Cet article considère les problèmes entourant le manque de cohésion et la confusion des recherches sur les attitudes envers le travail. Il montre que, quand des gens parlent et écrivent au sujet des attitudes, ils utilisent différentes terminologies et sont souvent coupables d'ignorer le travail des autres. La faute se situe au niveau de 1'usage des mots comme implication, aliénation, éthique du travail, etc…. qui dans le contexte d'une recherche apparaissent souvent comme uniques et non corrélés, mais qui en essence sont similaires, voire identiques. Il illustre aussi comment des nations considérées comme des individualités, peuvent avoir des attitudes originales envers le travail, citant l'exemple du talent de la Nouvelle‐Zélande dans l'arène des sports, parallèle à son manque de succès en productivité industrielle. Ces arguments sont utilisés pour montrer que le vaste travail conduit dans le domaine des attitudes envers le travail ne peut pas etre applicable à toutes les nations. Il propose, pour que des progrès soient accomplis et que la recherche devienne intéressante et valable pour tous les pays, qu'une intégration et une assimilation sémantiques à l'intérieur des cadres nationaux, soient nécessairement réalisées.This paper considers the issues surrounding the lack of cohesion and confusion in the research on attitudes to work. It shows that when people talk and write about attitudes, they use different terminology and are often guilty of ignoring the work of others. The fault is laid at the door of terms such as involvement, alienation, work ethics, etc., which in a research context often appear to be unique and uncorrelated, but which in essence are similar if not the same. It also illustrates how individual nations can have unique attitudes to work, citing as an example the ability of New Zealand in the sports arena with its parallel lack of success in industrial productivity. This is used as a means of showing that much of the work conducted in the area of job attitudes may not apply across nations. It proposes that for progress to be made and for research to be of interest and importance transnationally, semantic integration and assimilation into na