首页   按字顺浏览 期刊浏览 卷期浏览 TOPIC II: PLANNING IN AGRICULTURAL REGIONS
TOPIC II: PLANNING IN AGRICULTURAL REGIONS

 

作者: A. K. CONSTANDSE,  

 

期刊: Sociologia Ruralis  (WILEY Available online 1962)
卷期: Volume 2, issue 1‐2  

页码: 79-104

 

ISSN:0038-0199

 

年代: 1962

 

DOI:10.1111/j.1467-9523.1962.tb00383.x

 

出版商: Blackwell Publishing Ltd

 

数据来源: WILEY

 

摘要:

RésuméPLANIFICATION DANS LES RÉGIONS AGRICOLES: A. K. CONTANDSENaturellement, les régions à prépondérance agricole vont perdre en étendue dans une Europe fortement peuplée: il en restera pourtant suffisamment, dans les années à venir, pour qu'il vaille de leur consacrer une étude spédale.A titre d'exemple, considérons le cas des IJsselmeerpolders aux Pays‐Bas. Ils offrent l'image d'une région agricole proche d'une représentation idéale. Il n'y subsiste rien du passé qui puisse faire obstacle á la considération des problèmes qui découlent de la situation présente. Or on s'aperçoit maintenant que, bien que jouissant de revenus convenables, les habitants y sont, à divers points de me, peu satisfaits de leurs conditions de vie. La viabilité des villages demeure inférieure au niveau souhaité, les ouvriers agricoles se sentent en état d'infériorité par rapport aux ouvriers industriels, la mécanisation croissante des exploitations rend difficile l'existence des familles agricoles. Il est malaisé de trouver dans le plan de colonisation existant des voies de solution aux problèmes résultant de ces conditions de vie et qui concernent toute la population.La réction des planitcatcurs devant ces résultats d'enquête se perçoit dans la conception du plan pour le polder à aménager ensuite dans l'IJsselmeer. On y construira moins de villages, ce qui revient à une extension de l'échelle de dimensions; la dimension minimum de l'exploitation sera plus élevée. En fait il ne s'agit guère que d'une adaptation aux changements observés; ce n'est pas une intervention radicale.Cela tient au fait que le planificateur doit travailler d'après une idée directrice (»Leitbild«), une conception générde de I'état de choses vers lequel il faut tendre. C'est sur la base de ce seul »Leitbild« qu'il peut appréier quels changements sont fonctionnels et quels autres ne le sont pas et dire par conséquent ce qui doit être encourageé, écarté, modifié ou neutralisé. Ce »Leitbild« n'est pas de lui‐même rationnel, il provient d'une subjectivité collective, d'un commun accord existant dans un état de culture déterminé sur certains principes généraux. Pour une part le planificateur ne peut influencer ce »Leitbild«, il doit l'accepter, mais, au niveau d'une sousculture, il jouit d'une certaine latitude pour toucher à des éléments culturels.Par conséquent, dans le nouveau polder, certaines conditions faisant partie du »Leitbild« ont dûêtre acceptées par le planificateur comme un donnééchappant à la discussion. La culture du nouveau territoire devait être en harmonie avec la culture néerlandaise considérée globalement, les fermes devaient être des exploitations individuelles à caractère nettement familial. Dans cette optique, il était nécessaire de créer des villages.La recherche soaologique relative aux régions rurales fait émerger principalement deux problèmes: l'urbanisation et le sous‐développement des campagnes. Si l'on place ces deux problèmes dans la ligne d'un »(folk‐urban continuum« ils se situent aux deux extrêmes. Une telle perspective ne laisse aucune place à un domaine agraire qui sous son aspect physique, ne serait aucunement atteint par la ville, tout en étant habité par des hommes »modernesa«. Dans une perspective de »continuum rural‐urbain« un tel domaine se trouvera tout à fait à gauche tandis qu'il figurera à droite dans une perspective de »continuum traditionnel‐moderne«; dans