AbstractL'étude des systèmes cellulose‐base alcaline‐eau effectuée à l'aide d'une variante de a méthode de Sehreinemakers permet de distinguer dans la fixation globale de la base alcaline et de l'eau par la cellulose la part qui revient au phénomène chimique donnant naissance à des combinaisons moléculaires d'addition définies au niveau des fonctions alcooiiques des chaînes cellulosiques. Ces combinaisons d'addition ne renferment pas d'eau d'hydratation. Elles se forment suivant le mécanisme d'une réaction topochimique et, dans certains domaines de concentration, correspondent, pour la soude et la potasse, à des rapports stoechiométriqires simples rapportés au motif glucose:\documentclass{article}\pagestyle{empty}\begin{document}$$ (2{\rm C}_6 {\rm H}_{10} {\rm O}_5 \cdot {\rm MOH})_n ;{\rm }(3{\rm C}_6 {\rm H}_{10} {\rm O}_5 \cdot 2{\rm MOH})_n ;{\rm }(4{\rm C}_6 {\rm H}_{10} {\rm O}_5 \cdot 3{\rm MOH})_n ;{\rm }({\rm C}_6 {\rm H}_{10} {\rm O}_5 \cdot {\rm MOH})_n $$\end{document}Par contre, avec la lithine, on observe seulement une fixation topochimique continûment croissante, paraissant te