ABSTRACTSExperimental studies of speech and language behaviour often have difficulty measuring the phenomena that they seek to investigate. A common solution has been to collect data in the form of listeners' judgements of the speech of members of a clinical group of interest. If the speakers are taken to be a random sample of the clinical group and the listeners a random sample of those who they may communicate with, it is tempting to believe that results from such studies may be generalised to both other speakers and listeners, thus allowing a general statement about the communicative abilities of the clinical group to be made. Two related problems with this form of design are discussed. Both lead to the conclusion that greater caution is required in the interpretation of studies in which listeners' judgements of speakers are analysed. Potential solutions to the problem are offered.Souvent, lors d'études expérimentales du comportement de la parole et du langage l'on éprouve des difficultés à mesurer les phénomènes que l'on tente d'examiner. Une solution communément adoptée consiste à rassembler des données sous la forme de jugements par des auditeurs de l'expression orale d'un certain nombre d'individus du groupe clinique étudié. Partant de l'hypothèse que les locuteurs forment un échantillonage aléatoire du groupe clinique et les auditeurs un échantillonage aléatoire de ceux avec qui les premiers pourraient ětre appelés à communiquer, il est tentant de croire que les résultats de telles études peuvent ětre généralises à la fois à d'autres locuteurs et auditeurs, ce qui permettrait un énoncé général sur les capacités communicatives du groupe clinique. La discussion porte sur deux problèmes en rapport avec ce genre de modèle. Tous deux amènent à la conclusion qu'il faut davantage de prudence dans l'interprétation d'études où l'on analyse les jugements de locuteurs par des auditeurs. Des solutions possibles sont suggérées à ce problème.Experimentaluntersuchungen des Sprech‐ und Sprachverhaltens haben oft Probleme, die Phänomene zu messen, die sie analysieren wollen. Eine gängige Lösung ist die Sammlung von Daten in Form von Hörerurteilen über die zu untersuchende Sprechergruppe. Wenn man annehmen kann, daß die Sprecher eine zufällige Stichprobe der klinischen Gruppe bilden, und die Hörer eine zufällige Stichprobe derer bilden, mit denen die Gruppe kommunizieren könnte, ist der Schluß verlockend, die Ergebnisse solcher Studien verallgemeinernd auf andere Sprecher und andere Hörer zu beziehen und eine allgemeine Aussage über die kommunikative Fähigkeit der klinischen Gruppe zu machen. Zwei miteinander verbundene Probleme mit dieser Form von Untersuchung werden erörtert. In beiden Fällen wird der Schluß gezogen, daß größere Vorsicht bei der Interpretation von Untersuchungsergebnissen notwendig ist, die auf Hörerurteilen vom Spreche