SummaryPituitary and adrenal glands of two genetic lines of domestic pig (Swiss Landrace), raised in a bidirectional selection experiment for a low and high subcutaneous fat layer, have been investigated morphologically. Tendency to a slight cortical hyperplasia of the adrenals was found within the low‐fat line, with the relative proportion of zonae fasciculata and reticularis being about 6% and 45% larger, respectively, than in the high‐fat animals; the weight of the gland was, thereby, virtually unchanged. The ACTH‐immunoreactive cells of the anterior pituitary (corticotropes) in the low‐fat line were 70% larger than in the high‐fat line. Malignant hyperthermia after halothane inhalation, associated with the low‐fat line (recessive mode) and currently attributed to the “stress susceptibility” of the animal, was not correlated with hyperplastic changes in either gland within this line. The histological changes in the anterior pituitary and in the adrenals, considered as “stress markers” in most animal models, are in these lines of domestic pig correlated with total body fat.RésuméModifications dues au stress dans la structure histologique de la glande surrénale et de l'adénohypophyse chez le porc: Corrélation existante avec la graisse corporelle totale et inexistante avec l'hyperthermie maligne prédisposéeAdénohypohyses et glandes surrénales d'une ligne porcine pauvre en graisse et croissant rapidement (f) et d'une riche en graisse et croissant lentement (F) du grand porc blanc (VLS) ont été analysées morpho‐métriquement. Les lignes sont issues d'une seule population de base, séléctionnée en deux lignes opposées. L'indice de sélection comprenait l'épaisseur du lard dorsal et le gain journalier. Une légère hyperplasie adrénocorticale a été constatée dans la ligne f: la zone fasciculaire a augmenté de 6% et la part de la zone reticulaire de 45% par rapport à la ligne F. Le poids de la glande adrénale n'était pas significativement différente d'une ligne à l'autre. Les cellules adénohypophysaires corticotropes de la ligne f par contre avaient augmenté d'environ 70%; la surface a été mesurée en coupes fines de l'adénohypophyse après coloration ACTH immunohistochimique. Une hyperthermie maligne sous forme de troubles recessifs était apparue après inhalation d'halothane dans la population de base VLS. Après 9 générations elle n'était observée plus que dans la ligne f. Son apparition n'était pas liée aux modification histologiques dans les deux glandes. Ces modifications, généralement considérées comme marqueurs de stress, sont donc corrélées ‐ avec la plus grande probabilité ‐ avec la graisse corporelle totale des deux lignes. Aucun lien n'a pu ětre prouvé avec la sensibilité à l'halothane.ZusammenfassungStreßbedingte Änderungen der histologischen Struktur der Nebenniere und Adenohypophyse beim Schwein: Zusammenhang mit Gesamtkörperfett, nicht jedoch mit Prädisposition zur malignen HyperthermieAdenohypophysen und Nebennieren einer fettarmen, schnell wachsenden (f) und einer fettreichen, langsam wachsenden Linie (F) des Hausschweins (Veredeltes Landschwein, VLS) wurden morphome‐trisch untersucht. Die Linien entstanden aus einer Ausgangspopulation, die in zwei entgegengesetzte Linien selektioniert wurde. Der Selektionsindex setzte sich aus Rückenspeckdicke und Tageszunahme zusammen. Bei der f‐Linie wurde eine leichte adrenocorticale Hyperplasie festgestellt: Der Anteil der Zona fasciculata war um 6%, derjenige der Zona reticularis um 45% größer als bei der F‐Linie. Das Gewicht der Adrenaldrüse war bei den beiden Linien nicht signifikant verschieden. Dagegen waren die adenohypohysären corticotropen Zellen der f‐Linie um etwa 70% größer; gemessen wurde die Fläche in Dünnschnitten der Adenohypophyse nach immunhistochemischer ACTH‐Färbung. Maligne Hyperthermie nach einer Halothan‐Inhalation kam als rezessive Störung in der VLS‐Ausgangspopulation vor. Nach 9 Generationen konnte sie nur in der f‐Linie beobachtet werden. Ihr Vorkommen war mit den histologischen Änderungen in keiner der beiden Drüsen korreliert. Histologische Änderungen in diesen Drüsen, die üblicherweise als Streßmarker betrachtet werden, hängen deshalb ‐ aller Wahr‐scheinlichkeit nach ‐