le dernier cas la vie de groupe, au lieu de son expression physique, en porte l'empreinte. Travailler en fonction de notions bipolaires c'est courir le risque de ne considérer que superficiellement les régions agraires dont il s'agit. Aménageurs et sociologues ne touchent pas à ces domaines, soucieux qu'ils sont de tenter d'intégrer les mondes urbain et rural en un tout harmonieux. Ces domaines n'appartiennent pas davantage à la sphère d'intérêt de ceux que préoccupe le développement économique et social des régions sous‐développées: ces régions sont en effet déjè relativement prospères. Il faudrait cependant comprendre que le seul fait d'atteindre un stade de développement moderne suscitera de nouveaux besoins de transformations. Dans une région agricole prospère, à mentalité urbaine, existera une discordance entre l'équipement matériel et les aspirations qu'on éprouve à ce sujet. Villages trop petits et systèmes d'exploitation agricole feront obstacle à un développement de type urbain. La viabilité du monde rural en sera donc diminuée.Avec un »Leitbild« différent, il eût été possible de concentrer la population dans des centres urbains, mais toute la structure eût alors dûêtre adaptée à ce changement fondamental.Il apparaît qu' à partir d'un certain niveau de bien‐être les développements ne sont pas toujours logiques ni fatalement déterminés, mais dépendent en partie de choix que l'on fait. La direction choisie dans le planning dépend pour une large part du »Leitbild«.Même avec un »Leitbild« bien clair, il n'est pas possible de présenter des formules de planning applicables partout. Des situations spécifiques, de nature historique et géographique, compliquent habituellement les daires beaucoup plus que ce ne fut le cas dans les IJsselmeerpolders.Toutefois cet exemple montre clairement que dans les régions agricoles où, à court terme, on ne peut escompter aucun accroisement d'activité non agricole, et oú la population est marquée d'une mentalité urbaine, il se pose un problème social d'un caractére particulier, qui appelle toute l'attention du planificateur.KurzfassungPLANUNG IN LAND WIRTSCHAFTLICHES GEBIETEN VON A. K. CONSTANDSEIn der Sozialforschung über Fragen des in Wandlung begriffenen flachen Landes rücken deuttich zwei Hauptptobleme in den Vordergrund: Die Verstädterung des flachen Landes und die Rückständigkeit. Ordnet man diese beiden Probleme in ein ‘folk‐urban continuum’ ein, dann stehen sie an den entgegengesetzten Enden. In einem solchen continuum ist jedoch keine Stelle für ein Agrargebiet vorgesehen, das physisch nicht von der Stadt berührt wird, dennoch aber von modernen Menschen bevölkert ist. Ein solches Gebiet ist auf einem ‘rural‐urban continuum’ ganz links zu finden, auf einem ‘traditional‐modern continuum’ hngegen ganz rechts, weil nun auf das Gruppenleben der Nachdruck gelegt wird, statt auf seine physischen Auszerungsformen. Das Arbeiten mit polaren Begriffen bringt die Gefahr mit sich, dasz die erwähnten Agrargebiete zu stark vernachlässigt werden. Diese Gebiete werden nicht von den Planern und Sozialforschern beachtet, die sich mit den Bestrebungen zur Integration der städtischen und agraren Welt in ein harmonisch funktionìerendes Ganzes beschätigen. Ebenso wenig liegen sie im Interessenbereich derjenigen, die sich mit den Bemuhungen um eine sozìale und wirtschaftliche Entwicklung rückständiger Gebiete beschäftigen, weil die fraglichen Gebiete bereits wohlhabend sind. Man musz sich jedoch darüber im klaren sein, dasz das Moderne selbst neue Bedürfnisse nach Veränderungen wecken wird, sobald das moderne Stadium erreicht ist. In einem wohlhabenden, geistig verstädtenen Agrargebiet wird eine Diskrepanz vorhanden sein zwischen der materiellen Ausstattung