Summary—The authors describe new psycho‐therapeutic method for the treatment of alcoholics. They have treated 130 patients by this “hypnopaedic” method, which is somewhere between ablation hypnosis and the hypnopedagogic verbal training methods. Of the first 50 patients, 12–30 months after the course of treatment, 36 are abstainers. The authors emphasize that they consider abstinence only to be preliminary prerequisite for the treatment; the actual aim of the treatment is the psycho‐orthopaedic correction of the personality of the alcoholics. It is possible to achieve abstinence, however, not only by aversion treatment and intolerance methods, but also by various methods, in particular, methods of suggestion.On the other hand, they also studied temperance preparations, in particular Metronidazol. They have administered 2–3 trial drinks to 70 patients after various doses and on the basis of their clinical‐pharmacological investigations they confirm the following: Metronidazol reduced the tolerance to ethylalcohol, causes in the case of therapeutic consumption milder reaction (than that of Antibuse), and in the case of daily alcohol consumption an unpleasant reaction. Apart from the noteworthy working hypotheses raised by Metronidazol, they consider the problems of sub‐acute or chronic toxicity and the possibility of changing the Metronidazol molecule, so that its “anti‐alcoholic” effect would perhaps be greater or more specific, to be very important.Résumé—Les auteurs décrivent une nouvelle méthode psycho‐thérapeutique pour le traitement des alcooliques. Ils ont traité 130 patients par cette méthode “hypnopédique” qui se situe quelque part entre l'hypnose de l'ablation et les méthodes d'entraînement verbal hypnopédagogiques. Après 12–30 mois de traitement, de 50 premiers malades, 36 sont abstinents. Les auteurs soulignent qu'ils considèrent l'abstinence seulement comme une nécessité préalable pour le traitement; le réel but du traitement étant la correction psycho‐orthopédique de la personnalité des alcooliques. Néanmoins il est possible d'atteindre l'abstinence, non seulement par un traitement d'aversion et des méthodes d'intolérance, mais aussi par des méthodes variées, spécialement par la méthode de suggestion.D'un autre côté, ils ont étudié aussi les préparations de tempérance, particulièrement le Metronidazol. Ils ont administréà 70 malades, après des doses variées de médicament. 2–3 boissons alcooliques, et basés sur les investigations clinico‐pharmacologiques, ils confirment que: le Metronidazol réduit la tolérance à l'alcool éthylique; cause, en cas de consommation thérapeutique, une réaction plus modérée que “l'Antibus”; dans le cas de consommation quotidienne d'alcool, ce produit donne une réaction déplaisante. A part les notable hypothèses d'action soulevées par le Metronidazol, les auterus considèrent comme très importants les problèmes de la toxicité chronique sous‐aigu et la possibilité de changement de la moléc