.Das “Kriterium der Symmetrie” zeigt, dass die Faktoren von einer Schülergruppe zur anderen wesentlich dieselben bleiben: sie scheinen also für