und den Vorstellungen, die die Menschen darüber besitzen. Die Dörfer werden dort zu klein sein, die agraren Betriebssysteme werden die Entwicklung zu einer städtischen Lebensweise behindern. Der Lebenswert des flachen Landes wird dann abnehmen.Natürlich werden die vorwiegend agraren Gebiete im dicht bevölkerten Europa der Fläche nach abnehmen; doch werden sie auch in der Zukunft noch grosz genug bleiben, um ihnen eine besondere Untersuchung zu widmen.Als Beispiel werden die niederländischen IJsselmeerpolders behandelt. Sie stellen ein modernes Agrargebiet dar, das dem idealen Vorbild nahe kommt. Es gibt keine Überbleibsel aus der Vergangenheit, die den Blick auf die Probleme trüben könnten, die sich aus der gegenwärtigen Situation ergeben. Es zeigt sich nun, dasz die Bewohner die zunehmende Mechanisierung des landwirtschaftlichen Betriebes erschwert die Existenz der bäuerlichen Familien. Im Rahmen der vorhandenen Siedlungsstruktur ist es nicht einfach, eine Lösung für diese Verhätnisse zu finden, die für die Bevölkerung selbst recht problematisch sind.Die Reaktion der Planer auf diese Untersuchungsergebnisse kann aus der Planung für den nächsten Polder im IJsselmeer entnommen werden. Es werden dort weniger Dörfer gebaut werden, was einer neuerlichen Maszstabsvergröszerung entspricht; die Mindestgrösze der Betriebe soll angehoben werden. Praktisch ist dies nicht viel mehr als eine Anpassung an die festgestellten Veränderungen; es ist jedenfalls kein radikaler Eingriff.Der Grund dafür ist, dasz der Planer mit einem ‘Leitbild’ arbeiten musz, einer allgemeinen Vorstellung über den Zustand, der anzustreben ist. Allein anhand dieses Leitbildes kann er beurteilen, welche Entwicklungen funktional und disfunktional sind und was infolgedessen gefördert und was bekämpft, umgebildet oder neutralisiert werden musz. Dieses Leitbild ist an sich nicht rational; es ist aus einer kollektiven Subjektivität abgeleitet, einer bestimmten Übereinstimmung, die man in einer Kultur über allgemeine Grundsätze besitzt. Zu einem Teil kann der Planer dieses Leitbild nicht beeinflussen; er musz es hinnehmen, aber ad einer subkulturellen Ebene hat er einen gewissen Spielraum, innerhalb dessen er snit Kulturelementen manipulieren kann.Daher muszten in den neuen Poldern bestimmte Voraussetzungen, die zum Leitbild gehoren, von den Planern als Daten übernommen werden, die auszerhalb jeder Diskussion standen. Die Kultur des neuen Gebietes muszte sich harmonisch in die gesamtniederländische Kultur einpassen, die Bauernhöfe muszten individuell gefühtte Betriebe sein mit dem Schwergewicht auf dem Familienbetrieb. Von diesem Standpunkt aus war die Gründung kleiner Dörfer eine Notwendigkeit.Wäre das Leitbild ein anderes gewesen, dam hätte die Möglichkeit bestanden, die Bevölkerung in städtische Zentren zu konzentrieren; aber dann hätte auch die gesamte Struktur dieser fundamentalen Änderung angepaszt werden müssen.Es zeigt sich, dasz oberhalb eines gewissen Niveaus die Entwicklungen nicht immer logisch und unabünderlich bestimrnt sind, sondern dasz síe zum Ted von der getroffenen Wahl abhähgig sind. Die Richtung, die in der Planung eingeschlagen wird, hängt zu einem guten Teil vom Leitbild ab.Selbst mit einem klaren Leitbild vor Augen ist es nicht möglich, der Planung Rezepte zu liefern, die überall verwendet werden können. Spezifische Situationen historischer und geographischer Art komplizieren die Dinge in der Regel viel mehr als es in den IJsselrneerpoldern der Fall ist.Nichtsdestoweniger zeigt das gewählte Beispiel deutlich, dasz in Agrargebieten, in denen eine Zunahme nichtagrarer Tätigkeit in absehbarer Zeit kaum zu erwarten ist, ein soziales Problem besonderen Charakters auftritt, ein Problem, da

 

点击下载:  PDF (1383KB)



返 回