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Environmental management as behavioural policy

 

作者: John D. Montgomery,  

 

期刊: Canadian Public Administration  (WILEY Available online 1990)
卷期: Volume 33, issue 1  

页码: 1-16

 

ISSN:0008-4840

 

年代: 1990

 

DOI:10.1111/j.1754-7121.1990.tb01382.x

 

出版商: Blackwell Publishing Ltd

 

数据来源: WILEY

 

摘要:

Abstract:Environmental management means managing people, not the ecosphere. One implication of that obvious but uncomfortable fact is that the policies that are required when only a few actors are involved are different from those where mass behaviour is expected to change. Governmental influences over the “few” and the “many” are markedly different, and so are different nations' capacities to improve environmental behaviour. Industrialized countries can often deal with environmental degradation by influencing the behaviour of the few, but developing countries must deal with mass publics. In both cases such influence has been traditionally exercised through conventional ministries and departments. Environment is not a “sector” in this conventional sense, however. Accordingly, governments must either coordinate the environmental policies of existing agencies or set up new super‐agencies to produce the necessary changes in public behaviour. Both procedures are politically and administratively sensitive, and it is no surprise that much of the action that has been taken so far, in both industrialized and developing countries, has come in response to international influences. But these influences are limited: international bodies usually confine their activities to conferences or to research producing descriptive macro‐level data, accompanied by expressions of abstract policy preferences. National governments therefore have to deal with the difficult problems of public behaviour on their own. The article suggests means of improving their performance by measuring the public's responses and by appraising their own policy experiences.Sommaire:La gestion de I'environnement, c'est la gestion de la population et non celle de I'écosphere. Cette réalité, kvidente mais difficile à admettre, implique notamrnent que les politiques nécessaires, lorsque quelques acteurs seulement sont impliqués, doivent être différentes de celles requises lorsque le comportement du public dans son ensemble doit être modifié. L'emprise gouvernementale sup ces acteurs, selon qu'ils soient « quelques‐uns » ou « beaucoup» est manifestement différente. Il en est de même de la capacité des nations d'améliorer le cornportement a I'égard de I'environnement. Les pays industrialisés peuvent souvent influencer le comportement de « quelques‐uns », alors que les pays en voie de développement doivent affronter le public dans son ensemble. Dans les deux cas, cette influence s'est faite traditionnellement par I'intermtdiaire de ministères conventionnels. L'en‐vironnement ne constitue pas un » secteur» que I'on peut assujettir à ce type d'organisation. Les gouvernements doivent donc soit coordonner les politiques environnementales des organismes existants, soit mettre en place de « super‐organismes « pour provoquer les changements nécessaires dans le comportement du public. Les deux stratégies étant politiquement et administrativement délicates, il n'est pas surprenant de constater qu'une grande partie des mesures prises jusqu'à présent, aussi bien dans les pays industrialisés que dans ceux en voie de développement, sont le résultat dinfluences internationales. Mais ces influences sont par dtfinition limitées: les organismes internationaux s'en tiennent habituellement à des conférences ou à des recherches aboutissant à des descriptions de grandes problè‐matiques, accompagnées d'expressions générales de préférences politiques. Les gouvernements nationaux doivent donc affronter seuls le problème ardu du comportement du public. Cet article suggère des moyens d'améliorer leur efficacitéà cet égard en mesu

 

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