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What's the title? A case study of questioning in reading

 

作者: Hans Meij,  

 

期刊: Journal of Research in Reading  (WILEY Available online 1993)
卷期: Volume 16, issue 1  

页码: 46-56

 

ISSN:0141-0423

 

年代: 1993

 

DOI:10.1111/j.1467-9817.1993.tb00034.x

 

出版商: Blackwell Publishing Ltd

 

数据来源: WILEY

 

摘要:

RÉSUMÉQu'est‐ce que c'est que le titre?On a observé des paires d'enfants de 4° d 6° année lors de la lecture d'un texte. Les enfants ont pose des questions sur le texte et ont posé ces questions pendant une discussion en classe sur ce texte. Ces observations ont été raealisées dans le but de découvrir les relations entre ce que les enfants demandent, la façon dont ils le demandent et en quoi le contexte affecte le questionnement.En moyenne, les enfants ont posé environ douze questions pour des textes de 400 à 600 mots. A peu près soixante pour cent de ces questions étaient des questions simples portant sur une seule ligne du texte. Une question typique est:‘Quel était le nom du père de Ivik?'. Pour produire une question de ce type il fallait surtout trouver la phrase exacte dans le texte. Par conséquent, la formulation était facile et conduisait presque toujours à une question fermée (par exemple, une question oui/non). Environ vingt pour cent des questions demandaient aux enfants B partager une expérience. Ces questions ouvertes invitaient les autres enfants de la classe àéchanger des idées sur des événements ou des sentiments décrits dans le texte.Les questions ont été posées pour la discussion et cette relation a affecté fortement le questionnement qui a eu lieu. On n'a pas trouvé, par exemple, de véritables questions de recherche d'informations (compte non tenu des questions relatives à une expérience). Dans le contexte actuel, de telles questions n'étaient évidemment pas de très bonnes questions pour une discussion en classe sur un texte. Par contre, des questions simples, explicites dans le texte, de type fermé, aident bien les enfants a contrôler les interactions question‐réponse et, par conséquent, ces questions sont abondantes. Peut‐être le meilleur exemple de la façon dont le contexte a affecté les questions est‐il ce bijou ‘Aimez‐vous la famine?’ pour lequel seules les réponses oui ou non étaient permises.Si les enseignants veulent que les enfants posent plus de bonnes questions en lecture, une recherche comme celle‐ci suggère qu'ils devraient stimuler les habiletés à questionner des enfants et créer un contexte favorable. Le contexte devrait amener les enfants à poser des questions dont ils aimeraient vraiment connaître les reponses. A l'heure actuelle la plupart des écoles sont des lieux où on exerce les enfants à pa

 

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